• Sorasparkle Viewers

    Synopsis

    Sorasparkle Viewers, une école formant par sélection des jeunes dans l'univers du spectacle. Les élèves proviennent des quatre coins du monde dans le but de se former et de se trouver une place dans se secteur. Une jeune française tentera de réaliser le souhait de sa grand-mère en partant étudier à Sorasparkle Viewers. Le premier jour, elle rencontrera un nouvel élève avec qui elle éprouvera de fort sentiment amoureux sous les contestations de leurs familles. Audace, persévérance, envie. Chaque élèves a une motivation pour réussir dans cette grande école et éblouir le monde lors des SO: Spectacle Olympique. La jeune française, Elaina-Maria, choisira-t-elle de réaliser le souhait de sa grand-mère avant le bout de sa vie ou décidera-t-elle de satisfaire ces envies ?

  • Vendredi 30 Août 2031 / 7H45

    Aéroport de Orly / France

    PDV Auteur

     

    Tôt ce matin, une famille s'apprêtait à se détacher d'une jeune fille. Cette dernière fessait un gros câlin à sa mère. Les deux possédaient les mêmes traits de visage, une longue chevelure, la mère brune, la fille rose avec les pointes noirs, un teint clair. Après une longue étreinte, elles se séparaient tandis que la grand-mère, ressemblant énormément à la mère, s'approcha d'elle. Sans gêne, elle écarta sa fille pour à son tour enlacer sa petite-fille.

    - Maria, je suis si fière de toi. Nos entraînements auront portés leurs fruits.

    - Elle s'appelle Elaina, maman, s'énerva la mère.

    - Si tu veux, mais moi je l'appelle Maria. Ma petite-fille va participer au SO, je suis si heureuse.

    La grand-mère étouffa presque Elaina en l'enlaçant. Quand le dernier appel pour son vol retentit, Elaina donna un bisou sur la joue de sa grand-mère, puis s'extirpa de ses bras. Elle se tourna vers sa famille pour un dernier au revoir, puis s'engagea vers le portail de sécurité à fin d'atteindre la porte de son avion en direction de l'aéroport Chengi de Singapour. Le voyage dura 13H sans escales. Durant le vol, Elaina dormit une grande partie et prépara ces cours de la rentré. Sinon, elle admirait les nuages défilaient sous l'avion, malheureusement son voisin ne cessait de discuter au téléphone ne profitant pas pleinement de son vol. Une fois finit, Elaina rejoignit un espace dédié aux nouveaux élèves de Sorasparkle dans l'aéroport. Conduit dans une grande salle, les nouveaux élèves provenaient des quatre coins du monde, la majorité semblait connaître au moins une personne. Contrairement à eux, Elaina ne connaissait personne, de ce fait elle s'installa sur une chaise qui donner sur le tarmac avec son sac à dos et sa valise à la main. Selon les animateurs, ils attendaient l'arriver de tous les élèves pour prendre un car qui les emmèneraient à un port. Pour les faire patienter, des collations diverses et variés étaient à la porter des élèves. Les heures passaient, et les derniers élèves arrivèrent enfin. Toutefois, l'attente s'allongea dans le but de compter les élèves. Après cela, tous montèrent dans le car, puis quelques heures de conduites et le port était à porter de vue. Monter sur le bateau, les nouveaux élèves admiraient la beauté de la mer. Par chance, le soleil brillait haut dans le ciel et la chaleur était au rendez-vous ce qui força les élèves à s'habillaient chaudement. Il fallut plusieurs heures pour que l'île soit à porter de vue. Au fur et à mesure que le bateau naviguait proche de l'île, les élèves distinguaient une haute montage se dressait à l'horizon. Le soleil s'apprêtait à se lever rendant le spectacle à couper le souffle. Au loin, une ville portuaire splendide s'affichait, mais le bateau n'y accosta pas, au lieu de ça, il se dirigea de l'autre coté de l'île où un autre grand port se trouver. Actuellement, il était 6H du matin.

    - Les nouveaux élèves sont priés de bien vouloirs descendre du navire ! N'oubliez aucun bagages à bords, et veuillez vous diriger vers les cars prêts de l'entrée du port. Merci à vous !

    Le voyage s'allongea encore. Installer dans les cars, il fallut une dizaine de minute pour atteindre enfin l'école. Elaina descendit du car, prit sa valise et son sac, puis contempla comme les autres élèves l’imposant portail qui se dressait devant eux. Au dessus du portail, une étoile en bronze couronné l'entrée. Elle s'ouvrit sur une belle blonde aux yeux pers, aux formes généreuse, habillait d'un tailleur gris. Rien que par sa présence, elle dégageait une aura chaleureuse et bienveillante sans une once d'autorité. Grâce à un micro qu'on lui tendit, elle s'adressa aux nouveaux arrivés.

    - Bonjours à tous. Je vous souhaite la bienvenue à l’École Sorasparkle Viewers. J'espère que vous aurais fait un bon voyage malgré la longue distance que certains d'entre vous ont dus parcourir. Mon nom est Terra Sparkle, sous-directrice de cette École. Comme vous venez d'arriver, nous vous proposons de vous reposez pour la journée. Ainsi, vous rangerez vos affaires et pourrez faire une petite visite de certain site à votre guise. Toutefois, veuillez à prévenir vos responsables au préalable. Nous nous reverrons dans 2 jours pour la rentré où vous rencontrerez le directeur de l'établissement. Sur ceux je vous dis à lundi.

    Après que Terra soit partit, les responsables dispatchèrent les élèves dans les chambres. Elaina se trouvait au deuxième étage dans l'aile est réservé au fille. En y entrant, la superficie paraissait normale, de grande baie vitrée agrandissait la pièce laissant passer les rayons matinales. Un lit plaqué au mur, un petit bureau en face, un placard à coter et une porte qui menait à une salle de bain personnelle. À des kilomètres de chez-elle, le voyage ne l'avait pourtant pas fatiguer, alors elle défait sa valise et son sac tout en repensant aux premières informations inculquer. Après avoir traverser le portail se tenait une grande fontaine entourer de parterre de fleure coloré. Ensuite trois chemins s'offraient aux passant, continuer tous droits mener au bâtiment principales, la deuxième donné sur l'internat et la dernière sur des bâtis et terrains utiliser pour certains cours ou, dans certains cas, des évènement. Tous sera plus expliquer lors de la première journée, les tuteurs auront la responsabilités des élèves. Ces derniers, Eden et Gary respectivement responsable du dortoir fille et garçons. Malgré une apparence plutôt négligé, Eden semblait être une femme tolérante, mais avec des traits strictes à la limite de l'asocial. Physiquement, elle avait tous d'une mannequin avec des formes développés, une paire de yeux émeraudes et de cours cheveux châtains en carré. Au contraire, son collègue blonds, aux yeux bleu, Gary, paraissait sûre de lui et dégageait une allure remarquable. Pour une première fois, l'établissement était à la hauteur des espérances. Un immense terrain recouvrant la moitié de l'île, des élèves venus du monde entier sans tenir compte de leurs classes sociales. Leur réputation ne s’usurpait pas. La crème de la crème du spectacle réunit en un lieu pour former les prochains "Jewels". 2 semaine plus tard, Elaina s'habituait au rythme des cours. La différence se ressentait entre les cours théoriques et pratiques, et les devoirs à rendre. Lors de l'inscription, les élèves choisirent entre certaines disciplines:

    - danse (claquette, ballet, Hip Hop, ect...)

    - chant (J-pop, K-pop, jazz, ect...)

    - mode (création de vêtement, de décors)

    - comédien/acteur

    - metteur en scène/réalisateur (gestion de la mise en scène, acteur, ect...)

    - expertise numérique (modéliser, adaptateur, ect...)

    - sport [facultatif] (patinage, équitation, gymnastique, football, tennis, ect...)

    Le nombre se limitait à trois. Quant à Elaina se fut sa grand-mère qui rédigea entièrement ces fiches d'inscriptions, et donc ces disciplines. À cette heure de l'après-midi, les élèves déjeunaient au réfectoire du bâtiment principal. De grande baie vitrée illuminait la pièce, les tables rectangulaires alignaient facilitées les déplacement élèves. Seule dans un coin, Elaina mangeait des légumes à la vapeur au saumon comme sa grand-mère lui enseignait. Depuis longtemps, son aïeul lui exigea un régime stricte, lui interdisant la nourriture grasse et mauvaise pour le corps. Les quelques fois où elle en mangea, sa mère s'arrangeait pour l'emmener discrètement dans le dos de la matriarche ou cuisiner des pâtisseries. Son repas terminait, Elaina descendit en ville, avec l'accord de Eden, pour s'acheter quelques vêtements ou autres. En s'y promenant régulièrement, elle remarquait que la ville portuaire vivait majoritairement grâce aux importations, et de quelques champs agricoles. C'était la même chose pour l'école, elle rendait fière l'île en accueillant suffisamment de visiteur pour vivre. En ville, toutes les résidences étaient en pierre, les rues marchandes, interdit aux véhicules, laissait les piétons déambuler sur un large pavé. La population était accueillante et souriante apportant son aide à quiconque le demander. La joie et la bonne humeur imprégnaient tellement les visages qu'elles se sentaient dans l'air. On y respirait la joie de vivre et la mer, on y entendait les doux bruits des vagues et en montagne ceux du vent frais caressant la peau. Le soleil baignait chaque corps de ces rayons et apportait une touche de chaleur aux cœurs. Elaina ressentait tous cela, en se baladant à travers les rues, sac du dernier magasin à la main. En France, l'air était pollué et les gens n'étaient pas aussi chaleureux. Le cadre et son rêve se complétaient parfaitement sur cette île. Les deux en harmonies plairaient-ils aux gens ? Non. On le lui avait déjà reprocher son rêve illusoire, qui ne se réalisera jamais. Deux heures qu'elle déambulait dans la ville, Elaina sortit de l'aire urbaine pour se rendre sur une falaise à quelques kilomètres de la ville. Face au soleil, cheveux aux vents, le regard plongé dans l'horizon. Une début de mélodie lui venait aisément, sa tête jouant une douce mélodie.

