•  Jeudi 30 Mars 2032 / 14H08

    Ecole de Sorasparkle Viewers / Singapour

    PDV Auteur

     

    Dans une salle de classe, le cours de chant J-Pop de Elaina continua sur de la théorie. Jusqu'à présent toutes les chansons qu'elle créa se baser sur un thème. Et elle en apprenait de plus en plus sur se style et amélioré sa musique. Elaina se concentra sur les paroles de sa professeure.

    - Ce qu'il faut savoir est que beaucoup de style de musique ne sont qu'une alliance de plusieurs. La J-Pop n'en fait pas exception. Rappelez-vous les cours de début d'année sur les origines de se genre. Vos derniers travaux sont des preuves de votre progression qui m'ont agréablement impressionner. Pour cette raison, vous n'aurez pas de devoir durant un temps, mais pour ces travaux vous deviez créer des paroles en rapport avec les héros. Bon nombre de vous avez intégré des mots et expressions japonaises en dépit du thème. Ça m'a montré votre culture de la langue. Enrichissait là le plus possible à fin de muter vos chansons en de vrais musique asiatique. Le reste de l'heure, je vous demanderais de lister tous les thèmes qui vous vienne en tête et déjà commencer à imaginer une première mélodie. Se n'est pas un devoir. Voyez-le comme une opportunité de travailler sur un son pour Spectlight.

    Le moment propice pour débuter la création d'une nouvelle chanson. Elaina saisit l'occasion et commença à en bâtir les fondements. Elle se remémora les mots que Molie avaient prononcées en déballant son idée. Authentique, éblouissant, énergique, captivant. Son cerveau fuma à la recherche d'un thème réunissant tous ces critères. En un mot, il lui fallait un thème grandiose, qui envoyait du lourd. Sur un carnet, elle nota quelques thèmes: espaces, spectacle, rêve... Mais elle hésita à faire le contraire et à ce concentré sur la mélodie pour que s'ensuive les paroles. Elle y cogita jusqu'au lendemain après-midi. Assit sur une couverture à l'extérieur, Elaina, avec son casque sur les oreilles, continua la mélodie: rythmé, pénétrante et dansante. Cependant, elle sentit un toucher sur son épaule et sursauta de surprise.

    - Ikel !

    - Je ne t'ai pas fais trop peur j'espère, demande t-il en s’asseyant à ces cotés.

    - Un peu quand même.

    Il s’excusa l'air amusé, puis s'allongea en posant sa tête sur les cuisses de sa copine. Cette dernière continua sa mélodie à l'aide de logiciel sur son ordinateur, posé sur ces genoux. Ikel le vit et observa les méthodes qu'elle employait.

    - Cette mélodie...c'est pour un cours ?

    - Oui. Et je compte l'utiliser pour Spectlight aussi. Du coup, j’essaye de la rendre aussi parfaite que je peux.

    - Pourtant tu disais ne plus vouloir être perfectionniste.

    - C'est vrai. Mais il s'agit d'un projet dans lequel tout le monde s'investit et donne le maximum. Alors en tant que l'un des chefs de groupes, je me dois d'en faire de même. Par ailleurs... toi aussi, tu veux être un Jewel. C'est aussi pour toi que je le fais.

    Elaina sourit à son petit-ami. Ikel très touchait lui donna un chaste baiser.

    - Je t'aime, prononça Ikel.

    - Moi aussi, je t'aime.

    Après un long regards amoureux échanger, Elaina se reconcentra sur la composition de la mélodie. À des kilomètres de là, en France, la mère de Elaina nettoya le salon jusqu'à ce que son mari rentre de son travail.

    - Bonsoir chéri, ta journée s'est bien passée ?

    - Comme d'habitude. Rien ne nouveau. Et toi ta journée ?

    - Rien de spécial, c'était mon jour de congé.

    Il lui donna un chaste baiser avant de s'écrouler sur le canapé tandis que sa femme rangeait l'aspirateur. Au même moment, la grand-mère arriva dans la pièce, salua l'homme de maison, puis s'assit sur le fauteuil avant d'allumer la télé. Les infos ne parlèrent que du mariage de Ikel et Nikita depuis quelques jours, et plus dû tout du prochain spectacle de l'Ecole Sparkle Viewers. Tout en dînant, la grand-mère exposa son admiration pour les grands mariages et son souhait d'en avoir eut envie.

    - Malheureusement, ta venue au monde nous a prit tous notre temps et beaucoup d'argent. Oh. Quel dommage. J'espère du fond du cœur que ma petite-fille sera se trouver un mari lui apportant un beau et grand mariage.

    - Un mariage que tu voudras tous contrôler comme sa vie, remarqua sarcastiquement la mère.

    - Qu'est-ce que tu insinues, Rose ?

    - C'est à moi de te demander ça, s'énerva la mère. Je n'ai jamais supporter ta manière d'élever ma fille ni même tes magouilles en réécrivant son nom, même le mien d'ailleurs. Je m'appelle Klair.

    - Ça suffit, ne parle pas avec se ton à ta mère !

    - Mais tu me fatigues !

    - Arrêtez toutes les deux ! stoppa le père.

    La mère se leva de table pour se rendre vers sa chambre où elle claqua la porte. L'ambiance se tendait depuis plusieurs jours. Après des années sans intervenir, Klair comptait bien défendre la vie de sa fille comme une "vraie" mère le devrait. Le lendemain matin, un grand fracas violentait la porte d'entrée qui réveilla toute la maisonnée. Le père descendu, ouvrit la porte fatigué, mais changea d'humeur en voyant un homme élégant et classe avec des lunettes de soleil devant la porte.

    - À qui ai-je l'honneur ?

    - Êtes-vous bien Mr Lucreil ? demande l'homme en retirant ces lunettes alors que la grand-mère et la mère arrivèrent derrière le mari.

    - Oui, mais...vous êtes...

    - Le secrétaire général de l'ONU ! s'exclama Klair.

    - En effet, et je suis également le père du "petit-ami" de votre fille ?

    - Quoi ! s'écria la grand-mère. Quel petit-ami ?

    La grand-mère regarda sa fille qui paraissait surprise, mais pas par la relation de sa petite-fille.

    - Rose, tu étais au courant ?

    - C'est vrai, chérie ?

    - Oui, c'est vrai.

    - Pardonnez mon manque de tact, mais c'est que je suis assez pressée. La raison de ma venu ici est que vous demandiez à votre fille de se séparer de mon fils.

    - Hors de question, intervient la mère. Je ne contrôlerais pas la vie de ma fille !

    - Soit. Dans se cas, permettez que nous discutions d'un accords. En échange de leur séparation, je vous accorderais la possibilité de traiter votre mère avec les meilleurs soins de son cancer.

