• Chapitre 4: Préparation du Spectlight

     Jeudi 30 Mars 2032 / 14H08

    Ecole de Sorasparkle Viewers / Singapour

    PDV Auteur

     

    Dans une salle de classe, le cours de chant J-Pop de Elaina continua sur de la théorie. Jusqu'à présent toutes les chansons qu'elle créa se baser sur un thème. Et elle en apprenait de plus en plus sur se style et amélioré sa musique. Elaina se concentra sur les paroles de sa professeure.

    - Ce qu'il faut savoir est que beaucoup de style de musique ne sont qu'une alliance de plusieurs. La J-Pop n'en fait pas exception. Rappelez-vous les cours de début d'année sur les origines de se genre. Vos derniers travaux sont des preuves de votre progression qui m'ont agréablement impressionner. Pour cette raison, vous n'aurez pas de devoir durant un temps, mais pour ces travaux vous deviez créer des paroles en rapport avec les héros. Bon nombre de vous avez intégré des mots et expressions japonaises en dépit du thème. Ça m'a montré votre culture de la langue. Enrichissait là le plus possible à fin de muter vos chansons en de vrais musique asiatique. Le reste de l'heure, je vous demanderais de lister tous les thèmes qui vous vienne en tête et déjà commencer à imaginer une première mélodie. Se n'est pas un devoir. Voyez-le comme une opportunité de travailler sur un son pour Spectlight.

    Le moment propice pour débuter la création d'une nouvelle chanson. Elaina saisit l'occasion et commença à en bâtir les fondements. Elle se remémora les mots que Molie avaient prononcées en déballant son idée. Authentique, éblouissant, énergique, captivant. Son cerveau fuma à la recherche d'un thème réunissant tous ces critères. En un mot, il lui fallait un thème grandiose, qui envoyait du lourd. Sur un carnet, elle nota quelques thèmes: espaces, spectacle, rêve... Mais elle hésita à faire le contraire et à ce concentré sur la mélodie pour que s'ensuive les paroles. Elle y cogita jusqu'au lendemain après-midi. Assit sur une couverture à l'extérieur, Elaina, avec son casque sur les oreilles, continua la mélodie: rythmé, pénétrante et dansante. Cependant, elle sentit un toucher sur son épaule et sursauta de surprise.

    - Ikel !

    - Je ne t'ai pas fais trop peur j'espère, demande t-il en s’asseyant à ces cotés.

    - Un peu quand même.

    Il s’excusa l'air amusé, puis s'allongea en posant sa tête sur les cuisses de sa copine. Cette dernière continua sa mélodie à l'aide de logiciel sur son ordinateur, posé sur ces genoux. Ikel le vit et observa les méthodes qu'elle employait.

    - Cette mélodie...c'est pour un cours ?

    - Oui. Et je compte l'utiliser pour Spectlight aussi. Du coup, j’essaye de la rendre aussi parfaite que je peux.

    - Pourtant tu disais ne plus vouloir être perfectionniste.

    - C'est vrai. Mais il s'agit d'un projet dans lequel tous le monde s'investit et donne le maximum. Alors en tant que l'un des chefs de groupes, je me dois d'en faire de même. Par ailleurs... toi aussi, tu veux être un Jewel. C'est aussi pour toi que je le fais.

    Elaina sourit à son petit-ami. Ikel très touchait lui donna un chaste baiser.

    - Je t'aime, prononça Ikel.

    - Moi aussi, je t'aime.

    Après un long regards amoureux échanger, Elaina se reconcentra sur la composition de la mélodie. À des kilomètres de là, en France, la mère de Elaina nettoya le salon jusqu'à ce que son mari rentre de son travail.

    - Bonsoir chéri, ta journée s'est bien passée ?

    - Comme d'habitude. Rien ne nouveau. Et toi ta journée ?

    - Rien de spécial, c'était mon jour de congé.

    Il lui donna un chaste baiser avant de s'écrouler sur le canapé tandis que sa femme rangeait l'aspirateur. Au même moment, la grand-mère arriva dans la pièce, salua l'homme de maison, puis s'assit sur le fauteuil avant d'allumer la télé. Les infos ne parlèrent que du mariage de Ikel et Nikita depuis quelques jours, et plus dû tout du prochain spectacle de l'Ecole Sparkle Viewers. Tout en dînant, la grand-mère exposa son admiration pour les grands mariages et son souhait d'en avoir eut envie.