    << Caché sous terre, comme dans les mers.

    La vie n'est pas éphémère.

    Elle est comme les rêves.

    Rêver s'est nécessaires ! >>

    Sa voix porta jusqu'à loin vers la mer s'allongeant à l'horizon. À une telle distance, personne ne pouvait l'entendre depuis la ville. Pourtant, à seulement une centaine de mètre, un jeune homme l'entendait et l'observait admiratif à sa voix, la puissance, la sensation qu'elle émettait aux timbres de sa voix. Elaina ne le remarquait pas, mais lui la connaissait. Dans la même classe en discipline mode décoration, Ikel(prononciation: aikel), un élève par excellence plutôt en bonne entente avec tous le monde, mais paraissant mystérieux. Elaine resta quelques minutes sur la falaise, ignorant la présence de Ikel. Le lendemain matin, Elle s'habillait pour un mercredi complet avec un long débardeur blanc, un court t-shirt noir aux épaules dénudés par dessus, une mini jupe et une paire de basket assortie. Pendant qu'elle arrangeait ces affaires dans son sac, Elaina attachait en même temps ces cheveux en une queue de cheval avec quelques mèches en désordres. 7H55 Les élèves du cours de chant pop arrivaient les uns après les autres dans la salle. Pour la première fois, le professeur arrivait en avance: longue jupe bordeaux, débardeur rose pâle, yeux noisette, blonde en chignon. La cloche sonnait le professeur fit une annonce aux élèves.

    - Bonjour à tous. Les cours suivants seront très différents. Vous enregistrerez votre première vidéo démonstratif sur une chanson de votre choix...

    Elle ne pouvait finir sa phrase que les élèves s'exclamaient de joie. Même si se n'était qu'une démonstration, l’excitation se lisait sur tous les visages. Elaina n'en fit pas exception, très impatiente de montrer le résultat de ces entraînements.

    - Veuillez-vous calmer ! Pour vous aider à monter la vidéo, vous ferez équipe avec un élève de la discipline numérique. Et vous n'aurez pas une note individuelle mais groupé. N'oubliez pas se que je vous ai enseigné. C'est bien de savoir chanter ou d'avoir de bonne parole, mais ça ne fait pas tous. Réfléchissez bien. Pour ceux étudiant les deux disciplines, vous pourrez la faire seule mais le travail sera plus ardue. Nous vous laissons 1 semaine pour nous l'envoyer, jusqu'eux là vous devrez aussi suivre vos autres cours en parallèle. Nous vous demandons beaucoup pour un début d'année, mais il est nécessaire que vous vous habituez à un rythme accéléré. Estimez-vous heureux que l'on ne vous force au choix du camarade. Nos cours ensembles seront annulés, vous aurez donc assez de temps. Sure ceux, bonne semaine.

    La professeure partit, les élèves empressaient de se rendre dans la salle d'en face où la discipline numérique était enseignée. Quand Elaina arriva, beaucoup de groupe s'étaient déjà former. Parmi ceux n'ayant pas de partenaire, un jeune garçon un peu à l'écart vers la fenêtre attira son attention. Elle s'approcha de lui hésitante. Il avait de beau yeux bleu et des cheveux anormalement noir, mi-long avec des mèches rebelles. Au fur et à mesure de sa marche, ces yeux reconnurent Ikel de sa discipline mode décoration. Lorsqu'il leva ces yeux noirs, Elaina s'arrêta devant lui.

    - Heu...est-ce que tu voudrais bien faire le projet avec moi ? demanda Elaina triturant sa jupe.

    - Ouais, si tu veux, répondit-il l'aire fatigué.

    Elaina était contente malgré le manque de motivation perceptible, elle le remercia avec le sourire, puis s'assit sur une chaise pendant que son camarade prit un carnet de note.

    - Pour commencer, débuta Ikel, je dois écouter ta chanson pour me mettre dans l'ambiance. Ça m'aidera surtout pour le décors, et les paroles pour les effets.

    - D'accord, mais j'hésite sur la chanson.

    - Tu dois faire vite. Réaliser une vidéo prend du temps.

    - Je sais...mais...J'hésite entre une chanson crée par moi ou une déjà existante...

    - Attends. Allons ailleurs pour travailler. Dans une salle de la bibliothèque.

    Les deux quittèrent la salle pour la bibliothèque au 1 étage. Ils isolèrent dans une salle en fermant la porte. La salle ne comportait qu'une table avec quelques chaises et une petite fenêtre laissant passé l'air.

    - Bien maintenant que nous somme seul, continue se que tu voulais me dire.

    - Donc, par rapport à la chanson. J'ai en tête un style plutôt spatial, mais j'aimerais également danser.

    - Si tu décides ce genre de chanson, le choix est plutôt restreint. Mais en plus, tu veux danser. Donc, la chanson devrait venir de toi, en particulier si ta danse est personnel. Mon rôle sera de souligner ton talent. Ensuite, je ne peux rien faire d'autre.

    La déception se lisait sur son visage. Son potentiel n'était pas exécrable, mais loin de la perfection que rechercher sa grand-mère. Ikel tenta de lui remonter le moral.

    - Ne t'en fait pas, moi aussi pour que mon travail soit impeccable, il faut que la chanteuse donne son maximum.

    La jeune chanteuse esquissa un sourire que Ikel lui rendit. Durant le reste de la journée, ils commencèrent leur travail s'entraidant au besoin. 18H45 Les deux coururent en sortant du bâtiment vers l'internat en espérant ne pas être en retard pour le couvre-feu de 19H. Traversant le chemin pavé, cadrer par des arbres cachant les quelques rayons de soleils qui se coucher. Une légère brise vint caresser leurs cheveux aux vents, mais rafraîchir leur visage de sueur par la course. Arriver, ils marchèrent les quelques marches pour atteindre le palier, Elaina s'accouda à la balustrade à fin de reprendre son souffle.

    - Bon sang. J'ai l'habitude de pratiquer une activité physique, mais le stress d'arriver en retard m'a essoufflée, soupira Elaina.

    - Prends ton temps, le dîner n'est que dans 5 minutes.

    Elaina s'assit sur les marches exténuer. En relevant la tête, ces pupilles scintillaient face au couché de soleil face à eux, même s'il était dissimulé par les hautes arbres entourant l'internat. Ces rayons illuminaient 50% de la Terre. Mais ça reste une étoile. Une grosse et scintillante étoile. À la fois porteur de vie et de mort. Tel un rayon illuminant une ampoule, un stylo et un cahier à la main, la jeune chanteuse écrivit sa nouvelle chanson. Ikel le remarqua et jeta un coup d’œil par dessus son épaule.

    - Le début du refrain n'est pas si mal, constata Ikel. J'aime beaucoup les rapports entre les spécificités astrologiques et, à se qui semble être, un rapprochement à ta vie personnel. Lorsqu'on écrit une chanson sur un thème précis, il est important d'avoir quelques notions de vocabulaire. Ce qui semble être ton cas.

    - Oui, ça m'est déjà arriver de lire des livres sur l'astrologie. Tu trouves ça inspirant pour le décors ?

    - Oui à 100%.

    - Eh, Ikel !

    Une voix stridente appela le jeune homme en même temps que la porte d'entrée s'ouvrit en grand, une jeune fille très élégante accourra vers Ikel. Elaina s'étonna en la voyant. Son physique se comparait aux plus grands mannequins avec une longue chevelure zinzolin parfaitement peigné et des yeux saphirs. Elle s'avança d'un pas décidé vers eux, Ikel l'a fit face.

    - Où étais-tu passés ? Je m'inquiétais de ne pas te voir à la cafétéria.

    - Je travaillais avec Elaina.

    À la mention de son nom, la fille détourna le regards vers Elaina d'un œil mauvais ce qui la surprit.

    - Peut importe. Vous ne travaillez pas à ce que je vois, donc tu peux venir manger, déclare-t-elle avec dédain.

    - Oui, j'arrive laisse-moi juste une minute, Ikel s'adressa à Elaina. On continuera demain. Tu es disponible l'après-midi ?

    - Non, mais vers 11H il y a pas de problème.

    - On fait comme ça. Je t'attendrais en salle de travail.

    La jeune fille agrippa le bras de Ikel et le tira à l'intérieur laissant Elaina outré par son attitude désintéressant. Pour une raison qu'elle ignorait, Nikita Ald paraissait sur la défensif et même craintif vis à vis de Elaina. Pourtant, les deux ne se côtoyaient que lors de leurs cours de danse pop. Après cette altercation, son appétit cessa et elle prévenu sa responsable de son absence au dîner, puis continua de travailler dans sa chambre jusqu'à tard le soir. Comme le disait ça grand-mère "Rien n'est plus important que la réussite, même l'acharnement ne doit pas me détourner de mes objectifs." Le jour suivant dans la salle de travaille, Elaina attendait depuis plusieurs minutes la tête enfouiller dans ces bras sur la table. Puis, quand la porte s'ouvrit enfin, Nikita apparaît au bras de Ikel.

    - Elaina, je te présente Nikita, une amie d'enfance. Niki voici Elaina, une camarade.

    Nikita ne fit aucune réaction à l’égare de Elaina. Cette dernière souffla en sentant que les heures seront longues. Toutefois, la présence de l'ami d'enfance ne la déconcentrait pas puisqu'elle réussit à dialoguer avec Ikel. Ce dernier lui proposa de bonne idée pour l'arrière-plan et les effets spéciaux, les lumières et les couleurs principales. Ainsi, les deux pourraient travaillés chacun de leur côté. Après deux heures, Nikita s'adossait à Ikel tout en jouant sur son smartphone. Ce dernier lista les dernières indications pour commencer sa partie.