    Ahuris, ils se questionnaient sur la manière qu'il a obtenu cette information personnelle. Le médecin. C'était une violation du secret des patients et surtout une faute professionnelle. Mais surtout, ils furent surprit de sa tentation de corruption en passant par le biais de la vie. Malgré l'amour que Klair porte à sa fille, le propre corps de sa mère la fessait souffrir. De plus, cela signifier aucune mort douloureuse, des frais médicaux de 0 à leur charge, plus de temps à passer au coter de sa famille sans restriction, le reste de son peu de vie sans souffrance. Samedi, le jour le plus attendue par les élèves de l'Ecole. Un jour où l'on peut se pavaner et se laisser aller sur toute l'île. La plupart des élèves s'assirent en groupe pour continuer leur projet. Elaina et Molie planifièrent le scénario de leur spectacle ainsi que le budget et les contrats. Dans un café près de la mer, les deux demoiselles travaillèrent à ciel ouvert en sirotant de printanier boisson.

    - Elaina ! Bonne nouvelle, l'entreprise de textile accepte de nous vendre des tissus. Et nous avons reçut une autre bonne réponse de l'entreprise alimentaire.

    - Excellent. Tous ceci est génial, mais nous manquons toujours de mains d’œuvre. Même si on fabrique nous-même les tenus, il faut les imaginer avant. Et concernant l’alimentation, qui pourrait s'occuper des stands ? Nous ne sommes que trois pour tout gérer.

    - Ne soit pas pessimiste. Comparer à il y a quelque mois, on s'est agrandit. Nous allons trouver une solution.

    - Tu as raison. Mais je ne vois pas comment. Peut-être en payant des gens, mais demander les services d'entreprises répartit dans le monde nous coûtent déjà assez. Et on peut oublier l'aide de nos familles ou amis, ils viendront pour profiter pas pour travailler. Oublions aussi l'idée d'obtenir de l'aide des autres élèves, tous le monde s'occupe d'un projet.

    - Nos choix se restreint de jour en jour. Même si on trouve une solution maintenant, qui s'est combien de temps sa prendra pour le mettre en place. On aurait vraiment besoin de trois cerveaux. Où est Ikel ?

    - Il devait contacter une entreprise pour les matériaux de la scène et des petits stands, ensuite il nous rejoindra.

    - D'acc, réfléchissons encore peu.

    Durant les 2 prochaines heures, leur travail n'avança pas. Quand vint le moment du déjeuner, elles allèrent vers un restaurant où Ikel les attendit, plus éloigner de la mer. Assit près d'une vitre, les files s'assirent à la table, Elaina à coté de son copain.

    - Alors, des nouvelles ? demande Ikel.

    - Ça n'a pas trop avancer, avoua Elaina dépité.

    - Mais on a reçut deux réponses positifs de l'entreprise alimentaire et celle du textile. Et pour l'entreprise de matériaux ?

    - Je négocie pour que l'on nous prête du matériel, mais le résultat ne sera surement pas concluant. Nous devrions nous préparer à une réponse muette.

    - Que fessons-nous alors ?

    Elaina ne put entendre la réponse que son portable sonna. Elle s’excusa pour se rendre vers les escaliers où elle décrocha.

    - Allo, Maman. On pourrait se rappeler, je suis occuper.

    - Attends ma Puce, c'est important !

    - Qu'est-ce qu'il y a ?

    - Euh...eh bien...est-ce que tu te sens capable de rompre avec Ikel ?

    - Quoi... Mais...pourquoi tu me demandes ça aussi brutalement ? Qu'est-ce que tu as ?

    - Non, rien. Ne t'en occupe pas. Sois heureuse ma Puce. Je t'aime.

    - Maman! Maman! Maman !

    Malheureusement, sa mère avait raccrochée laissant sa fille incrédule face à la situation. Elle resta assise sur les marches en silence en repensant à la question de sa mère. Des gouttes de larmes semblaient vouloir couler de ces yeux. Du coté de Molie et Ikel, ils inquiétaient du retard de Elaina alors Ikel alla la voir. Dès qu'il l'a vit les larmes aux yeux, son cœur ressentit de la colère qu'il canalisa.

    - Elaina, qui a t-il ?

    - Ce n'est rien. Ne t'en fait pas. Retournons voir Molie avant de l'inquiéter davantage.

    Sans rien n'ajouter, ils rejoignirent Molie sans rien lui dire. À la fin du déjeuner, Molie rentra à l'école tandis que Ikel et Elaina profitèrent de l'après-midi pour un rendez-vous amoureux improviser. Se baladant à travers la ville portuaire, leur conversation continua sur les préparatifs des festivités. Après un long moment, ils arrêtèrent à un parc pour se reposer sur un banc.

    - Alors, tu as parlé à tes parents ? demanda Elaina anxieuse.

    - Pas encore. Pour une fois que je pense à les contacter, ils ne daignent même pas répondre.

    - Pas grave, dit elle puis s'ensuit un long silence. Je dois te dire que...

    - Qui a t-il ? C'est par rapport à ton appel de tout à l'heure ?

    - Oui. C'était ma mère, et elle me demandait si j'étais capable de me séparer de toi.

    - Pourquoi ?

    - Je sais pas, elle ne me l'a pas dit. J’essaierais de glaner des infos dès que je pourrais...

    - Attends, l’interrompt-il. Ta famille habite en France ? Les infos divulguent que mon père a rendu visite au président français il y a peu.

    - À quoi penses-tu ?

    - Non, il ne ferrait pas ça. Aucune chance qu'il ne trouva ta famille seulement pour les intimider.

    - Pourquoi tu y penses, alors ? Ça veut dire que ton père en serait capable ?

    Sans attendre, elle composa le numéro de sa mère, mais tomba sur la messagerie. Elle tenta avec son père qui décrocha.

    - Papa ! Où est maman ?

    - Elle est sortit faire un tour, pourquoi ?

    - Je voulais lui parler.

    - À propos de ton petit-ami milliardaire ?

    Ikel remarqua l'immobilisme de sa copine. L'écarquillement de ces yeux démontrait sa surprise qu'elle en perdit ces mots.

    - Co...maman t'a racontait ?

    - Elle n'a plus eut le choix quand le secrétaire général de l'ONU est venu toquer à notre porte pour nous convaincre de t'éloigner de son fils en échange de soigner ta grand-mère.

    - Qu'avez-vous répondu ?

    - Pardon ma Puce, décrocha t-il.

    - Papa! Papa !

    Dépité et sous le choc, elle expliqua tout à Ikel. À la fin du récit, se dernier fulmina de colère, attrapa son portable, envoya enragé un mail à ces parents, puis entraîna Elaina en dehors du parc. Sans lui lâcher son bras, il continua sa course jusqu'à la mairie de la ville. Devant, la chaîne de télé locale interviewait un habitant. Une fois finit, la journaliste reconnut le fils du secrétaire général de l'ONU et accourut vers lui. La caméra filmant toute la scène, Ikel arracha le micro de la journaliste puis se tourne vers la caméraman.