    - Malheureusement, ta venue au monde nous a prit tous notre temps et beaucoup d'argent. Oh. Quel dommage. J'espère du fond du cœur que ma petite-fille sera se trouver un mari lui apportant un beau et grand mariage.

    - Un mariage que tu voudras tous contrôler comme sa vie, remarqua sarcastiquement la mère.

    - Qu'est-ce que tu insinues, Rose ?

    - C'est à moi de te demander ça, s'énerva la mère. Je n'ai jamais supporter ta manière d'élever ma fille ni même tes magouilles en réécrivant son nom, même le mien d'ailleurs. Je m'appelle Klair.

    - Ça suffit, ne parle pas avec se ton à ta mère !

    - Mais tu me fatigues !

    - Arrêtez toutes les deux ! stoppa le père.

    La mère se leva de table pour se rendre vers sa chambre où elle claqua la porte. L'ambiance se tendait depuis plusieurs jours. Après des années sans intervenir, Klair comptait bien défendre la vie de sa fille comme une "vraie" mère le devrait. Le lendemain matin, un grand fracas violentait la porte d'entrée qui réveilla toute la maisonnée. Le père descendu, ouvrit la porte fatigué, mais changea d'humeur en voyant un homme élégant et classe avec des lunettes de soleil devant la porte.

    - À qui ai-je l'honneur ?

    - Êtes-vous bien Mr Lucreil ? demande l'homme en retirant ces lunettes alors que la grand-mère et la mère arrivèrent derrière le mari.

    - Oui, mais...vous êtes...

    - Le secrétaire général de l'ONU ! s'exclama Klair.

    - En effet, et je suis également le père du "petit-ami" de votre fille ?

    - Quoi ! s'écria la grand-mère. Quel petit-ami ?

    La grand-mère regarda sa fille qui paraissait surprise, mais pas par la relation de sa petite-fille.

    - Rose, tu étais au courant ?

    - C'est vrai, chérie ?

    - Oui, c'est vrai.

    - Pardonnez mon manque de tact, mais c'est que je suis assez pressée. La raison de ma venu ici est que vous demandiez à votre fille de se séparer de mon fils.

    - Hors de question, intervient la mère. Je ne contrôlerais pas la vie de ma fille !

    - Soit. Dans se cas, permettez que nous discutions d'un accords. En échange de leur séparation, je vous accorderais la possibilité de traiter votre mère avec les meilleurs soins de son cancer.

    Ahuris, ils se questionnaient sur la manière qu'il a obtenu cette information personnelle. Le médecin. C'était une violation du secret des patients et surtout une faute professionnelle. Mais surtout, ils furent surprit de sa tentation de corruption en passant par le biais de la vie. Malgré l'amour que Klair porte à sa fille, le propre corps de sa mère la fessait souffrir. De plus, cela signifier aucune mort douloureuse, des frais médicaux de 0 à leur charge, plus de temps à passer au coter de sa famille sans restriction, le reste de son peu de vie sans souffrance. Samedi, le jour le plus attendue par les élèves de l'Ecole. Un jour où l'on peut se pavaner et se laisser aller sur toute l'île. La plupart des élèves s'assirent en groupe pour continuer leur projet. Elaina et Molie planifièrent le scénario de leur spectacle ainsi que le budget et les contrats. Dans un café près de la mer, les deux demoiselles travaillèrent à ciel ouvert en sirotant de printanier boisson.

    - Elaina ! Bonne nouvelle, l'entreprise de textile accepte de nous vendre des tissus. Et nous avons reçut une autre bonne réponse de l'entreprise alimentaire.

    - Excellent. Tous ceci est génial, mais nous manquons toujours de mains d’œuvre. Même si on fabrique nous-même les tenus, il faut les imaginer avant. Et concernant l’alimentation, qui pourrait s'occuper des stands ? Nous ne sommes que trois pour tout gérer.

    - Ne soit pas pessimiste. Comparer à il y a quelque mois, on s'est agrandit. Nous allons trouver une solution.