    - C'est bon. J'ai tous se qu'il me faut. Lorsque tu m'enverras l'enregistrement, nous devrons enregistrer tes mouvements, puis je ferais le mixage, et nous en aurons terminer. D'abords, je vais commencer la mise en œuvre.

    - Ça marche. Là, j'vais me rendre à la cantine pour manger quelques choses avant d'aller en cours.

    - Très bien. Bonne appétit.

    - Merci.

    Elaina quitta la pièce laissant Ikel et Nikita seuls.

    - Dis-moi Ikel. Pourquoi avoir accepté de travailler avec elle ? Cette fille me paraît bien dénuer de toute éducation correcte, se plait Elaina.

    - Elle ne vient pas du même milieu social que nous, je présume ?

    - Ça se voit. Par ailleurs, le fait que nous devions nous mélanger aux prolétaires m'importunes. Ils n'ont pas eut la même éducation que nous et on grandit dans un monde "cruel". En parallèle, nous avons grandit dans un monde de rêve. Rencontrer et côtoyer des célébrités et personnes importantes du monde. C'est notre quotidien. Tandis qu'ici, on possède un niveau, quasiment, égal.

    - Le plus simple serait que tu t'en ailles, répondit froidement Ikel toujours concentré sur son ordinateur.

    - Qu'est-ce que tu dis ! s'écrie-t-elle. Je suis sûr que tu n'en penses pas un traître mot. Après tous, on se connait depuis bien longtemps tous les deux. Tu ne supporterais pas de me voir partir. D'autant plus que nos familles songent à nous fiancer, alors ne soit pas réfractaires à moi.

    Leurs fiançailles n'avaient pas été rendu officiel. Actuellement, ce projet était en discussion malgré un vote à l’unanimité des deux cotés de la famille. Ikel acceptait cette décision sans le moindre sentiment. Accepter d'épouser sa plus vielle amie n'altérer pas son jugement sur ce mariage arrangé. Tout se qui l'importer se résumer à réaliser son rêve, sinon tous le reste n'avait pas la moindre importance. La semaine passa rapidement, entre temps Ikel et Elaina achevèrent leur projet. Dans seulement quelques instants, ils recevront leur toute première note de l'année. Installer confortablement sur son lit, simplement éclairé par la lampe de son chevet, Elaina attendait impatiemment sa note. Une fois reçut, elle l'enverrait à sa famille sans la moindre hésitation sur la qualité de sa note. Sa confiance envers le travaille ardu qu'à endurer Ikel ne la décevrait pas, se convint-elle. Toujours les yeux rivaient sur sa boite mail, une notification l'a fit sourire, et s'empressa de l'ouvrir.

    "Bonsoir, Mr Schawn et Mlle Lucreil,

    Votre projet a été des plus impressionnant, que se soit dans l’aspect visuelle et technique. La chanson personnalisé a valorisé votre note étant donné que Mr Schawn a dut faire des efforts pour s'adapter à votre style. Grâce à votre travail, votre note est de 93/100. Bonne soirée."

    - Youpi !

    Elaina ne tarda pas à appeler ces parents pour leurs annoncer la bonne nouvelle. En attente d'une réponse, elle envoya un mail à Ikel pour le remercier. Après quelques sonneries, la voix de sa mère retentit dans le téléphone. Elaina annonça la bonne nouvelle à sa mère, qui ne put retenir un crie de joie.

    - Ma chérie, je suis si contente pour toi ! Tu as prévenus grand-mère.

    - Non pas encore.

    - C'est pas grave. Tu lui enverras un message pour lui dire. Je suis tellement fière de toi. Tu parviendras surement au SO.

    - Merci maman. Je l'espère, ça ferra plaisir à grand-mère.

    - Ne t'occupe pas d'elle et pense uniquement à ton bonheur, d'accord ?

    - D'accord, maman. Tu sembles toujours en mauvais terme avec elle.

    - Si tu savais se qu'elle me fessait quand j'avais ton âge, dit la mère exténuer. Enfin, ne l'a laisse pas te contrôler, voici mon conseil lorsque je ne suis pas là et que tu es seule avec elle.

    - J'essayerais d'y penser pour la prochaine fois.

    - Très bien. Je ne vais pas te déranger. Fais de beau rêve ma puce. Je t'aime.

    - Merci. Moi aussi, je t'aime maman.

    Sur ces belles paroles, elle décrocha avec sa mère. Pour le moment, Elaina s'accrochait et fessait de nouvelle rencontre comme Ikel. D'ailleurs, son nom de famille ne lui était pas inconnu. Mais, la fatigue gagna. Elle rangea son ordinateur, s'installa confortable dans son lit, puis ferma les yeux. Il ne lui fallut pas longtemps pour plonger dans le monde des rêves.


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  • Mercredi 12 Novembre 2031 / 17H05

    Ecole de Sorasparkle Viewers / Singapour

     

    PDV Elaina

    Tous les élèves de l'académie se réunirent dans le grand amphithéâtre. Sur scène, le corps enseignant et le directeur, Sora Sparkle. Lors de la rentré, il se présenta comme le frère de la sous-directrice, et à chaque une de ces apparitions des messes-basses sur son physique et son attitude décontracté se fessaient entendre. La fin du premier trimestre se terminait bientôt, mais les épreuves arrivaient à vitesse grand V. Je préparais les examens du mieux que je pouvais, en plus les élèves de ma classe de patinage doivent faire un spectacle, qui compte comme un bonus. Nous devrons le présenter à quelques enseignants et élèves. Pour l'instant, je suis convaincus que notre démonstration sera spectaculaire, et se qui me rends sûr-exciter sera la diffusion sur la chaîne de l'académie. Ma famille me verra ! Selon ma mère, grand-mère aurait presque fait un arrêt cardiaque face à la nouvelle et invitait tous mon quartiers et autre membre de ma famille à la maison, même mes deux meilleurs amies, Flavie et Leiza. Au final, le directeur ne parlerait pas des examens, mais des Jewels.

    - Très chères élèves. Au début d'année, je vous ai expliqué le terme de "Jewels". Le choix de ce mot n'est pas anodin, car seuls les meilleurs élèves de l'académie pourront faire partir de cette équipe et ainsi participer au SO. Aucune note ne sera prise en compte, mais uniquement vos capacités réels. Comme vous devez le savoirs, 3 équipes seront sélectionnés sur les élèves de 1ière, 2ième et 3ième année. Vous tous devez être à la hauteur si vous désirer intégrer l'équipe d'élite.

    Une fois terminer, les élèves et professeurs applaudirent. Mon objectif: atteindre les SO. Pour cela, je devais me démarquer au monde entier, leur montrer mon existante. Devancer les élèves, pour garantir mon acceptation. Le reste de la soirée se passa comme d'habituellement. Au dîner, je ne mangeais plus seule. Le travail de groupe m'avait beaucoup rapprocher de Ikel. Inconsciemment, je m'en étais fais un ami. Toutefois, Nikita semblait réticente et dévisageait à chaque dîner. En soirée, j'appelais quotidiennement ma famille. Je leur racontais toutes actualités du jour pendant un long moment. D'ailleurs, mon père me rappela de rentrer pour les fêtes, mais ma grand-mère écourta mon séjour pour seulement 3 jours, du 23 au 26 décembre, se qui énerva beaucoup ma mère et conduisit à une grosse dispute avec elle. À cause de cela, toute ma famille changea leur projet et date de voyage uniquement pour me voir. Demain allait être une journée chargé ayant cours toute la journée, et en soirée: entraînement pour le spectacle. Les examens approchent, et comme un de mes professeurs seraient absent je pourrais me servir du temps pour bosser avec Molie, ma première amie faite ici en cours de danse pop et mode vêtement. C'était une magnifique brune et aux yeux vert avec un corps fait pour la danse. Personne ne danse aussi bien qu'elle, tous ces mouvements parfaitement exécuter sans aucun défaut. Les professeurs l'aimaient beaucoup, mais étrangement elle ne mangeait jamais à la cantine.

    Le soleil se leva. Mon habitude matinale faite, je sortis de l'internat vers mon cours du matin. L'aprèm, je déjeune avec Molie en ville. Le matin passa assez rapidement et l'heure du déjeuner sonna. Une fois en ville, nous nous installons dans un resto japonais. Le froids gagnant du terrain, pour me réchauffer je portais un pull blue ciel et un manteau, tandis que Molie se couvrait d'un mini col roulé gris et une veste blanche. mais moi déjà réveiller entrain de me préparer. Aujourd'hui, j'optais pour un pull bleu ciel, un short blanc, des collants noirs, un manteau brun et une paire de bottine assortie, et laissa mes cheveux détachés. La matinée passa vite et l'heure du déjeuner arriva. La veille, moi et Molie avions demandés l'autorisation pour déjeuner dehors. Mon amie m'attendit donc devant le portail où il y a quelques mois nous avions franchit pour la première fois. Très bien habillé comme toujours, elle avait opté pour un jean noir, mini col roulé gris et une veste blanche avec des fils noirs donnant un style à la tenus. Le restaurant était plutôt spacieux et construit en hauteur de la rue marchande. On disposait d'une excellant vue sur le port où on voyait les bateaux arrivés et partir. Pour l'admirer, Molie nous choisit des places près d'une grande baie vitrée au deuxième étage. Après avoir passé commande, nous discutions de tout et de rien. Même lorsqu'on nous apporta nos plats, nos discussions se diversifiaient jusqu'à ce que Molie posa la question gênante.

    - El, est-ce que tu as déjà était amoureuse ?

    Je faillis m’étouffe avec mon ramen. Plusieurs toux nécessaires pour permettre à mon repas de retrouver le bon tuyaux, puis je repris une respiration normale pour répondre à la curiosité continuelle de mon amie.

    - Non, jamais. Toi, par contre, je sais que tu as étais en couple pendant 2 mois avec Sven, puis tu l'as larguer il y a quelques semaines.