    - Goodmorning everyone. I'm secratary-general's son of UN. Today, I reval you the truth. I don't can married Nikita Ald, because I be in a relationship with my true love. Elaina Lucreil, dit-il en se tournant vers Elaina. My love for her is very powerfull. Also, i love you Elaina. Truly. Anyone don't shall change my feel for you. Je t'aime. [Bonjours à tous. Je suis lefils du secrétaire général de l'ONU. Récemment, mon mariage avec Nikita Ald a été annoncé. Mais la vérité est tout autre. Je ne souhaite pas me marier avec elle, pour la raison que j'entretiens une relation amoureuse. Elaina Lucreil, mon véritable amour. Je t'aime. Vraiment. Personne ne pourra changer mes sentiments en ton écart.].

    - J'avais compris, répond Elaina les larmes aux yeux. Moi aussi, je t'aime tu le sais.

    En direct à télé devant les yeux de toute l'île et bientôt du monde, Ikel apporta sa main au cou de sa chérie, l'approcha et l'embrassa amoureusement. Durant toute une semaine, les élèves de l'école dialoguaient sur leur relation surprenante. Aux infos, la nouvelle sur cette amour secret à vite fait circuler de mauvaise impression sur le directeur général qui se fessait mitrailler d'insulte sur les réseaux sociaux. Son intégrité fut souiller après avoir annoncer un mariage avec la famille Ald. Suite aux discours de Ikel pour sa petite-amie, son père l'avertit de son arriver sur l'île prochainement. Pour éviter que Elaina ne croise son père, il la colla toute la journée ce qui la fit recevoir des œillades hostiles des autres élèves. Toutefois, cela ne la dissuade pas de poursuivre son travail avec ces camarades. Molie remarqua sa détermination et tenta de calmer les élèves la critiquant dans son dos. Les mois passèrent, les élèves en oublièrent leur hostilité envers Elaina, sa grand-mère fut hospitalisé d'urgence, les préparatifs se terminèrent pour tous. Il resta un jour avant le Spectlight. Le soir, dans la chambre de Molie, avec Elaina, elle s'adossèrent à la balustrade contemplant les étoiles.

    - Demain, c'est le grand jour, déclara nostalgique Molie.

    - Oui. Nous avons tous bien travailler. Je suis persuader que nos efforts payeront aux yeux du public.

    - D'ailleurs en parlant de publique, tu ne crains pas que le père de Ikel soit présent. Il m'a confié son inquiétude.

    - Je n'ai pas peur. Si ce dernier souhaite me rencontrer, très bien. Je n'abonnerais pas Ikel à cause d'un père qui ne daigne pas écouter son propre fils. J'aime Ikel. Pour la première fois, je me sens comme les autres adolescente.

    - Tu sais quoi ? Je constate que tes sentiments vont au-delà. Qu'est-ce que tu as ressentis au moment de sa déclaration d'amour.

    - J'ai sentis mon cœur se remplir d'amour, des papillons dans mon ventre m'ont rendu bizarre. Finalement, je crois être amoureuse de lui. Peut-être parce qu'il est ma première relation.

    - Ça peut être une raison. Mais, tes multiples réactions prouvent le contraire. T'es amoureuse, sourit elle à Elaina. Et j'aimerais un jour pouvoir trouver l'amour comme tu l'as fais.

    Elaina sourit à l'admiration de son amie, puis se focalisa sur les étoiles. Demain aussi, les étoiles brilleront. Le jour tant attendu arriva. Des personnalités du monde entier arrivèrent. Les festivités débutèrent. Les uns après les autres, les juges observèrent chaque projet, puis vint le tour de Elaina et son équipe d'assuré. Leur spectacle se déroulait en pleine air, une piste de glace avait été installer et des gradins pouvant accueillir 200 personnes. Au fond, un grand rideau dissimulait les coulisses. 14H. Ikel fit son apparition sur glace habillé élégamment d'une chemise bleu, et d'une veste et pantalon noir.

    - Bienvenus à notre spectacle intitulé "Galaxia Away". Moi, ainsi que Elaina Lucreil et Molie Ultrek avons crées une coalisions. Et à l'aide de nos camarades de classe, nous offrons une expérience unique au monde que je vous laisse découvrir.

    Il se retira de la scène, puis la musique se lança. Elaina apparut sur scène vêtue d'une scintillante robe blanche de patineuse, puis se mit à chanter et danser au rythme de la mélodie. S'ensuit plusieurs 4 autre danseuse dont Molie arrivèrent et dansèrent avec elle. La glace s'illuminait pendant que la patineuse dansait énergiquement. Comme lors du nouvel an, la voix de Elaian s'étendait sur toute l'école, cette fois. Puis vint le moment du solo de Molie. Au fil des paroles de plus en plus de gens vint observer le spectacle. Beaucoup se trémousser, mais tous sembler s'amuser. À la fin du spectacle, tous applaudirent et sifflotèrent. La vingtaine d'élèves participants montèrent sur la glace avec à l'honneur les trois fondateurs. Ikel entoura la taille de sa copine. De loin, il vit ces parents l'observaient avec colère. Mais il les ignora profitant de l'instant présent. À la fin dans les coulisse, ils prirent tous des amuses-bouches en discutant entre eux. Mais soudainement, les parents de Ikel et des hommes en costumes débarquèrent rendant l'ambiance tendue.

    - Ikel, viens ici, ordonna la mère.

    Il les suivit, mais le père ordonna à Elaina de venir avec lui. Malgré les protestations de Ikel, elle accepta le regards remplit de détermination. Dans un coin reculer loin des festivités, les parents tentèrent de corrompre Elaina en misant sur la maladie de sa grand-mère. La veine de la colère de Ikel s'apprêtait à exploser en même temps que sa tête.

    - Alors qu'en dites-vous ? s'impatienta la mère.

    - Votre proposition est alléchante et je m'inquiète beaucoup pour ma grand-mère. Mais, je refuse de me séparer de votre fils. Il est extraordinaire comme le spectacle a put vous le prouver.

    Le père de Ikel sourit sarcastiquement, puis fit un pas vers Elaina.

    - Vous vous souciez donc si peut de votre famille. Je suppose que l'argent vous intéresse plus.

    - Qu'est-ce que vous dites ? rétorqua Elaina.

    - Je dis simplement que sortir avec mon fils ne vous rendra pas plus riche. Alors au lieu de vous entêter à courir après l'argent et la gloire, réfléchissez aux besoins de votre famille. Il parait que votre pauvre aïeul est alité et risque de perdre la vie à n'importe quel moment. Une chance s'offre à vous d’atténuer ces souffrances, mais il semble que cela soit les dernier de vos soucies.

    - Vous racontez n'importe quoi ! J'aime plus que tous ma famille !

    - Difficile à savoir.

    - Papa arrête !

    - Calme-toi mon chéri. Ton père essaye uniquement de protéger ton cœur.

    Les remarques du père blessèrent profondément Elaina qui eut des larmes coulées et partit en courant sans écouter les appelles de Ikel.

    - Mon chéri, cette fille n'est pas bien pour toi. Je suis persuadé que Nikita fera une meilleure compagne, tenta de réconforter la mère. Elle t'aime pour toi pas pour ton argent...