    - Tu as raison. Mais je ne vois pas comment. Peut-être en payant des gens, mais demander les services d'entreprises répartit dans le monde nous coûtent déjà assez. Et on peut oublier l'aide de nos familles ou amis, ils viendront pour profiter pas pour travailler. Oublions aussi l'idée d'obtenir de l'aide des autres élèves, tous le monde s'occupe d'un projet.

    - Nos choix se restreint de jour en jour. Même si on trouve une solution maintenant, qui s'est combien de temps sa prendra pour le mettre en place. On aurait vraiment besoin de trois cerveaux. Où est Ikel ?

    - Il devait contacter une entreprise pour les matériaux de la scène et des petits stands, ensuite il nous rejoindra.

    - D'acc, réfléchissons encore peu.

    Durant les 2 prochaines heures, leur travail n'avança pas. Quand vint le moment du déjeuner, elles allèrent vers un restaurant où Ikel les attendit, plus éloigner de la mer. Assit près d'une vitre, les files s'assirent à la table, Elaina à coté de son copain.

    - Alors, des nouvelles ? demande Ikel.

    - Ça n'a pas trop avancer, avoua Elaina dépité.

    - Mais on a reçut deux réponses positifs de l'entreprise alimentaire et celle du textile. Et pour l'entreprise de matériaux ?

    - Je négocie pour que l'on nous prête du matériel, mais le résultat ne sera surement pas concluant. Nous devrions nous préparer à une réponse muette.

    - Que fessons-nous alors ?

    Elaina ne put entendre la réponse que son portable sonna. Elle s’excusa pour se rendre vers les escaliers où elle décrocha.

    - Allo, Maman. On pourrait se rappeler, je suis occuper.

    - Attends ma Puce, c'est important !

    - Qu'est-ce qu'il y a ?

    - Euh...eh bien...est-ce que tu te sens capable de rompre avec Ikel ?

    - Quoi... Mais...pourquoi tu me demandes ça aussi brutalement ? Qu'est-ce que tu as ?

    - Non, rien. Ne t'en occupe pas. Sois heureuse ma Puce. Je t'aime.

    - Maman! Maman! Maman !

    Malheureusement, sa mère avait raccrochée laissant sa fille incrédule face à la situation. Elle resta assise sur les marches en silence en repensant à la question de sa mère. Des gouttes de larmes semblaient vouloir couler de ces yeux. Du coté de Molie et Ikel, ils inquiétaient du retard de Elaina alors Ikel alla la voir. Dès qu'il l'a vit les larmes aux yeux, son cœur ressentit de la colère qu'il canalisa.

    - Elaina, qui a t-il ?

    - Ce n'est rien. Ne t'en fait pas. Retournons voir Molie avant de l'inquiéter davantage.

    Sans rien n'ajouter, ils rejoignirent Molie sans rien lui dire. À la fin du déjeuner, Molie rentra à l'école tandis que Ikel et Elaina profitèrent de l'après-midi pour un rendez-vous amoureux improviser. Se baladant à travers la ville portuaire, leur conversation continua sur les préparatifs des festivités. Après un long moment, ils arrêtèrent à un parc pour se reposer sur un banc.

    - Alors, tu as parlé à tes parents ? demanda Elaina anxieuse.

    - Pas encore. Pour une fois que je pense à les contacter, ils ne daignent même pas répondre.

    - Pas grave, dit elle puis s'ensuit un long silence. Je dois te dire que...

    - Qui a t-il ? C'est par rapport à ton appel de tout à l'heure ?

    - Oui. C'était ma mère, et elle me demandait si j'étais capable de me séparer de toi.

    - Pourquoi ?

    - Je sais pas, elle ne me l'a pas dit. J’essaierais de glaner des infos dès que je pourrais...

    - Attends, l’interrompt-il. Ta famille habite en France ? Les infos divulguent que mon père a rendu visite au président français il y a peu.

    - À quoi penses-tu ?

    - Non, il ne ferrait pas ça. Aucune chance qu'il ne trouva ta famille seulement pour les intimider.

    - Pourquoi tu y penses, alors ? Ça veut dire que ton père en serait capable ?

    Sans attendre, elle composa le numéro de sa mère, mais tomba sur la messagerie. Elle tenta avec son père qui décrocha.