    - Exacte, mais c'était justifié. Il ne fessait pas assez attention à moi. Par conséquent, notre couple n'aurait jamais duré. Mais toi, pourquoi tu n'as jamais eux de copain ?

    - Eh bien...je n'ai jamais rencontré la bonne personne.

    - Et Ikel ? Tu sembles être proche de lui.

    - Non pas vraiment. En plus, son amie, Nikita, semble ne pas m'apprécier. Chaque fois que je suis avec Ikel, elle apparaît et m’ignore complètement.

    - Elle doit être jalouse...attends, comment elle s'appelle ?

    - Nikita Ald, elle est en cours de danse pop avec nous.

    - Oui, je vois qui c'est. Nos parents se connaissent. Son père et le mien son associé d'affaire. Le mien dirige une société de multimédia international, le sien une société aérospatial. D'ailleurs les parents de Ikel sont dans la politique, sa mère est député et son père secrétaire général de l'ONU.

    - Eh ben, je ne suis entouré que de gosse de riche, déprime ai-je. C'est peine perdu, jamais Ikel ne pourrait sortir avec une fille comme moi.

    - Donc, il te plaît, défend-t-elle d'un ton coquin.

    Cette remarque me fit rougir. Ikel ne m'était pas indifférent, mais n'étant jamais tomber amoureuse, est-ce que le sentiment que je ressentait à son écart est de l'amour ? Être ami avec des riches, des jeunes au-dessus de moi socialement. Il y avait de quoi être rabaissé et sous-traité. Le comportement de Nikita envers moi se comprenait à présent. Elle devait me voir comme inhabituel. Heureusement, Molie ne se comportait pas ainsi avec moi.

    - Pour être honnête avec toi, je ne sais pas si c'est de l'amour que je ressens pour Ikel. Mais j'ai pas le temps pour ça, j'ai un spectacle à préparé et des examens a réussir !

    - Dis-moi, pourquoi es-tu toujours aussi impliqué dans t'es études ?

    - C'est comme ça que ma grand-mère ma élevé. Pour participer au SO.

    - Donc, tu ne le fais pas pour toi. Jusqu'à quand ta grand-mère continuera-t-elle à dicter ta vie ?

    Molie me posa la question comme une évidence pour elle. Je ne pouvais pas répondre à sa question, alors on rentra à l'école pour réviser les examens. Durant le trajet, elle m’interrogea sur mes relations épineuses avec les élèves du cours de patinage. Malheureusement pour moi, ma couleur de cheveux méprisait mes camarades et me valait des moqueries non rapportées à ma famille. De se fait, on ne me donnait qu'un petit rôle dans le spectacle de courte durée. L'après-midi passa rapidement et laissa place à la soirée. Les cours doublés, le coach nous fit entrée dans l'ordre d'apparition du spectacle. Les effets spéciaux étaient gérés par les élèves de la classe mises en scène, suivit par Ikel. 30 minutes après le début de la répétition générale, mon tour arriva. Pour l'entrainement tout le monde s'habilla de l'uniforme de sport: un gilet bleu, un jogging, pour les garçons, et un legging, pour les filles, de même couleur. La patinoire était très grande pouvant accueillir jusqu'à un million de spectateur. De grand écran installé, et bientôt de nombreuses caméras diffuseront le spectacle à travers le monde. Sur le thème "flocon étoilé" mon rôle s'arrêtait à faire le tour de la glace et de revenir. Aucune figure, un simple allez. Les autres élèves entreprenaient des figures seules ou en équipes plus long et plus spectaculaire, tout mon contraire. Mon minuscule show terminait, je sortis dehors prendre l'air en attendant la fin de la répète. Si je participe au spectacle avec cette petite entrée en scène Grand-Mère sera furieuse. Pourquoi tant de personne ne peuvent-ils pas m’acceptes ? La seule solution pour me présenter dans un vrai rôle serait de déteinte mes cheveux à l'originel. Mais ça n’apaisera pas les flammes de Grand-Mère, aux contraires ça les attiseras. Quoi faire ? Me sociabiliser. Non. Ça n'y changera rien. Sans m'en rendre compte, des larmes coulèrent sur mes joues. Je sanglotais à l'idée que ma grand-mère ne puisse pas me voire comme elle se l'imaginait.

    - Quelques choses ne va pas, Elaina ? me demanda une voix qui me fit sursauté.

    Je fis face à Ikel habillait d'un jogging noir et un pull de même teinte. Ces cheveux mi-long noirs ébouriffés. Me rendant compte de la continuité de mes larmes, je l'ai essuyé d'un revers du bras.

    - Rien. C'est rien.

    - Pourtant, durant ton show, tu paraissais triste. Et là, je te vois entrain de pleurer, constata Ikel suivit d'un long silence. Nous somme amis. Tu peux tout me dire.

    Après quelques hésitations, je daignais à lui raconter. Jusqu'à présent seul, je racontais mes histoires exclusivement à Molie.

    - Enfaite, depuis toute petite c'est ma grand-mère qui s'occupe de mon éducation. Elle m'entraînait durement pour que je puisse participer au SO. Au point qu'elle et ma mère se disputent très souvent. C'est elle qui ma inscrit ici et ma forcé à être la meilleure. Tout à l'heure, j'ai repensé au fait qu'elle sera déçu et très en colère de me voir à peine une minute sur les 2H du spectacle.

    - Je vois. J'aimerais te conseiller, mais moi même je suis incapable de me soustraire aux attentes qu'on pose sur moi.

    - Alors...alors tu ne peux rien faire, sanglotais-je.

    Mes larmes recommencèrent à couler à flot. J'aimais beaucoup ma grand-mère, mais elle pouvait se montrer très colérique en particulier pour mon éducation. J'en reviens au point de départ. Je suis fichu. À la fin du spectacle, Grand-mère m'appellera pour me réprimander et ma mère me défendra comme à son habitude. Et une nouvelle fois, elles se disputeront, devant tous les voisins par dessus le marché. Mes jambes me lâchèrent, mais Ikel me rattrapa de justesse. Ces bras m'entourèrent la taille. Pour une raison que j'ignore, son contact me provoqua une nouvelle sensation inconnu. Très agréable, chaleureuse.

    - Ne t'inquiète pas, me chuchota Ikel à l'oreille me fessant rougir. Je serais là si tu en as besoin. Je te consolerais comme le font les amis, n'est-ce pas ?

    - Merci. Merci beaucoup. Je t'en dois une.

    Nous restâmes quelques instants ainsi avant que l'on ne rentre. 2 semaines plus tard, le spectacle s'apprêta à démarrer. Entre temps, j'ai eus une altercation et une première discussion avec Nikita. Il y a quelques jours, en me dirigeant vers l'internat, elle me barra le chemin avec trois autres filles du cours de danse pop. Une nouvelle fois, elle me dévisagea avec condescendance me scrutant de haut en bas comme pour analyser mon physique.

    - Tu ne peux pas lui plaire. Vous n'êtes pas du même monde. Ikel est gentil avec toi par pitié uniquement. Alors ne rêve pas, il ne s'intéressera jamais à toi. Tu es une prolétaire. T'es pas si belle que moi, ma mère est mannequine. Ta mère, que fait-elle dans la vie ?

    - Pourquoi t'es si méchante avec moi ? Qu'est-ce que je t'ai fais ?

    - Tu ne comprends donc pas. C'est bien les prolétaires, incapable de discerner des raisons apparentes. Vous n'avez pas l'esprit cartésien. Sache que Ikel est important pour moi. Alors ne t'approche plus de mon fiancé ou tu auras affaire à nous. Compris la paysanne.

    Elle partit avec son groupe sans me laisser répliquer et sous la menace. Depuis, ça me ruminer dans ma tête. Ikel ne m'a jamais dit être fiancé. Ça peut être un mensonge. Il ne se serait jamais comporter ainsi envers moi s'il était fiancé.

    - Elaina ! Prépares-toi ! m'ordonna le coach.

    Vêtue de ma tenue patineuse crée pour l'évènement par les élèves du cours de mode vêtement de troisième année. Un ensemble bleu composé d'une robe et de collant plus claire. Pour l'occasion, j'ai laissé mes cheveux détachés en les ondulants. Mon tour de patiner débuta, mes patins aux pieds, je tourna sur la piste en toute simplicité en gardant le sourire au lèvre, puis revint en coulisse où m'attendais Molie. Elle me prit dans ces bras en voyant ma mine triste. À la fin du spectacle, j'observais les patineurs saluaient le public avec le coach, sans moi. Personne ne remarqua mon absence excepter celle que je prévoyais. Durant les clameurs, ma grand-mère me téléphona avec colère me gueulant dessus. Je pouvais entendre les voisins lui demandant de se calmer, ma mère la criant de s'arrêter. À un moment, quelqu'un raccrocha. Je pris sur moi et calma mes émotions. Quelques heures après, assit sur les marches enneigé de l'Internat, j'observais la lune obscurcissant le ciel étoilé, le silence rompu par les injures de Grand-mère. Ces paroles me déchiraient, j'entendais ma mère tentant de raccrocher, mon père me hurla de douce parole sous celles blessantes. Finalement, c'est moi qui arrêta la conversation. Mes yeux se transformèrent en chute du Niagara. Sans savoir pourquoi, je me mis à courir de l'Internat en pyjama, les pieds nus. Je sanglotais de froids et de tristesse tout en courant sur le chemin prit par la neige. Mes pieds virèrent aux rouges, ma respiration s'haletait, mon corps se refroidissait, mes forces m'abandonnèrent.

    - Elaina !

    L'appel de mon prénom ne m'arrêta pas pour autant. C'était comme si mes pieds ne voulaient plus s'arrêter. Je marchais comme un zombie. Ils veulent fuir. Mais où ? Des bras m'enveloppèrent par derrière arrêtant tous mes mouvements.