    - Vous ne la connaissez pas, interrompit Ikel. Papa, je n'y crois pas, mais si toi tu l'as découvres un peu mieux, tu comprendrais les raisons de mes sentiments envers elle. Tu sais pourquoi ? Parce que tu es ma mère.

    Sur ces paroles qu'il espère touchera sa mère, il partit en courant chercher Elaina. Après une heure à l'appeler et la chercher, il l'a trouva recroqueviller sur le toit de l'établissement. Il s'approcha prudemment, puis l'enlaça de ces bras où elle se laissa aller. Sa présence rassurante calma les sanglots de Elaina.

    - Elaina, ne t'occupe pas de ce que pense mes parents. Je sais que tu n'es pas comme ils te décrivent.

    - Merci. J'étais peiné, mais maintenant ça va mieux, dit elle en le fixant dans les yeux. C'est un jour de fête revoyons tous ça un autre jour, ça marche ?

    - Ça marche. Mais avant...

    Il ne termina pas sa phrase et embrassa tendrement sa copine, puis l'emmena par la mains à l'intérieur. Tout en descendant du toit par les escaliers, Elaina remarqua le dos large de Ikel. Un sentiment de sécurité la submergea soudainement. Elle l'aimait. C'était sa première relation amoureuse. Mais sa décision concernant sa famille pourrait tous faire basculer. Plus qu'à attendre les résultats se soir. Elaina stoppa sa marche, les empêchant de prendre le couloirs principal.

    - Qui a t-il El ?

    - Rien. Je me disais juste que mon cœur serait briser si on se séparerait. Mais, ne pensons pas à ça et profitons de la soirée.

    Le reste de la journée se déroula convenablement. Le jury rendra un verdict à 21H. Durant ce temps, le groupe de Ikel profitèrent de la fête. Molie tenta de comprendre la situation avec les parents de Ikel, mais Elaina lui fit comprendre que tout aller s'arranger. Le moment fatidique arriva. Le moment de la soirée tant attendus arriva. Les élèves, invités et corps de l'établissement réunit pour découvrir les nouveaux élèves qui intègreront les Jewel. Le directeur fit face à la foule sur scène.

    - Voilà plusieurs années que j'ai le privilège d'intégrer 5 élèves de la première année l'équipe des Jewel. Ces élèves auront marqués le section, et rendront un bel hommage et honneur à notre école en participant au SO. Sans cogiter davantage voici les résultats.

    Un grand silence s'ensuit. Les élèves en suèrent de peur. Les caméras télés s'apprêtèrent à filmer les heureux élus. Puis, sur l'écran géant derrière le directeur s'afficha les visages et noms des sélectionnés.

    - Ikel Schawn ! Nikita Ald ! Molie Ultrek ! Olrika Red-Brown ! Elaina Lucreil ! Applaudissez-les !

    Des milliers d'acclamations félicitèrent les sélectionnés. Eux-même fou de joie. Ils furent invités à monter sur scène où les caméras filmèrent les nouveaux Jewel. Des feux d'artifices illuminèrent le ciel et félicitèrent les gagnants. Parmi le publique, Elaina repéra des personnes qu'elle n'aurait jamais crus revoir ici. Elle profita avec son copain et son amie de leur victoire, puis le directeur leur remit des médailles et badges confirmant leur intégration dans l'équipe. Les festivités s’estompèrent, les élèves démontèrent les stands excepter les Jewel partis pour un repos largement mériter. Au portail de l'académie, Elaina enlaça son père venu la voir.

    - Je suis fière de toi ma Puce. Tu vas pouvoir revenir en France sans qu'on ait à bouger le doigt.

    - Sauf que je n'irais pas pour des vacances, mais pour les Jewel dans plus d'un mois débutera les SO. Je dois me concentrer.

    - Je sais bien. D'ailleurs en parlant de se concentrer, en ce qui concerne ton copain.

    - Ne t'en fais pas, j'ai pris une décision. Pour toi, pour maman, pour grand-mère et toute la famille, je quitterais Ikel même si mon cœur se brisera.


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  •  Vendredi 25 Juin 2032 / 21H55

     

    Ecole de Sorasparkle Viewers / Singapour

    PDV Elaina

     

    - Ma Puce, ne fait pas ça.

    - Si. Ma décision est prise.

    - Je refuse que tu fasses passer ta famille avant ton bonheur. Reste heureuse avec lui. Et lorsque tu viendras en France, passe nous voir.

    Mon père semblait très sérieux. Et il avait raison. Sortir avec Ikel me rend heureuse. Les paroles de son père m'ont profondément atteint, mais il n'y était pour rien. S'il n'a jamais connut le bonheur avec sa famille, ma famille deviendra la sienne. Et moi, j'allais rompre avec la seule personne qui veuillent m'aimer d'amour et qui me fait me sentir bien dans ma peau.

    - Papa, je dois y aller !

    Je courus à travers l'enceinte de l'école cherchant Ikel. Il n'était pas à l'internat ni dans le bâtiment principal. Je me rendis à la patinoire. Une fois à l'intérieur, je le vis patiner seul. Il me vit lorsque je crie son nom et me précipita près de lui sans patins. J'étais à deux doigts de tomber, mais il me rattrapa par les bras.

    - Qu'est-ce...

    - Ikel ! Je voulais te dire que j'étais désolé ! Après la discussion avec ton père, j'ai envisagé de te quitter ! Mais j'ai reconsidéré ma décision. Ikel, je t'aime. Je souhaite que tu fasses partie de ma famille. Toi, tu n'as pas eu la chance de connaître une vraie famille, alors créons-en une. Ma famille est ta famille, et même celle que nous fondrons ensemble, lui avouais-je en pleure. Je te promets de continuer à rester au près de toi toute ma vie. Je ne te quitterais jamais.

    Il me rendit un sourire émut, puis tritura les mèches de mes cheveux du bout des doigts.

    - Qu'est-ce que tu racontes. Jamais je ne te quitterais. Sois sûr d'une chose, même si l'idée te traverser l'esprit, il te faudra de grande ressource et moyen pour m’effacer de ta vie.

    Je pouvais m'attendre à beaucoup de réaction, mais celle-ci m'étonne beaucoup. De ce que j'ai pus constater, peu de jeune couple restait ensemble longtemps. Toutefois, si sa nous arriver je serais vraiment heureuse de vivre avec mon premier amour. Ikel me prit dans ces bras alors que l'air frais de la patinoire nous rafraîchit. Nous restons un long moment ainsi, puis nous nous mettons en marche vers l'internat. Le lieu était vide, car les élèves devaient encore démontés leur projet. C'était le moment idéal. Finalement, j'ai passé la soirée avec Ikel dans sa chambre en espérant que personne ne nous entendrait. Toute la nuit, nos corps se découvraient. La pièce se chauffa. Notre amour laissa libre court à notre envie de se connaître mieux. Le matin, Ikel s'est levé avant moi. J'ignore depuis combien de temps il me caressait la joue. Mais en me réveillant, mes yeux croisèrent les siennes, et il me donna un doux baiser. Nos peaux nus se touchaient dans tous les angles. Je ne regrette absolument pas ce que nous avons fait.