    - Papa ! Où est maman ?

    - Elle est sortit faire un tour, pourquoi ?

    - Je voulais lui parler.

    - À propos de ton petit-ami milliardaire ?

    Ikel remarqua l'immobilisme de sa copine. L'écarquillement de ces yeux démontrait sa surprise qu'elle en perdit ces mots.

    - Co...maman t'a racontait ?

    - Elle n'a plus eut le choix quand le secrétaire général de l'ONU est venu toquer à notre porte pour nous convaincre de t'éloigner de son fils en échange de soigner ta grand-mère.

    - Qu'avez-vous répondu ?

    - Pardon ma Puce, décrocha t-il.

    - Papa! Papa !

    Dépité et sous le choc, elle expliqua tout à Ikel. À la fin du récit, se dernier fulmina de colère, attrapa son portable, envoya enragé un mail à ces parents, puis entraîna Elaina en dehors du parc. Sans lui lâcher son bras, il continua sa course jusqu'à la mairie de la ville. Devant, la chaîne de télé locale interviewait un habitant. Une fois finit, la journaliste reconnut le fils du secrétaire général de l'ONU et accourut vers lui. La caméra filmant toute la scène, Ikel arracha le micro de la journaliste puis se tourne vers la caméraman.

    - Goodmorning everyone. I'm secratary-general's son of UN. Today, I reval you the truth. I don't can married Nikita Ald, because I be in a relationship with my true love. Elaina Lucreil, dit-il en se tournant vers Elaina. My love for her is very powerfull. Also, i love you Elaina. Truly. Anyone don't shall change my feel for you. Je t'aime. [Bonjours à tous. Je suis lefils du secrétaire général de l'ONU. Récemment, mon mariage avec Nikita Ald a été annoncé. Mais la vérité est tout autre. Je ne souhaite pas me marier avec elle, pour la raison que j'entretiens une relation amoureuse. Elaina Lucreil, mon véritable amour. Je t'aime. Vraiment. Personne ne pourra changer mes sentiments en ton écart.].

    - J'avais compris, répond Elaina les larmes aux yeux. Moi aussi, je t'aime tu le sais.

    En direct à télé devant les yeux de toute l'île et bientôt du monde, Ikel apporta sa main au cou de sa chérie, l'approcha et l'embrassa amoureusement. Durant toute une semaine, les élèves de l'école dialoguaient sur leur relation surprenante. Aux infos, la nouvelle sur cette amour secret à vite fait circuler de mauvaise impression sur le directeur général qui se fessait mitrailler d'insulte sur les réseaux sociaux. Son intégrité fut souiller après avoir annoncer un mariage avec la famille Ald. Suite aux discours de Ikel pour sa petite-amie, son père l'avertit de son arriver sur l'île prochainement. Pour éviter que Elaina ne croise son père, il la colla toute la journée ce qui la fit recevoir des œillades hostiles des autres élèves. Toutefois, cela ne la dissuade pas de poursuivre son travail avec ces camarades. Molie remarqua sa détermination et tenta de calmer les élèves la critiquant dans son dos. Les mois passèrent, les élèves en oublièrent leur hostilité envers Elaina, sa grand-mère fut hospitalisé d'urgence, les préparatifs se terminèrent pour tous. Il resta un jour avant le Spectlight. Le soir, dans la chambre de Molie, avec Elaina, elle s'adossèrent à la balustrade contemplant les étoiles.

    - Demain, c'est le grand jour, déclara nostalgique Molie.

    - Oui. Nous avons tous bien travailler. Je suis persuader que nos efforts payeront aux yeux du public.

    - D'ailleurs en parlant de publique, tu ne crains pas que le père de Ikel soit présent. Il m'a confié son inquiétude.

    - Je n'ai pas peur. Si ce dernier souhaite me rencontrer, très bien. Je n'abonnerais pas Ikel à cause d'un père qui ne daigne pas écouter son propre fils. J'aime Ikel. Pour la première fois, je me sens comme les autres adolescente.

    - Tu sais quoi ? Je constate que tes sentiments vont au-delà. Qu'est-ce que tu as ressentis au moment de sa déclaration d'amour.