    - Elaina, c'est moi Ikel.

    - Je ne peux pas te parler. Je...je dois retourner à la patinoire m'entraîner...sinon...

    - Arrête. La patinoire est fermée et on ne devrait pas être dehors à cette heure, surtout dans ta tenue. Tu pourrais attraper la grippe.

    Je l'entendais. Je sentais sa chaleur contre mon dos. Mais, mes yeux se floutaient. Pourtant, je devais m'entraîner à la patinoire. Sinon Grand-Mère et maman continueront à se disputer. Grand-Mère ne pourra pas être heureuse. Et moi. Qu'est-ce que je veux ? Je sais pas. Je sais rien. Je suis perdus. Que quelqu'un m'aide. Au secours.

    - S'il-te-plaît...pleurais-je. Aide-moi. Je sais que tu es fiancé à Nikita, mais...j'ai besoin d'aide. Je t'en pris... Je te demanderais rien d'autre...et...je te le revaudrais...promis. Je te le jure.

    J'éclatais en sanglots, mes jambes s’effondraient sur la neige, mes mains jointes vers ma poitrine. Je toussais beaucoup. Soudain, je sentis un vêtement chaud se déposer délicatement sur mes épaules. Ikel venait de déposer son long manteau le laissant en simple t-shirt blanc à manche court. Il me souleva en princesse de la neige, puis mes paupières s’alourdirent pour finalement se fermer sous la fatigue. À mon réveille, les lieux me paraissaient inconnues. Mon corps ne voulait pas bouger, mais je sentais qu'il se reposait sur un lit moelleux recouvert d'une épaisse couverture chaude. En baladant mon regard sur la pièce, je vis étonnement Ikel assit sur une chaise en face de son bureau lisant un livre. Après quelques instants, il remarqua mon réveille et s'empressa de venir près de moi, s'asseyant sur le rebords du lit.

    - Comment te sens-tu ? me demande t-il d'une voix douce.

    Même ma bouche ne souhaitait pas fonctionner. Je lui répondais d'un signe affirmative de la tête. Mes yeux reconnaissaient de l'inquiétude dans son regards, puis il caressa ma joue de ces doigts froids. Mon cœur battait la chaman. Mon corps se réchauffe rapidement. Molie m'en avait parlé, mais je ne me serais jamais douter que ça m'arriverais. Depuis le début, elle avait raison. Mes sentiments pour lui sont ceux d'amour. J'en suis persuader. C'est un sentiment si fort, différent de ceux que j'ai pu ressentir. Mais, elle ne se limitait pas à une sensation. Sa simple présence me réchauffais et me réconfortais. Je l'aime, c'est une certitude. Les menaces de Nikita ne m'atteignent pas à ce moment. Sans la moindre hésitation, il approcha son visage du mien, sa main toujours sur ma joue.

    - Tu me permets.

    Ne me laissant pas le temps de répondre, il déposa ces lèvres sur les miennes. J'y répondis passionnément. C'est mon premier baiser. J'espère ne pas être trop entreprenante et bien faire. Mais Ikel semblait apprécier puisqu'il l'approfondit. Malgré la honte de lâcher des gémissements je continuais. Ikel grimpa sur le lit, lui au-dessus de moi, son poids s'écrasa sur moi. Finalement, je pus lever mes bras pour les entourer de son cou. La chaleur augmentait dans la pièce. La passion se rependait. À bout de souffle, je libère mes lèvres reprenant ma respiration. Nous ne bougeons pas, toujours dans la même position. Ikel continua ces caresses sur mon visage, mais les descendit sur mon cou et mes épaules. De tout mon cœur, j'espérais que se ne soit pas un rêve. Jamais on ne m'avait fais ressentir se genre de chose. D'ailleurs, une question me vint en mémoire:

    - Ikel... ça ne te dérange pas que je ne possède pas le même statut social que toi ?

    Il prit un instant pour reprendre son souffle, puis me répondit.

    - Il me semble que Molie et moi avons le même statut social, pourtant elle est bien ton amie. Pour moi, c'est la même chose. Ton statut, ton argent, ta provenance n'ont pas d'importance pour moi. Tant que tu restes comme tu es, rien n’interférera entre nous.

    - Merci, lui dis-je les larmes aux yeux.

    - C'est sincère.

    Une nouvelle fois, il m'embrassa à pleine bouche avec passion. Malgré l'interdiction, nous continuons et nous enlaçons toute la nuit dans sa chambre. Le lendemain matin, nous n'avions pas cours. Nous en profitions pour faire une grâce matinée. Enlacé dans ces bras, ma tête sur son torse nus, je m’apaisais contre la chaleur de son corps. Les rayons du soleil nous avaient réveillés depuis quelques minutes. Depuis, nous nous câlinons et nous embrassions comme un vrai couple très amoureux.

    - Tu vas bien ? me demande t-il.

    - Oui ça va, répondis-je puis s'en suivit un long silence. Ikel, il y a autre chose dont je voulais te parler. C'est à propos de Nikita. Elle m'a racontée que vous étiez fiancés, alors je me suis mise en tête que tu étais amoureux d'elle.

    - Non, Nikita et moi somme amis d'enfance simplement. Nos parents sont très amis, donc ils nous arrivaient de passer du temps ensemble. Un jour, nos familles ont décidés de s'unir à travers nous d'où les fiançailles, mais je n'ai aucun sentiment d'amour envers elle.

    - Alors, pourquoi vas-tu l'épousé ?

    - Tu sais, toi et moi somme pareil. Moi aussi j'ai dû mal à comprendre les raisons qui me pousse à obéir à mes parents. Nikita est plutôt jolie, mais ce mariage ne m’intéresse pas.

    - Dans se cas, pourquoi ne leur expliques-tu pas ton avis dessus ?

    - Je n'oserais pas. Et toi alors, pourquoi fais-tu se que t'ordonne ta grand-mère ?

    - Je sais pas. Elle m'a élevée donc sa me paraissait évident, peut-être ? En plus, je voyais qu'elle et ma mère se disputaient peu quand je travaillais avec ma grand-mère. Je pense que ça doit être ça les raisons qui me poussent à devenir se qu'elle souhaite pour moi.

    - Mais toi, que veux-tu réellement ?

    - Je ne sais pas. Je suis complètement perdus.

    Mes raisons sont flous. Je ne suis pas sûr de connaître la vérité. Là, maintenant, je souhaite uniquement me blottir d'avantage contre lui pour me sentir mieux. Maintenant que j'ai la confirmation qu'il n'est pas amoureux de Nikita, et même si ça ne me triture plus l'esprit, savoir qu'il n'éprouve pas d'amour pour elle me rassure. Si je ne l'avais pas rencontrer, je n'aurais probablement jamais reconnut mon manque d'affection. Pour certain, sa paraîtrait très gênant, mais tant qu'on reste discret tout me va. Je me colle d'avantage à lui enfouissant ma tête sur son cou. C'est la première fois que j’ose une telle chose. Son odeur est agréable, il est musclé et on se comprends.

    - Ikel, ne me vois pas comme une putain. C'est juste que j'aime ta présence et la chaleur de ton corps, osais-je prononcé en rougissant.

    - Ne t'inquiète pas. Reste et viens autant que tu le penseras nécessaire. Je serais là pour toi.

    Nous restons un long moment ainsi, quelques heures je dirais, puis Ikel me fit sortir en toute discrétion. Entre temps, nous avions parlé de ces fiançailles. Malheureusement, nous ne devrons pas nous voir en public ensemble plus que d'habitude et ne raconter à personne notre nouvelle relation. Toutefois, il me promit une surprise pour la fin d'année. 2 jours plus tard, les examens débutèrent, pour ma part, très mal. La veille, j'ai eu ma mère au téléphone pour me raconter la déception de ma grand-mère. Elle aurait hurlée sa colère à propos de son temps gaspiller à m'éduquer. Lorsque j'ai entendus ça mon cœur se serra et s'emplit de peine. Je voulus en parler à Ikel, mais il ne décrocha pas son portable. La matinée passa vite et se conclut par les premiers examens. Le déjeuner, je le passa avec Molie entrain de réviser. Les examens écrites continuent jusqu'à demain soir, puis les trois prochains jours seront consacrés aux épreuves pratiques de nos disciplines. Dans 2 semaines, les vacances débuterons.

    - Elaina, tu m'écoutes ?

    - Oui désolé.

    - Je te disais donc que pour l'épreuve de danse pop mon choix se tournait vers des mouvements extravagants ou plutôt sur beaucoup de chorégraphie avec des mouvements rapides, mais le risque est que je me loupe.

    - Dis comme ça je te conseille les mouvements extravagants. Mais il ne faut pas oublier qu'à travers la danse on raconte une histoire. La deuxième proposition me sembles plus approprié pour des évènements, mais c'est comme tu vois. Personnellement, j'aurais pris le risque de me louper même si on perd beaucoup de point là-dessus. Je suis plus pour les chorégraphies compliqués qu'une où je dois faire de grand mouvement, de grand geste.

    - Je comprends.

    - Mon conseil serait de faire par rapport à ta personnalité. Quand je te vois tu me paraît quelqu'un de souriante qui aime la vie et tu es une perle en danse. Peu importe se que tu choisis, je suis persuadé que tu réussiras la pratique haut la main.