    - Comment te sens-tu ? me demande t-il.

    - J'ai un peu mal, mais ça va passer. C'est samedi, alors on a pas à se lever tôt. On peut rester au lit autant qu'on le veut.

    - Jusqu'à ce que l'on est besoin de nous, tu voulais dire ? Nous sommes des Jewel à présent. Attends toi à ce que l'on soit vite très occuper.

    - Pas trop tôt, j'espère ? Ça ne me dérangerais pas de passer la journée avec toi.

    - Pour recommencer ? ironie Ikel.

    - Arrête, rougis-je. C'est gênant.

    - Je te taquine.

    Il m'enlaça dans ces bras durant à un long moment, puis nous sortons en ville. Bien sûr je suis passé à ma chambre troquer mes vêtements de la veille avec un short noir et un t-shirt blanc. Ikel aussi se changea avec un t-shirt et pantalon noir. Nous prîmes notre petit-déjeuner ensemble dans un café. Nos doigts entrelacer ne se lâchèrent pas, et j'étais encore plus amoureuse. Par contre, j'avais un mauvais pressentiment comme si on nous observait. Tant pis, ma seule occupation était Ikel. Une fois finit nous marchions sur le sable de la mer pied nus toujours mains dans la mains, le soleil illuminant la mer où des gens se baigner. En cette saison, il était tout à fait normal de s'y rafraîchir. Nous nous racontions notre enfance.

    - Moi qui penser te connaître par cœur. Je continue d'en apprendre plus sur toi.

    - Moi aussi.

    - Tu sais, après notre dernière nuit, je me rends compte que notre vie est à moitié tracer.

    - Je m'imagine déjà: nous deux marier et ayant des enfants, souris ai-je.

    - Tu en veux ?

    - Avec toi, oui. Quand tu veux.

    Il me sourit en retour. Je pense réussir à le rendre heureux avec cette vision. Nous nous arrêtons pour nous assoir sur le sable. Ikel passa son bras sur mon épaule.

    - Je t'aime tellement, déclare ai-je.

    - Pas plus que moi.

    Nous nous embrassions amoureusement, je sentis ces bras me toucher de partout.

    - Arrête. Pas ici.

    - Excuse-moi.

    - Non, c'est pas se que je voulais dire. On est dehors et il y a du monde.

    Il pressa son front contre le mien pour me rassure. Ça suffit largement. Mais à ce moment, nos téléphones vibrèrent. En regardant, nous reçûmes le même message du proviseur nous donnant rendez-vous lundi matin. Ikel, d'un ton plaisantin, me fit comprendre qu'on pourra recommencer ce soir. J'en rougis de honte en pensant aux fais de mon plaisir. Le reste de la journée se passa plaisamment. Nous avons plonger les pieds dans l'eau en s'éclaboussant, puis nous avons fais de la balançoire et fais le tour des magasins. Il avait insisté pour porter mes sacs en plus des siens. Une fois arriver à l'école, il me rendit mes sacs pour que je puisse les déposés dans ma chambre. Ensuite, nous nous rendions à la cafétéria où nous avions rendez-vous avec Molie et des amis de Ikel. Une fois arriver, Molie me serra dans ces bras pour me saluer. Pendant que Ikel parla à ces amis, j'entraîne Molie dans un couloir de la cafète pour plus de solitude.

    - Il faut que je t'avoue quelque chose à propos d'hier soir.

    - Au sujet de ton père ?

    - Non, ça na rien avoir. Enfin...peut-être un peu, mais là n'est pas la question. Après avoir discuter avec mon père et après être aller voir Ikel, nous...nous avons couché ensemble.

    - Quoi ! Elaina, jamais je n'aurais crus que tu fasses une chose pareil.

    - Moi non plus. Mais c'est venus comme une évidence. Tous c'est précipité, je me sentais comme prête à passer ma vie avec lui.

    - Elaina, je te comprends. Et en aucun cas je ne remets en question se que tu as fais. Toutefois, est bien en tête que sa famille ne te portera jamais dans son cœur. S'ils apprennent votre histoire de la nuit dernière, sa va très mal se finir. Pour toi comme pour Ikel.

    - Je te promets de faire attention, lui promis-je en serrant ces mains contre les miennes.

    - Ceci étant dit, me sourit elle, je suis tous de même très heureuse pour toi. Je te promets moi aussi de tous faire pour que toi et Ikel restèrent aussi longtemps que possible.

    - Merci. Mais toi aussi tu mérites de connaître le bonheur. Et je ferrais en sorte de te trouver l'homme qui te ferra partager ce sentiment.

    - Merci Elaina ! Tu es la meilleur des amies ! Je t'adore.

    - C'est moi qui t'adore !

    Molie me serra dans ces bras, ce que je lui rendis. Puis, les autres élèves de notre année arrivèrent pour le dîner. Sur une table rond, nous mangions gaiement. Les amis de Ikel le taquinèrent souvent et il en sourit amicalement. Cette ambiance me fit du bien avec le reste de la journée. Durant toute la soirée, je sentis un regards sur moi. En me retournant, je vis Nikita me toiser du regards. Il me semble qu'elle n'a plus eut le moindre contacte avec ikel depuis un moment. Je n'arrivais pas à comprendre ce qu'il leur est arriver. De toute façon, nous nous reverrons lundi dans le bureau du directeur. Lundi. Avant le début des cours, les sélectionnés des Jewel de notre année étaient tous réunis devant le directeur Sora. Il commença par nous féliciter, puis s'étendit sur un long monologue. Il termina sur le départ mercredi matin avec les autres élèves sélectionnés des niveaux élevés. Jusqu'ici, nous avions quartier-libre. Molie et Ikel comptaient sortir pour acheter de petite chose avant le départ.

    - Allez-y, je vous rejoins après.

    - On s'appellera ! s'écria Molie.

    Je me précipite dans les couloirs à la recherche de Nikita. Je la rattrapa avec son amie, la dernière sélectionné: Olrika Red-Brown. Une des fille avec qui elle traînait constamment. Une magnifique brune coiffé court, mais ondulé, avec des yeux bleu scintillant. Jusqu'à maintenant, je ne comprends pas comment Ikel a fait pour ne pas remarquer de belle fille comme elles. Nikita ne semblait pas ravie de me voir et me regarda d'un mauvais œil. Je pris une grande inspiration avant de m'élancer.

    - Nikita, j'ai conscience que notre relation à mal débuter, et que tu me rends coupable de t'avoir voler Ikel. Mais, sache que tu peux rester son ami même si on ne s’entend pas.

    - Tes débiles, me lança Nikita violemment. Tu penses réellement que je veux être son ami. J'ai toujours étais amoureuse de Ikel. Je le connais mieux que toi. Et tu as osé me le voler ! En plus, je suis au courant de ce que vous avez fais le soir du festival Spectlight.

    J'en ouvre la bouche de stupeur. Comment pouvait-elle être au courant ? Est-ce qu'elle m'aurait entendu en discuter avec Molie ?