    - J'ai sentis mon cœur se remplir d'amour, des papillons dans mon ventre m'ont rendu bizarre. Finalement, je crois être amoureuse de lui. Peut-être parce qu'il est ma première relation.

    - Ça peut être une raison. Mais, tes multiples réactions prouvent le contraire. T'es amoureuse, sourit elle à Elaina. Et j'aimerais un jour pouvoir trouver l'amour comme tu l'as fais.

    Elaina sourit à l'admiration de son amie, puis se focalisa sur les étoiles. Demain aussi, les étoiles brilleront. Le jour tant attendu arriva. Des personnalités du monde entier arrivèrent. Les festivités débutèrent. Les uns après les autres, les juges observèrent chaque projet, puis vint le tour de Elaina et son équipe d'assuré. Leur spectacle se déroulait en pleine air, une piste de glace avait été installer et des gradins pouvant accueillir 200 personnes. Au fond, un grand rideau dissimulait les coulisses. 14H. Ikel fit son apparition sur glace habillé élégamment d'une chemise bleu, et d'une veste et pantalon noir.

    - Bienvenus à notre spectacle intitulé "Galaxia Away". Moi, ainsi que Elaina Lucreil et Molie Ultrek avons crées une coalisions. Et à l'aide de nos camarades de classe, nous offrons une expérience unique au monde que je vous laisse découvrir.

    Il se retira de la scène, puis la musique se lança. Elaina apparut sur scène vêtue d'une scintillante robe blanche de patineuse, puis se mit à chanter et danser au rythme de la mélodie. S'ensuit plusieurs 4 autre danseuse dont Molie arrivèrent et dansèrent avec elle. La glace s'illuminait pendant que la patineuse dansait énergiquement. Comme lors du nouvel an, la voix de Elaian s'étendait sur toute l'école, cette fois. Puis vint le moment du solo de Molie. Au fil des paroles de plus en plus de gens vint observer le spectacle. Beaucoup se trémousser, mais tous sembler s'amuser. À la fin du spectacle, tous applaudirent et sifflotèrent. La vingtaine d'élèves participants montèrent sur la glace avec à l'honneur les trois fondateurs. Ikel entoura la taille de sa copine. De loin, il vit ces parents l'observaient avec colère. Mais il les ignora profitant de l'instant présent. À la fin dans les coulisse, ils prirent tous des amuses-bouches en discutant entre eux. Mais soudainement, les parents de Ikel et des hommes en costumes débarquèrent rendant l'ambiance tendue.

    - Ikel, viens ici, ordonna la mère.

    Il les suivit, mais le père ordonna à Elaina de venir avec lui. Malgré les protestations de Ikel, elle accepta le regards remplit de détermination. Dans un coin reculer loin des festivités, les parents tentèrent de corrompre Elaina en misant sur la maladie de sa grand-mère. La veine de la colère de Ikel s'apprêtait à exploser en même temps que sa tête.

    - Alors qu'en dites-vous ? s'impatienta la mère.

    - Votre proposition est alléchante et je m'inquiète beaucoup pour ma grand-mère. Mais, je refuse de me séparer de votre fils. Il est extraordinaire comme le spectacle a put vous le prouver.

    Le père de Ikel sourit sarcastiquement, puis fit un pas vers Elaina.

    - Vous vous souciez donc si peut de votre famille. Je suppose que l'argent vous intéresse plus.

    - Qu'est-ce que vous dites ? rétorqua Elaina.

    - Je dis simplement que sortir avec mon fils ne vous rendra pas plus riche. Alors au lieu de vous entêter à courir après l'argent et la gloire, réfléchissez aux besoins de votre famille. Il parait que votre pauvre aïeul est alité et risque de perdre la vie à n'importe quel moment. Une chance s'offre à vous d’atténuer ces souffrances, mais il semble que cela soit les dernier de vos soucies.

    - Vous racontez n'importe quoi ! J'aime plus que tous ma famille !

    - Difficile à savoir.

    - Papa arrête !

    - Calme-toi mon chéri. Ton père essaye uniquement de protéger ton cœur.

    Les remarques du père blessèrent profondément Elaina qui eut des larmes coulées et partit en courant sans écouter les appelles de Ikel.