    Molie me remercia et me sourit. Mes paroles étaient sincères. Elle a tout pour réussir sans compter son niveau social, ces aptitudes en danses et son énergie lui garantie une place parmi les Jewels. Quant à moi, je devais m'entraîner dure pour impressionner. Le lendemain soir, les élèves sortirent de l'établissement épuisé des épreuves écrites. Mais l'heure n'était pas encore au repos, puisque demain débutaient les épreuves pratiques de chaque disciplines. Je devrais dormir tôt aujourd'hui. Arriver à l'internat, je me mis immédiatement en pyjama, prépara mes affaires de demain, et m'installa sur le lit où je lis les textos de Ikel. Il semble que les épreuves ne soient pas compliquer pour lui, contrairement à moi. Dans ces textos, il me dit qu'il m'aime, et me soutien pour les examens pratiques. Je lui réponds la même chose avec le sourire. Ma mère ne m'a toujours pas appeler, et depuis l'histoire avec ma grand-mère je n'ose plus faire le premier pas. J'ignore même si elle accepte que je revienne pour noël. Pour le moment, je décide de ne pas en parler à Ikel. Peut-être le week-end prochain étant donner qu'il part avec Nikita voir leurs parents. Lorsqu'il m'e dit ça, mon cœur se serra, mais ma conscience me hurle de lui faire confiance. Deux semaine plus tard, mon père m'ayant envoyer mon billet, je pus décoller pour la France. Mes premières vacances entant qu'élève de l'Académie Sorasparkle Viewers. Les examens pratiques s'étaient bien dérouler pour moi. Molie et Ikel semblaient avoir cartonner. D'ailleurs, dès que Ikel revint avec Nikita de leur week-end, il m'envoya un message me disant de le rejoindre dans la forêt. Après un bisou, il m'expliqua que leurs parents avaient organisés un dîner entre les deux familles avant les fêtes. Selon le père de Ikel, la date de leur fiançailles approcherait malgré une tentative de la part de Ikel de discuter de cela avec son père. Il réessayera durant les vacances, mais la probabilité pour qu'il y arrive est quasiment nul pour moi.

    Après des heures de vols, mon avion atterrit au même aéroport qu'il y a quelques mois. Mes bagages à la mains, je vis mon père et mes amies.

    - Les filles ! Merci d'être venus me chercher ! Bonjour papa !

    - Bonjours ma chérie.

    - Salut El, t'as fait un bon voyage.

    - Oui...Oh...

    Flavie avait coupée ces cheveux bruns au niveau des épaules. Contrairement à Leiza qui ne changea pas d'un pouce. Toujours sa magnifique peau mate, son brushing noir, de beau yeux noisettes, et elle garda son habitude de porter des vêtements la montrant sur toute ces formes. Que des souvenirs en repensant à toutes les fois où des garçons la reluquer. Avant de rentrer à la maison, mon père raccompagna mes amies chez-elle, puis durant le trajet jusqu'à la maison il m'expliqua plusieurs choses à propos de Grand-mère. Rien de bon.


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  • Vendredi 23 Décembre 2031 / 21H13

    Seattle / États-Unis

    PDV Ikel

     

    Dès mon arriver à la villa, les domestiques montèrent ma valise dans ma chambre. Je n'étais là que pour noël, ensuite je repartirais à l'école. Ça ne servirait de m'éterniser. Ça ne sert déjà à rien d'être revenus: mes parents travaillent consentement. Mon père voyage à droite et à gauche tandis que ma mère travaille dans son bureau à la "maison". En vérité, cette demeure était plus une maison de vacance. Mon voyage m'avait fatigué, mais une servante vint me chercher pour m'emmener voir ma mère. Son bureau se trouvait au deuxième étage juste en dessous de ma chambre. Sur ma demande, elle a acceptée de me laisser tout le troisième étage pour moi seul. Je descendis à son bureau. Elle ne prit pas la peine de relever la tête vers moi trop impliqué avec sa paperasse de député. Malgré ça, elle restait belle. Ces longs cheveux blonds relevés en chignon lui donnait un air stricte, mais laisser paraître ces iris brunes. Son tailleur bordeaux souligne ces courbes, de quoi séduire tout homme.

    - Madame, votre fils est arrivé, annonça la domestique.

    - Bon retour chéri, me souhaite-t-elle le nez toujours sur ses papiers. Je voulais simplement t'annoncer que demain les Ald viendront fêtés le réveillon avec nous. Et ils passeront également la nuit.

    - Quoi ! Pourquoi me préviens-tu que maintenant ?

    - Tu le sais maintenant. Et puis, je ne vois pas se que sa aurait changer.

    - Comment peut-on être aussi cécité avec une si bonne vue que la tienne !

    - Ne hausse pas le ton avec moi, mon fils, me réprimande t-elle impatiente en relevant les yeux vers moi.

    Je ne resta pas une minute de plus et partit contrarié. Si elle organise un dîner avec les Ald cela signifie que mon père sera également présent. Je pourrais lui dire en face toutes les pensées qui me traversent l'esprit. Je m'écroule énervé sur mon lit et sortit mon portable. Sa voix me calmera à tous les coups.

    - Allo.

    - Allo, El.

    - Ikel ! Tu es bien arrivé ? Ton vol s'est bien passer ?

    - Oui, même s'il était long. Et ma venu ne semble pas enthousiasmer qui que se soit ici.

    - Je suis désolé. De mon coter, mes deux mailleurs amies et mon père sont venus me chercher à l'aéroport. Ma mère m'a concocter mon plat préféré...

    J'écoute attentivement tout se qu'elle me raconte. Sa famille arrivait petit à petit pour le réveillon de demain. Par contre, elle nota la réticente de sa grand-mère pour la voir. L'entendre me parlait de sa famille me fit mal, mais me décroche un sourire pour elle. Je pouvais même l'imaginer sourire en ce moment.

    - Elaina, l'interrompis-je d'un ton plus sérieux. Je dois absolument te dire quelque chose. Demain, les parents de Nikita viendront fêter le réveillon avec elle et dormiront à la maison.

    Un long silence s'ensuit. Je devine aisément son malaise. Moi même, cette idée m’effraie. Qui s'est se que mes parents ont en tête en les invitant.

    - Je sais pas quoi dire. Je te fais confiance, mais pas autant en Nikita.

    - Je t'assure qu'il ne se passera rien. De toute façon on se verra le 26.

    - Oui. Ta raison. On passe toujours la nouvelle année ensemble ?

    - Évidemment. Je te prépare une surprise que t'es pas prête d'oublier.

    - Ça sera mon cadeau de noël. Moi aussi, je te prépare quelque chose.

    - J'ai hâte dans se cas. J'aimerais beaucoup te voir.

    - Moi aussi. Tu me manques. Ah oui. J'ai mis au courant ma mère concernant notre relation. Par contre, je lui ai simplement dit que j'ai un petit-ami, rien de plus. Ma grand-mère venait d'arriver, alors...tu comprends.

    - Oui bien sûr.

    - Je te laisse. Je me lève tôt demain pour accueillir mes oncles et mes tantes.

    - D'accord. On se parle demain. Bye, je t'aime.

    - Je t'aime aussi. Bye.

    Le lendemain fut le plus horrible. La famille de Nikita arriva. Ma mère daigna sortir pour les accueillir, mais pas son propre fils. Malheureusement, Nikita serait dans une chambre face à la mienne et mon père devait atterrir en milieu d’après-midi. Je l'ai quand même eu au téléphone il y a quelques heures pour des rappels sur ma façon de me comporter avec ma fiancée Nikita. Vivement le 26 décembre où je pourrais rester un peu seul avec Elaina. J'avais déjà tout prévus: payer l'hôtel, trouver son cadeau et imaginer les endroits où je pourrais l'emmener. Je suis persuadé que mon cadeau lui fera plaisir. Ça va être son moment de présenter au monde son talent.

    Le réveillon débuta. Pour cet évènement, on me força à porter une chemise blanche et un pantalon de costume noir. Malheureusement, mon père me ressemblait énormément, même la tenus, mais ces cheveux étaient remplis de gèle et plaqué vers l'arrière avec une mèche rebelle sur la droite.

    - Quel bonheur de manger avec notre futur belle-famille, s'exclama mon père. Bientôt, nous formerons une seule et magnifique famille. Je suis comblé de voir mon fils et son amie d'enfance s'unir d'ici peu.

    - J'en suis également ravie, s’exprima le père de Nikita. D'ailleurs ma chérie, nous avons décider de vous unir au mois de juillet. Vous serez en vacances. Il fera beau temps. L'idéal.

    - Toutefois, nous n'avons pas encore décider du pays, dit ma mère. Nous vous laissons le choix. Mais si vous voulez mon avis, une île paradisiaque serait un lieu de rêve.

    - Non. Il faudrait laisser cela pour leur noce, répliqua la mère de Nikita.

    Ça m'irrite de plus en plus de les entendre parler de notre avenir sans nous demander. Nikita ne semblait pas contre, mais moi si. "J'ai une petite-amie." Voilà les mots que j'aimerais exprimer à haute voix. Sauf que si je voulais pas gâcher le réveillon, je me devais de m’abstenir de tous propos pouvant exaspérer mon père. Le dîner terminait, je m'éclipse vers ma chambre malgré les protestations de mon père. Je m'assis sur la chaise près de mon bureau, puis attendit l'appel de Elaina.

    - Ikel, m'appela Nikita.

    Je lui ouvris la porte, et me décala pour la laisser entrer.

    - Maintenant qu'on est seul, je voulais ton avis sur ma tenus ?

    Pour la soirée, elle portait une magnifique robe violette scintillante asymétrique, une élégamment écharpe blanche, une paire d'escarpin assortit, et pour couronner le tous plusieurs bijoux la ornée et un maquillage très remarquable.

    - Tu es très jolie, répondis-je simplement.

    - Ah, merci, me sourie-t-elle. Pourquoi es-tu partis ?

    - Le dîner était terminé.

    - Mais ta mère voulait encore discuter...tu sais à propos de notre mariage. Ça me fais penser que nous devrions leur donner des indications. Ta mère nous laisse libre concernant le choix du pays. Personnellement, j'ai toujours rêvais de m'unir aux Seychelles: un lieu paradisiaque avec une eau translucide, des paysage à en couper le souffle...En bref, le lieu idéal pour notre mariage.

    - Ta description me ferait bien envie pour un mariage sans contrainte.

    - Que veux-tu dire ? Il n'y a aucune restriction, nous pouvons donner notre avis. C'est notre mariage après tout.