    - Après ça, tu crois honnêtement que ces parents n'en seront rien. Je leur ais déjà tout raconter. Attends patiemment et tu auras la surprise de ta vie.

    Elle partit avec Olrika sur ces mots. Je savais à quoi m'attendre en dialoguant avec elle. Mais, je ne m'attendais pas à ce qu'elle soit aussi amoureuse de Ikel. Il était préférable que je ne lui dise rien. Autant garder pour moi. Peut-être à notre arriver, je lui raconterais. Pour l'instant, je partis rejoindre ma meilleure amie et mon copain en ville.

    - Ikel, Molie ! les appelais-je.

    - Elaina, regarde ce t-shirt ! Tu crois que les hommes en France l'aimeront ?

    - J'en sais pas trop.

    Deux jours plus tard, les Jewel de tous les niveaux attendirent sur le tarmac. Tôt le matin, nous étions partis sur le bateau sous les encouragement des élèves. Une fois que nous avions eut l'accord des professeurs nous montions dans l'avion, puis nous asseyons pour 12H de vol sans escales. L'avion de l'école était un jet privé. Les élèves étaient séparés par niveau. Le temps passa lentement. À des moments, je m'endormis sur l'épaule de Iekl, et vice-versa. Molie ne semblait aucunement ressentir la fatigue, et potassait des magasines de mode. Puis, elle me posait des questions sur les hommes. Elle avait beau avoir voyager un peu partout dans le monde, ces séjours ne duraient pas, et donc elle ne fit pas beaucoup de rencontre. Sinon, je regardais des films avec Ikel. Finalement arriver, l’aéroport de Boissy-Saint-Léger était remplit de photographe et journaliste. Avant de descendre de l'avion, on nous avait demandé pour consigne de ne répondre à aucune question. Naturellement, les journalistes bombardèrent Ikel et Nikita à propos du scandale. Une fois dans le bus, on eut droit à un rapide briefing de la part de Loreillay. C'était la responsable de notre niveau. Elle avait de long et beau cheveux blond vénitien, des yeux vert, et était habillé d'un t-shirt jaune à volant et d'un jean.

    - Il est 19h actuellement, heure local. Nous vous laissons votre soirée, mais vous devrez être de retour à hôtel à 22H au plus tard. Entre temps, vous pourrez visiter toute la capitale des lumières.

    Lorsqu'elle finit, Molie se retourna de son siège d'en face pour nous faire face.

    - Elaina, ça te dis qu'on fasse les boutiques ?

    - J'aurais adoré, mais je dois absolument aller voir ma grand-mère.

    - Bien tempi, souffla t-elle. J'imagine que tu vas l’accompagné Ikel ?

    - Non. J'ai d'autre chose de prévus.

    - C'est surprenant. Depuis quelque temps, on ne vous voit jamais sans l'autre. On dirait des chamois. De vrais amoureux. J'espère trouver l'amour aussi ici. Tu m'aideras n'est-ce pas, Elaina ?

    - Évidemment.

    1H après, dans un hôpital en banlieue parisienne, je me précipite dans la chambre de ma grand-mère. Ma mère m'avait appelé pour me presser, mais j'ignorais pourquoi. Devant la chambre indiqué par l'accueil, je vis mon père assit la tête baisser.

    - Papa ! Que se passe-t-il ?

    - Ta grand-mère nous a raconté à moi et toute la famille son histoire.

    - Quelle histoire ?

    - Assis-toi. Je vais tous te raconter avant que ne la voie.

    Je m'exécute et ouvrit grand mes oreilles pour le récit que Papa s'apprêtait à me révéler.

    - À la naissance de ta grand-mère, elle n'a malheureusement pas eut de chance et naquit dans une famille qui n'avait pas beaucoup de moyen. Ils avaient un toit, parvenaient à se nourrir, mais ce n'était pas assez. Un jour sa mère mourut du même cancer dont est atteint ta grand-mère. Quelques jours avant, elle avait regardée les SO de l'époque avec sa mère. Elles étaient convaincus que participer aux SO ou aux JO étaient le seuls moyen de pouvoir vivre une vie plus que convenable. Elle a essayait à de multiple reprise de passer les auditions sans succès. Alors, elle est passée à autre chose. Du moins, c'est se qu'elle pensait, parce que des années plus tard ta mère vint au monde. Tout se qui t'es arriver avec ta grand-mère, lui est aussi arriver. Mais à contrario, elle s'est défendu pour vivre la vie qu'elle souhaitait.

    - Je n'imaginais pas que grand-mère avait vécut tous ça. Je veux sincèrement m'excuser auprès d'elle. Et lui dire ce que je pense.

    - Justement suis-moi.

    Je suivis mon père dans la chambre. Dedans toute la famille me fixa, alors que je m'approche du lit de grand-mère. Mais, la seule chose que je vit c'était un drap recouvrant tous son corps de la tête aux pieds. Je sentis mon cœur s’accéléra, ma respiration haletait.

    - Elle morte il y a 6 minute, dit mon père. Pardon ma Puce.

    Tel un déclic, je vis noir, puis plus rien. Je ne me souviens pas trop se qui s'est passé, mais à mon réveil j'étais allongé dans une chambre d'hôpital. Personne dans la pièce. L'instant d'après, une personne toqua à ma porte. Je pensais qu'il s'agissait d'un membre de ma famille qui s'assurait de ma santé, mais se fut tout autre personne qui entra.

    - Bonsoir, jeune fille. Pourrions-nous discuter entre fille ?

    Je n'en croyais pas mes yeux. C'était la mère de Ikel.


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  •  Jeudi 31 Juin 2032 / 8H30

    Hôpital de Paris / France

     

    PDV Auteur

     

    La mère dévisagea une Elaina incrédule. Elle s'assit en gardant tout du long une prestance élégante.

    - Tout d'abord, mes condoléances pour votre grand-mère. En suite, excusez-moi pour ma franchisse que vous jugerez mal placé, mais la raison de ma venue est à propos de mon fils.

    Elaina fixa nerveusement la mère de Ikel. Ces muscles se tendirent et son visage sua. Elle tritura ces doigts trop intimidé par sa droiture, surement enseigner pour devenir député. Une position digne pour un poste remarquable.

    - Je suis déjà au courant de se que vous avez fait avec mon fils. Vous vous êtes offerte à lui, et ainsi perdu toute innocence, insista t-elle. Sachez que si mon fils est contre le mariage que nous lui imposons, en tant que mère, je n'approuverais pas votre union non plus. Je suis convaincus que vous êtes une bonne personne, avec un bon fond. Mais, vous ne convenez pas à Ikel. Ce qui s'est passé entre vous ne se reproduira plus. Bon rétablissement.

    - Attendez ! s'écria Elaina forçant la mère de Ikel à rester. Vous avez était bien informer sur se que l'on a fait avec Ikel. Mais, si nous l'avons fait, c'est parce que nous nous aimons. Personne ne comptes plus que votre fils à mes yeux et je compte bien emmener notre relation au-delà de se que vous pourriez imaginer.