    - Mon chéri, cette fille n'est pas bien pour toi. Je suis persuadé que Nikita fera une meilleure compagne, tenta de réconforter la mère. Elle t'aime pour toi pas pour ton argent...

    - Vous ne la connaissez pas, interrompit Ikel. Papa, je n'y crois pas, mais si toi tu l'as découvres un peu mieux, tu comprendrais les raisons de mes sentiments envers elle. Tu sais pourquoi ? Parce que tu es ma mère.

    Sur ces paroles qu'il espère touchera sa mère, il partit en courant chercher Elaina. Après une heure à l'appeler et la chercher, il l'a trouva recroqueviller sur le toit de l'établissement. Il s'approcha prudemment, puis l'enlaça de ces bras où elle se laissa aller. Sa présence rassurante calma les sanglots de Elaina.

    - Elaina, ne t'occupe pas de ce que pense mes parents. Je sais que tu n'es pas comme ils te décrivent.

    - Merci. J'étais peiné, mais maintenant ça va mieux, dit elle en le fixant dans les yeux. C'est un jour de fête revoyons tous ça un autre jour, ça marche ?

    - Ça marche. Mais avant...

    Il ne termina pas sa phrase et embrassa tendrement sa copine, puis l'emmena par la mains à l'intérieur. Tout en descendant du toit par les escaliers, Elaina remarqua le dos large de Ikel. Un sentiment de sécurité la submergea soudainement. Elle l'aimait. C'était sa première relation amoureuse. Mais sa décision concernant sa famille pourrait tous faire basculer. Plus qu'à attendre les résultats se soir. Elaina stoppa sa marche, les empêchant de prendre le couloirs principal.

    - Qui a t-il El ?

    - Rien. Je me disais juste que mon cœur serait briser si on se séparerait. Mais, ne pensons pas à ça et profitons de la soirée.

    Le reste de la journée se déroula convenablement. Le jury rendra un verdict à 21H. Durant ce temps, le groupe de Ikel profitèrent de la fête. Molie tenta de comprendre la situation avec les parents de Ikel, mais Elaina lui fit comprendre que tout aller s'arranger. Le moment fatidique arriva. Le moment de la soirée tant attendus arriva. Les élèves, invités et corps de l'établissement réunit pour découvrir les nouveaux élèves qui intègreront les Jewel. Le directeur fit face à la foule sur scène.

    - Voilà plusieurs années que j'ai le privilège d'intégrer 5 élèves de la première année l'équipe des Jewel. Ces élèves auront marqués le section, et rendront un bel hommage et honneur à notre école en participant au SO. Sans cogiter davantage voici les résultats.

    Un grand silence s'ensuit. Les élèves en suèrent de peur. Les caméras télés s'apprêtèrent à filmer les heureux élus. Puis, sur l'écran géant derrière le directeur s'afficha les visages et noms des sélectionnés.

    - Ikel Schawn ! Nikita Ald ! Molie Ultrek ! Olrika Red-Brown ! Elaina Lucreil ! Applaudissez-les !

    Des milliers d'acclamations félicitèrent les sélectionnés. Eux-même fou de joie. Ils furent invités à monter sur scène où les caméras filmèrent les nouveaux Jewel. Des feux d'artifices illuminèrent le ciel et félicitèrent les gagnants. Parmi le publique, Elaina repéra des personnes qu'elle n'aurait jamais crus revoir ici. Elle profita avec son copain et son amie de leur victoire, puis le directeur leur remit des médailles et badges confirmant leur intégration dans l'équipe. Les festivités s’estompèrent, les élèves démontèrent les stands excepter les Jewel partis pour un repos largement mériter. Au portail de l'académie, Elaina enlaça son père venu la voir.

    - Je suis fière de toi ma Puce. Tu vas pouvoir revenir en France sans qu'on ait à bouger le doigt.

    - Sauf que je n'irais pas pour des vacances, mais pour les Jewel dans plus d'un mois débutera les SO. Je dois me concentrer.

    - Je sais bien. D'ailleurs en parlant de se concentrer, en ce qui concerne ton copain.

    - Ne t'en fais pas, j'ai pris une décision. Pour toi, pour maman, pour grand-mère et toute la famille, je quitterais Ikel même si mon cœur se brisera.


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