    - Non absolument pas ! m'écris ai-je. Ce n'est pas "notre" mariage et il y a des restrictions. On ne nous a aucunement consulter avant de nous imposer ces noces.

    - Pourquoi ça te dérange subitement ?

    Elaina. Son visage me vint en mémoire à la première seconde. Les sentiments sont incontrôlables, tous comme ceux que j'éprouvais pour elle. Mais ceux de Nikita ne sont qu'unilatéral. Soudainement, elle me zieute comme pour déterminer la cause de mon changement à travers mon regards.

    - Par tout hasard, se bouleversement se nommerait-il Elaina ?

    - Pourquoi tu me parles d'elle ?

    - Je ne sais pas. Une impression que vous êtes plus proche qu'avant.

    - Pour ta gouverne, nous ne sommes qu'amis, ça ne va pas plus loin, mentis-je.

    C'est à ce moment que mon portable retentit.

    - Peux-tu sortir s'il-te-plaît. Mon appel est important.

    - Tu parles comme ton père, avec le même désintéressement que lorsqu'on était petit.

    Nikita sortit avec ces dernières paroles qui résonnèrent dans ma tête. Moi, ressembler à mon père ? Jamais. Un homme aussi égoïste et avide de sa personne. Nous ne sommes pas pareil.

    - Allo.

    - Salut El.

    - Ça va ? Ta voix me paraît triste. Ton réveillon se passe mal.

    - Il ne fallait pas s'attendre à un dîner conventionnel. Et toi, comment se déroule les fêtes ?

    - J'ai revus ma grand-mère aujourd'hui. Heureusement, elle ne s'est pas engueuler avec ma mère et elle ne m'a pas parler du spectacle. Elle était impatiente de connaître mes notes de fin de trimestre.

    - Moi même, j'ai hâte. Mais, je suis surtout pressé de te revoir.

    - Pareil, je prends l'avion après demain, très tôt le matin. On se retrouve toujours au centre ville.

    - Oui, je pars demain soir. Il est hors de question que je reste plus longtemps ici. Déjà que je dois supporter Nikita une nuit.

    - Ne le prends pas mal, mais je ne veux pas que la relation entre toi et Nikita se dégradent. J'ai vraiment l'impression d'avoir épiner votre amitié.

    - Se n'est pas tout à fait faux. Ta venue à effectivement changer les choses, mais il y a aussi cette histoire de mariage. Ne te tracasse pas l'esprit surtout.

    Nous continuons à discuter durant au moins une heure. Comme j'avais hâte de la revoir. TOC TOC TOC Une personne entra dans ma chambre sans permission. Grande surprise que de constater mon père dans ma chambre. Il la parcourut comme pour la découvrir.

    - Ta chambre ressemble à celui d'un adolescent. Je constate que tu es admiratif de l'animation japonaise.

    - Comme tu peux le voir. Mais, je ne t'ai pas invité à entrer que je sache, fis-je remarquer sarcastiquement.

    - Je n'apprécie pas ton ton, jeune homme. Tout comme ton attitude au dîner. Ta froideur nous a fait honte, en plus de ton incorrection à l'égard de Nikita.

    - Je n'ai jamais manquer de respect à mes amis.

    - Sauf qu'elle est ta fiancée, appui-il fermement. Ta future femme. Combien de fois devrais-je te le répéter ? Tu as grandement changer depuis ton admission à l'école Sorasparkle Viewers. Nous pensions qu'en intégrant la même institution que Nikita tu te serais rapprocher d'elle. Mais, je constate que ce n'est pas le cas.

    - Non. J'ai aimé Nikita comme amis et ça continuera ainsi.

    - Et pourquoi ? Est-ce que par hasard tu serais amoureux ?

    Il visa juste.

    - Si c'était la cas, que feriez-vous ?

    - Ikel, ceci était une question et j'aimerais une réponse.

    - Oui, je suis amoureux d'une autre fille.

    - Vie-t-elle en Amérique ?

    - Non.

    - Une amie de Nikita ?

    - Non.

    - Une de nos connaissance ?

    - Non.

    - Sa famille est-elle au placé ?

    - Non.

    - Qui est-elle alors ? Décrit la moi. Je suis curieux de savoir quel genre de personne a put toucher le cœur froids de mon fils.

    - Elle est originaire de France et vit en région parisienne. Elle partage certain cours avec Nikita, mais en comparaison sa motivation semble incertain et familial. Ça ne change pas le fait qu'elle est travailleuse et remplit de talent.

    - Tu en sembles épris, constate t-il en se dirigeant vers la porte. Toutefois, tu ferrais mieux de l'oublier. Contrairement à Nikita, elle serait incapable de vivre parmi nous, et encore moins de s'adapter. C'est un style de vie que l'on doit côtoyer enfant, sinon on risque le dénigrement et l'humiliation. C'est pour elle que tu devrais réfléchir.

    Une fois sortit de ma chambre, je partis dans ma salle de bain personnelle me préparer à dormir. Vivement demain soir que je puisse prendre l'avion. Le temps ne peut-il pas aller plus vite ? Plus vite, que je parte d'ici. Mon souhait s'est exaucé, le temps a filé à vive allure. Je me retrouve au port de l'île d'où je vis Elaina m'attendre sur la plage. En m'approchant par l'arrière, elle me remarqua et laissa ces bagages pour m'embrasser à pleine bouche.

    - Tu m'as beaucoup manquer, Ikel.

    - Toi aussi.

    - J'ai hâte que l'on profite l'un de l'autre avant le retour des cours.

    - Je suis persuader que les activités que j'ai organisé te rendrons toute rayonnante.

    - Je rayonne déjà en ta présence, lui souris ai-je.

    Je lui dépose un chaste baisser sur le front avant de partir vers notre hôtel. L'île compte quelques hôtels, mais beaucoup de haute qualité grâce au visiteur fortuné qui la visite durant les évènements de l'école. Notre chambre donne directement sur la mer, avec un vue panoramique sur le port, un grand lit, une salle de bain avec jacuzzi, une grande baie vitré laissant entré les rayons lumineuses naturels, et plusieurs meubles dispatchés dans la chambre. Et pour couronner le tous, grâce à la domotique la chambre n’exigeait pas de gros effort, de quoi profiter de nos vacances jusqu'au bout biens aux chauds dans le lit.

    - Waouh ! Cette pièce est magnifique. Ça a dut te couter une fortune ?

    - Pas tant que ça.

    - Enfin quand même. On aurait pus prendre une autre chambre, tu sais ?

    - Ne t'inquiète pas pour la dépense. Regarde, le soleil commence à ce coucher. Nous devrions allés dormir ?

    - Oui, mais avant je vais prendre une douche, tu veux bien ?

    - Fais se que tu veux ?

    Elle s'éclipsa dans la salle de bain tandis que je mis un pantalon de pyjama chaud. Lorsqu'elle sortit vêtu d'un pyjama d'hiver en blanc, mon cœur cessa de battre un instant. Même recouvert, je la trouvais toujours aussi belle.

    - Qui a-t-il ?

    - Rien du tout, rougissais-je.

    En un instant, on se retrouva sous la couette l'un contre l'autre. Depuis le temps que j'attendais ce moment intime entre nous. Nous nous embrassions très amoureusement, nous caressant mutuellement, nos corps l'un contre l'autre. Un sentiment d'euphorie et d'exaltation s'empare de nous. À notre âge, il n'y avait rien d'étrange à ressentir ce genre de chose. Au vue de la situation, je me dois de lui demander.

    - Dis-moi, voudrais-tu avoir un rapport avec moi ?

    Ma question semblait la surprendre puisqu'elle rougit fortement. De la fumé aurait put sortir de sa tête si c'était possible.

    - Mais...mais...mais...mais...mais...pourquoi me poses-tu cette question ?

    - Je me l'a posé. Mais, tu n'es pas obligé de me répondre immédiatement.

    - Non, c'est bon. Je vais te répondre, tu mérites bien ça. Honnêtement, ça ne me dérangerais pas. Quand t'es absent, j'ai constamment envie de t'avoir auprès de moi. On ne m'a jamais montré tant de sentiment amoureux, alors je pense que le "faire" avec toi ne me dérangerais...Bien le contraire j’appréciais...Juste ça m'embarrasse d'en parler.

    - Dans se cas, fait le moi savoir si tu en as envie. Comme ça je ferrais de ta première fois un moment inoubliable.

    Comme réponse elle m'embrassa amoureusement comme chacun de ces baisers, et j'y répondis avec la même passion. De longue minutes plus tard, nous nous endormions, exténués. Les jours suivants furent fabuleux. Nous sortions en ville, bien couvert, voir méconnaissable, fessions les marchés du nouvel an, nous promenions et nous amusions au parc d'attraction. Les plus merveilleux jours. Puis vint le nouvel ans. Le moment tant attendus pour lui offrir mon cadeau. Adosser aux barres du balcons, nous contemplions le feu d'artifice lancé depuis la plage. Les artifices se reflétaient sur la surface de l'eau et scintillaient le ciel obscure. Malheureusement, l'évènement avait rassemblé bon nombre d'habitant et touriste sur la plage, et on ne peut pas prendre le risque que notre relation s'ébruite. Je m'éclipse vers la chambre pour lui prendre son cadeau. Une fois en main, je m'avance derrière elle avant de la surprendre.

    - Joyeux Noël en retard.

    Elle me regarde émerveillé lorsqu'elle vit le micro.

    - Je connais ton potentiel. Toute l'île doit profiter de ta voix et de ta chanson. Tu vas être merveilleuse.

    - Merci, me dit elle émut.

    Grâce à des relations, le micro est raccordé aux hauts-parleurs de la ville. Un bouton suffit à activer la musique durant le feu d'artifice qui se prolongera, pour l'ambiance. Je connais déjà le son, ni rapide ni lent, profond et rythmé. Toutefois, elle devra se contenter que du refrain. Ça suffira amplement pour enchanter la nouvelle année des gens.