    - Donc, vous ne quitterez pas mon fils, en conclu la mère de Ikel.

    Pour seule réponse, Elaina acquiesça de la tête. Un silence régna dans la chambre d'hôpital, suivit d'un long soupire de la part de la femme.

    - Il est vrai que la classe populaire tient beaucoup au sentiment d'amour. Je m'en demande la raison. Soit, soupire t-elle en se levant. Mon fils m'avait demandé d'apprendre à vous connaître. Peut-être que je le devrais. Mais, dans mon cœur je reste convaincus que son bonheur se construira auprès de Nikita. Voyons combien de temps vous supporterez Ikel ? Parfois, il peut ressembler à son père, vous savez. Et aussi, pour le moment, appelez-moi Sally.

    Sur ces dernière paroles, Sally partit laissant Elaina seule dans la chambre. En sortant de l'hôpital, la député croisa son fils affolé sur le parvis. Il fut très étonné de voir sa mère ici. Les parents de Elaina n'avaient avertit que les responsables et Ikel.

    - Maman. Que fais-tu là ?

    - Je suis venue voir ta petite-amie. Elle venait de reprendre connaissance quand je suis arrivé.

    - Je vois, réponds-t-il simplement en s'avançant vers l'entrée.

    - Ta petite-amie est une fille déterminée, mais inconsciente de la réalité. Profites bien du peu de temps que tu passe avec elle.

    Sa mère s'éloigna vers une limousine tandis que Ikel continua sa course jusqu'à l'accueil. Après avoir obtenu le numéro de la chambre, il fit une marche rapide au numéro concerné. Il enfonça la porte, puis s'avança près de Elaina. Sur le lit, elle avait un air pensif fixant un point par la fenêtre.

    - El, comment te sens-tu ?

    - Je vais bien. L'infirmière ne devrait plus tardé.

    - J'ai vus ma mère en arrivant, dit-il en s'asseyant sur le lit. Du quoi avez-vous parler ?

    - Ne t'inquiète pas. Rien de bien méchant, je t'assure. Elle est au courant pour se qu'on a fait le soir du festival.

    - Je vois. Tu lui as dis quoi ?

    - Que tu comptes énormément pour moi et que ma vie je veut la passer à tes côtés, sourie Elaina.

    Ikel lui rendit se sourire et s'approcha pour l'embrasser goulument. Il passa sa main derrière sa nuque pour approfondir le baiser. Submerger, il enlaça Elaina pour plus sentir sa peau contre lui. Après de longue minute, quelqu'un vint toquer se qui stoppa leur échange. Ils leurs fallut une minute pour réajuster leur tenus et position, puis toute la famille de Elaina entra inquiète.

    - Elaina, accourra la mère. L'infirmière va bientôt arriver. Et vous devez être...

    - Enchantée madame. Je suis Ikel Schawn.

    - Enchantée. Vous êtes donc le petit-ami de notre fille.

    Ikel fut très bien accueillit par la famille de Elaina. Leur chaleur enjouait le garçon, qui découvrit enfin la sensation de bonheur en étant entouré de personne aimante. En fin de matinée, Elaina put sortir de l'hôpital, mais attristé en repensant à sa grand-mère décédé. Ces parents les raccompagnèrent en voiture jusqu'à l'hôtel. Une fois arriver, les responsables fessaient passés plusieurs contrôle médical à Elaina. Après cela, elle rejoignit Molie dans une immense salle où se trouvait un immense miroir prenant la moitié de la pièce. Dès qu'elle l'a vit, Molie enlaça fortement Elaina très inquiète. Elles discutèrent entre fille, puis remplit d'une soudaine envie de danser pour tout oublier. Non loin, Sally venait d'arriver à son hôtel où des portiers lui ouvrirent. Dans sa chambre, elle trouva son mari allongé sur leur grand lit trappé de blanc. La chambre offrait une grande source naturel lumineuse grâce à la baie vitrée.

    - Alors, as-tu vu cette...Elaina ? demanda le mari.

    - Oui. C'est une petite déterminé, mais ignorante. Toutefois, ces sentiments pour notre fils sont sincères et forts. Elle est véritablement amoureuse de Ikel. À un point que nous pouvons déjà annuler son mariage avec Nikita.

    - Tu sais très bien que c'est impossible. Ces parents nous le ferraient payés aux centuples. Et puis, Nikita est un excellent parti pour lui. Je ne vois vraiment pas se qui le dérange à ce point.

    - Peut-être que cette fille lui a retourné le cerveau ?

    - J'en doute. Il ne veut pas l'admettre, mais Ikel te ressemble. Aucun de vous deux ne se laisse faire.

    - Ikel me ressemble ? Ne me fait pas rire.

    De retour à l'hôtel, dans la chambre de Nikita, Olrika rangea ces affaires tandis qu'elle se prélassait pensivement sur son lit.

    - À quoi penses-tu Nikita ?

    - Je me demandais les raisons qui ont poussés Ikel a tomber amoureux ?

    - Je pensais qu'il ne t'intéressait plus.

    - C'est fait exprès. Mais, en réalité il me manque par sa présence, sa gentillesse, son avenant, son attention et j'en passe. Tous ça me plonge dans la mélancolie. Je ne supporte pas le fait que Elaina s'accorde tous ces qualités pour elle.

    Sa rancœur envers elle ne cessait d'augmenter. D'autant que Nikita savait qu'ils ferraient tous pour se voir malgré les règles. Le lendemain matin, les entraînements commencèrent. Dans un gymnase, le groupe commença à préparer quelques pas.

    - Allez, on recommence ! s'écria Loreillay depuis les gradins. Elaina, rythme des mouvements, ne lésine pas sur les mouvements saccadés ! Olrika, tu es censés de positionné à droite après le saut arrière, pas à gauche tu risques de blesser ta camarade ! Les autres continuaient ainsi, vous pouvez même oser un peu !

    Suivant les conseils, ils reproduisirent le début de la chorégraphie sous un son rythmé.

    - Bien, c'est déjà mieux. Il faut que nous travaillons la suite de la chorégraphie. Pour la suite, nous allons travaillés le duo de Elaina et Molie. Les autres continuaient de votre coté, et entraidez-vous si nécessaire.

    Loreillay conseilla le duo pour produire des changements de rythme. Lorsqu'elles y arrivent, leur mouvement devint plus assurant. On sentait la complicité entre les deux et la confiance mutuelle. À la fin, Loreillay les félicita. Puis, vers la fin de la journée, ils mirent ensemble la chorégraphie avec les solos et duos sans chants ni mises en scène.

    - Parfait, nous retournons à l'hôtel pour une nuit de sommeil mérité. Demain, nous nous entraînerons sur le chant le matin, puis reverrons la choré l'après-midi. Les SO débuteront la semaine prochaine, entrainons-nous tous dure.

    De retour à l'hôtel, le soleil s'apprête à ce coucher. Molie et Elaina s'amusaient en jouant à un jeux vidéo tandis que Ikel les regardait. À un moment, Molie décida de retourner dans sa chambre, mais avant elle fit un clin d’œil coquin à Elaina. Elle rougit fortement avant de la réprimander gêner. Ikel en ria, puis se tourna vers sa copine pour l'enlacer par derrière. Elaina lui fit face pour qu'ils puissent s'embrasser amoureusement. Ils entamèrent de longue caresse que Elaina en tomba à la renverse. Ikel continua son baiser tandis que ces touchés devinrent plus osées. Cela dura plusieurs minutes avant que Ikel ne passe sa main sous le t-shirt de sa copine, remontant jusqu'à sa poitrine. Soudainement, il s'arrête sans retirer sa main, fixant Elaina.

    - Qu'est-ce qu'il y a ?

    - Es-tu sûr de vouloir continuer ? Si demain tu as des courbatures on pourrais nous démasquer, murmure Ikel.

    - Ne t'inquiète pas pour ça. Je commence à m'habituer à la douleur que je ne la ressent plus.

    - Que préfères-tu alors ? Ardue ou lent ?

    - C'est assez gênant quand tu me demandes ça.

    - Qu'est-ce qui pourrait être plus gênant que de te voir sans rien ? ria-il.

    - Arrête, rougis Elaina.

    - Je plaisante, reprit-il plus sérieusement. Réponds-moi avant que je ne choisisse.

    Elle réponds par un sourire que Ikel comprit. Ils reprirent leur échange, et Ikel s'empressa de déshabiller sa copine. Ces mains parcoururent chaque centimètre de son corps. Il empoigna les hanches de sa copine pour mieux s’insérer en elle. Elaina ne ressentit aucune douleur comparer aux autres fois, mais un plaisir immense d'être avec l'homme qu'elle aime. Une fois fini, la jeune fille haleta fortement et s'écroula épuiser. Son copain resta sur elle en lui déposant des baisers sur les épaules.

    - Tu as eu mal quelque part ?

    - Non. Mais je vais bien dormir. Tu n'y es pas aller de main morte.

    - Qui la voulut, ricana t-il.

    Elaina esquissa un sourire, puis embrassa Ikel amoureusement. Ce dernier l'enlaça dans ces bras, déposa sa tête sur son torse, puis la perça tendrement.

    - Je t'aime El, dit-il alors que Elaina commença à trouver le sommeil.

    Très tôt le matin, le portable de Ikel sonna. Il bougea lentement son bras pour ne pas réveiller Elaina, et décrocha son portable. Il fut très surprit en reconnaissant la voix de son père à l'appareil. Son seul appel le tira de sa somnolence. Il se leva pour se placer devant la grande baie vitré.

    - Que me veux-tu ? demande t-il froidement.

    - Te souhaitais bonne chance pour les Spectacles Olympiques.

    - Rien de plus.

    - Tu pourrais te montrer moins direct et moins distant envers ton père.

    - Il y a longtemps que j'ai cessé de te montrer de l'intérêt étant donner que toi même tu ne m'en montres aucun.

    - Hum. Peut-être que ta mère a raison et que effectivement tu me ressembles.

    - Je ne te ressemble pas !

    Il raccrocha sans un mot avec une envie de jeter son cellulaire. Son obstination lui fessait bouillir de rage. Mais, un doux touché le calma. Elaina l'enlaça par l'arrière et enfouie sa tête dans son dos.

    - Ça ne vas pas ?

    - C'était mon père.

    Son étreinte se fit plus intense pour le calmer. Son cœur peina à trouver une solution. Elaina souhaitait pourtant de tout son âme rendre Ikel heureux. Comme prévus, le groupe s'entraîna au chant. Ikel étant le seul garçon, il commença puis les unes après les autres continuèrent.

    Chant de Nikita: " Shine world ! Go to sky ! Sing with her melody ! To you....and you ! Wouh Oh Oh Oh Wouh Oh ! Wouh Oh Oh Oh Wouh Oh ! "

    Chant de Elaina: " Wouh Oh Oh Oh Wouh Oh ! Wouh Oh Oh Oh Wouh Oh ! Stay here ! We'll surprise ! Hope stay human ! Still end of world ! You are a free... ! Always ! "

    Chant de Olrika: " We love you ! We love you ! Bring to peace all over the world...! Stay you !

    - Excellent ! les félicita Loreillay. Vous êtes incroyables ! Je vais surement faire quelques modifications de dernière minute sur le temps de parole. Celui de Olrika pourrait être rallonger au détriment de Ikel qui pourrait faire plus bonne impression en dance et à ces compétences de mise en scène. Je vous préviendrais dans tous les cas. Pour le moment, continuez à vous entraîner séparément ou ensemble comme vous le voulez. Mais, je tiens à ce que les duos s'améliorent.

    Même si ça ne les enchanter pas, Nikita dû s’exercer au coté de Elaina. Elles en allèrent vers une salle insonorisé. Pendant, plusieurs dizaines de minutes leurs voix se mélangèrent. Oubliant presque leur différence. Elaine se rendit compte du talent de sa camarade. Son aspect élégant et sa voix majestueuse l'illuminait avec les rayons soleil.

    - Tu devrais te montrer plus attentif. Le ton au milieu du couplet doit se sentir explosif, réprimanda Nikita.

    - Pardon, je vais me concentrer.

    - Franchement, quelle empoté, pesta t-elle voix basse.

    Elles reprirent l'entraînement jusqu'à atteindre la perfection. Leurs voix s'emparèrent de la pièce. Deux jeunes et belles filles à la voix mélodieuse, chantés leur plus merveilleuse prestation. Du coté de la famille de Elaina, sa mère braquait du noir depuis un certain temps. Son mari prit quelques jours de congés à fin de s'occuper de sa femme. Assit sur un siège de son balcon, elle observa le crépuscule se former entre deux maisons d'en face. Elle se perdit dans ces pensées et ne remarqua pas l'arrive de son mari. Ce dernier l'enlaça par derrière et l'embrassa sur le cou.

    - Klair.

    - Tu sais. J'ai repensé au nom qu'elle m'avait donner: Rose-Clair avec un C. Dès que j'ai eu 18 ans, je me suis empressé de modifier mon nom pour un K. Mais, j'ai gardé Rose, sanglote t-elle. On se disputait tout le temps. Et pourtant...malgré son absence...je suis triste...

    Klair pleura abondement la perte de sa mère. Elle n'avait jamais exprimer la moindre affection pour sa mère à cause de son entêtement. Mais maintenant qu'elle a rendu l'âme, Klair se rend compte de toute l'affection qu'elle portait à sa mère. Son mari la prit dans ces bras et lui caresse les cheveux pour la calmer. Aucun d'eux n'osa parler. Klair ne voulait plus qu'une chose: restez à jamais auprès de l'homme qu'elle aime.

    - Ray. Je t'aime. Depuis ce jour à la bibliothèque. Merci. Merci pour m'avoir donner une fille. Merci à tous. Toi aussi, Maman.


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