    - "Le tempos, la mélodie m'emporte au loin. Cette chanson n'est rien que tes sentiments. Que tu ne veux pas admettre... Cette chanson, cette mélodie. Vers l'infinie. Elle est à toi. Elle est à vous. Nous avons tout une mélodie. Une chanson qui nous décrit. Tous ces moments, elles sont chantées..."

    À son plus grand étonnement, des acclamations se fessaient entendre dans toute la ville. Apparemment, tous avaient apprécier. Elaina se jeta dans mes bras pour me remercier.

    - Merci ! Oh, merci ! Ikel, je ne sais vraiment pas quoi dire !

    - Alors ne dis rien. Tu as été génial. Encore plus que lors de notre première rencontre sur la falaise.

    - Mais cette chanson, ça fait très longtemps que je l'ai écrite. Tu ne comprends pas à quel point ça me fait plaisir. Elle représente mon ressentit pour la musique.

    Je lui souris, et on s'embrasse sous les étincelles des feux d'artifices. Trois jours plus tard, nous reprenions les cours. Et pas par n'importe quel nouvel. Tous les élèves de nouvel années étaient dans amphithéâtre. Le directeur fit des convenances, puis passa aux choses sérieuses.

    - Les vacances sont terminés. Place aux choses sérieuses. Dans 6 mois exactement, l'évènement des nouveaux élèves: Spectlight, commencera. Pour les incultes, cet évènement requière le soutient de toutes vos disciplines. Seul ou en groupe, c'est comme vous le ressentez. Mais ayez en tête que durant cet évènement de grande personnalité viendront, vos amis, vos familles, vos compatriotes. D'ici la semaine prochaine, vous devrez divulguer à vos professeurs vos projets, de tous type. C'est maintenant que votre talent sera remarquer. Nous vous offrons une opportunité unique.

    Et un nouveau stresse en plus. À coter de moi, Elaina pâlit à la nouvelle. Durant ces vacances avec sa grand-mère, elle lui mit sous pression pour participer au SO. En se qui me concerne, j'ai toujours fixé les SO. Au moment de sortir de l'amphithéâtre, je remarque Nikita nous zieuter du regards. Nous ne nous somme plus adresser la parole depuis le réveillon. Tant mieux d'ailleurs. Son indécence envers Elaina me déçoit beaucoup, mais ça m'attriste de devoir ignorer ma première amie. Avec Molie, nous déjeunions sur une table près de la cantine, dans la cour extérieur. Molie nous racontait ces vacances et nous demanda beaucoup d'explication concernant notre couple.

    - Je suis tellement contente pour vous. Depuis le temps que Elaina falsifier ces sentiments à ton égard. Il lui aura fallut du courage pour enfin se dévoiler, dévoila Molie fessant rougir Elaina.

    - Le plus important s'est qu'on soit un couple maintenant. Et toi ? Qu'en es-tu avec d'éventuel conquête ? demande ai-je en croquant dans mon sandwich.

    - Toujours rien. J'aimerais aussi être un couple comme vous. Avoir un amoureux, mais les cours vont me prendre tous mon temps. Je vais devoir me démener pour Spectlight. Ça me fait penser, et si nous formions un groupe pour créer un projet, tous les trois ?

    - Trois, c'est très peu, constata Elaina. Mais, j'adorerais le faire avec vous.

    - Moi aussi, proposons une idée que l'on pourrait concrétiser.

    - Pourquoi pas un spectacle, proposa Molie.

    - De quel genre, musicale, artistique, culinaire...

    - Fessons un mélange ! Un spectacle musicale pour entraîner le publique, des chorégraphies sur glace et des effets spéciaux pour les captiver et mettre en exergue le tout, et j'en passe ! s'extasie t-elle en se levant pleine d'énergie soudaine. Voilà le genre de spectacle qui fait plaisir: authentique, éblouissant, énergique ! C'est exactement ce qu'il nous faut.

    - Ton projet est ambitieux, mais il nous faudrait plus d’effectif.

    - Recrutons. Essayons de demander à des élèves que l'on juge apte à travailler avec nous sur un tel projet tout en veillant à diversifier. Quand pensez-vous ?

    Malgré certain doute, nous abdiquons et débutions les recherches l'après-midi avec nos premiers cours de l'année. Dès la reprise, les profs nous mettent au parfum avec une tonne de devoir. Le rythme effréné des cours nous contraint tous à limiter le temps passer à la création de nos projets. Par chance, quelques amis ont bien voulut nous rejoindre, mais nous restons déborder. Tellement qu'un mois plus tard, je n'ai vus que brièvement Elaina sinon nous parlions par téléphone. Préparer le projet nous contraint à des déplacements dans d'autre pays le week-end et de rare moment de pause. Actuellement, le professeur de mode décoration nous demanda d'imaginer des tenus à partir d'une chorégraphie des élèves de danse pop. Mes yeux ne fixèrent que Elaina dans la vidéo oubliant le reste des danseurs.

    - Je vois que le spectacle te plaît, me fit remarquer Nikita sarcastiquement.

    - Tu daignes finalement me parler. Mes parents ne cessaient de m'envoyer des messages ou de m'appeler...

    - Ce soir, m’interrompt-elle, retrouve-moi derrière le dortoir.

    Elle me laissa sur ça, puis partit. Je pouvais lire de la détermination dans son regards, dans sa façon de marcher. Depuis le réveillon, nous ne nous somme plus parler. Autrefois mon amie, elle devint une simple inconnue. Sa rancune incompréhensible envers Elaina m’inquiéter, puisque ça m'éloigner de ma première amie. Pour cette raison, j'accepte l'invitation et arriva au lieu de rendez-vous le soir même. Adosser aux murs du dortoir, je vis Nikita marcher tranquillement vers moi avec son couteux sac aux épaules. Le silence lugubre et le bruissement des arbres ventés rendaient l'atmosphère glauque. Elle daigna me parler en me fixant droit dans les yeux.

    - Ikel, je veux que tu me dises, pourquoi tu ne veux pas m'épouser ?

    Même si sa question me surprit, il fallait absolument mettre les choses aux claires. Et qui s'est, elle convaincra peut-être ces parents si ma réponse la raisonne.

    - Je t'ai toujours vus comme une amie. Nous avons grandis comme tel, de simple amie très proche. Rien de plus.

    - Il n'y a pas autre chose ? me demande t-elle immédiatement. Comme...une autre fille que tu aimes...

    - Si tu fais référence à Elaina, ça n'a rien à voir. Rappelles-toi que bien avant notre intégration à l'Ecole Sparkling Viewer, j'avais des réticences sur notre mariage forcée.

    Un long silence s'ensuit, jusqu'à ce que mes oreilles entendent des sanglots émanant de Nikita, en pleure et fessant tous pour les étouffés.

    - Pourquoi...moi, je t'aime...bien plus que Elaina...Alors, pourquoi ? Mon cœur a mal de t'entendre dire que tu ne m'aimes pas comme moi je t'aime. Il ne peut pas l'accepter, et souffre le martyre. Pourtant, j'entre dans tous les critères de la petite-amie idéal: je suis jolie, j'ai de l'argent, j'aimerais l'homme qui sera à mes cotés, donc toi. Je peux te rendre heureux, ton cœur sera combler par la chaleur que je lui donnerais plus qu'on put t'offrir tes parents. Avec moi, tu te sentiras bien, personne ne nous dévisagera. Dis moi, pourquoi ne ressens-tu rien en mon égard ?

    - C'est simple, je ressens de l'amitié envers toi. Rien d'autre. Tous se que tu me proposes je l'ai déjà avec Elaina. On pourra nous dévisager ou nous huer que rien ne changera à ma décision. J'ai choisis Elaina point. S'il-te-plaît accepte mes excuses, mais je ne peux pas m'intéresser à toi.

    Sur ces paroles qui doivent lui briser le cœur, je m'en alla vers ma chambre avec un pincement au cœur pour ce que je viens lui faire ressentir. En chemin, je croise Elaina assit sur les escaliers vêtues d'une robe de nuit bleu et de chausson rose. Dès que son regards se pose sur moi, elle se leva pour s'approcher.

    - Que fais-tu ici aussi tard ?

    - Il faut que je te montre quelque chose.

    Elle me montra une vidéo totalisant plus de 100M de vus et 4,5M de like. On pouvait y voir mon père et celui de Nikita officialiser notre mariage devant de nombreux politicien et célébrité de l'écran. Cette nouvelle semble avoir le même impact qu'un mariage d'un membre de la famille royal britannique. La date du mariage à été fixer pour cet été ! Je regarde Elaina qui ne semble pas comment réagir. Ces yeux révèlent de l'inquiétude, mais en plus des cernes sous ces yeux. Je n'avais pas remarquer à quel point elle travaillait, ni sa fatigue. Maintenant, cette nouvelle s'ajoute à ces problèmes.

    - Dis quelques choses, me supplie t-elle, parce que moi, je ne sais plus quoi penser.

    - Je ne sais pas quoi dire. Mes parents ne m'ont pas mit au courant, mais je te promet de leur demander des explications...

    - Ça ne sert à rien. Je ne romprais pas avec toi, c'est hors de question. Je me suis faite aux faits que tes parents t’imposeront ton future. Moi même, je suis incapable de me soustraire aux liens qu'à nouer ma grand-mère. Alors...je commencerais à m'y soustraire pour que l'on n'est plus à se cacher. Et peut-être que après...on pourra...

    Elle hésita à tous me révéler de sa pensée. Mais ce n'est pas à elle de se démener, elle n'y est pour rien. Il en va de notre avenir à nous. Je capture ces mains entre les miennes.

    - Ne te fatigue pas. Quoiqu'il arrive, je mettrais un terme à ce mariage. Si ce n'est pas possible, alors je n'irais pas.


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