• Chapitre 3: Les fêtes

    Vendredi 23 Décembre 2031 / 21H13

    Seattle / États-Unis

    PDV Ikel

     

    Mon avion ayant atterrit il y a quelques heures, les domestiques montèrent et rangèrent ma valise dans ma chambre. Je n'étais là que pour noël, ensuite je repartirais à l'école. Ça ne servirait à rien de rester ici plus longtemps. Ça ne sert déjà à rien d'être revenus: mes parents travaillent consentement. Mon père n'est pas aux États-Unis, ma mère travaille dans son bureau à la "maison". En vérité, cette demeure était plus une maison de vacance qu'autre chose. Ma mère y résidait, mais passait son temps au travail, alors que mon père voyageait régulièrement. Mon voyage m'avait fatigué, mais une servante vint me chercher pour m'emmener voir ma mère. Son bureau se trouvait au deuxième étage juste en dessous de ma chambre. Sur ma demande, elle a acceptée de me laisser tous le troisième étage pour moi seul. Une fois arriver à son bureau, elle ne prit pas la peine de relever la tête vers moi trop appliqué avec sa paperasse de député. Malgré ça, elle restait belle. Elle attachée consentement ces longs cheveux blonds en un chignon la fessant paraître stricte et laissant voir ces iris brunes, et habillait d'un tailleur bordeaux.

    - Madame, votre fils est ici, annonça la domestique.

    - Chéri, bienvenus, me souhaita-t-elle le nez toujours sur ces satanés papier. Je voulais juste t'annoncer que demain, les Ald viendront fêtés le réveillon avec nous et passeront également la nuit.

    - Quoi ! Pourquoi me préviens-tu que maintenant ?

    - Tu le sais maintenant. Et puis, je ne vois pas se que sa aurait changer.

    - Comment peut-on être aussi cécité avec une si bonne vue que la tienne !

    - Ne hausse pas le ton avec moi, mon fils, me réprimande t-elle impatiente en relevant les yeux vers moi.

    Je ne resta pas une minute de plus et partit contrarié. Si elle organise un dîner avec les Ald cela signifie que mon père sera également présent. Je pourrais lui dire en face toutes les pensées qui me traverse l'esprit. C'était toujours énervé que je rentre dans ma chambre et sauta sur mon lit. La seule chose qui pourrait me calmer serait ça voix.

    - Allo.

    - Allo, El.

    - Ikel ! Tu es bien arrivé ? Ton vol c'est bien passer ?

    - Oui, même s'il était long. Et ma venu ne semble pas enthousiasmer qui que se soit ici.

    - Je suis désolé. De mon coter, mes deux mailleurs amies et mon père sont venus me chercher à l'aéroport. Ma mère m'a concocter mon plat préféré...

    J'écoutais attentivement tous se qu'elle me racontait. Sa famille viendra demain pour le réveillon, et sa grand-mère semblait réticente pour la voir. L'entendre me parlait de sa famille me fait mal, mais me décroche un sourire pour elle. Je l'envie d'avoir une famille si aimante malgré les actions égoïste de son aïeul. Sa voix émettait son bonheur d'être retourner chez-elle. Je pouvais même l'imaginer sourire en ce moment.

    - Elaina, l'interrompis-je d'un ton plus sérieux. Je dois absolument te dire quelque chose. Demain, les parents de Nikita viendront fêtaient le réveillon avec elle et dormiront à la maison.

    Un long silence s'ensuit. Je devine aisément son malaise. Moi même, cette idée m’effraie. Qui c'est se que mes parents ont en tête en les invitant.

    - Je sais pas quoi dire. Je te fais confiance, mais pas beaucoup en Nikita.

    - Je t'assure qu'il ne se passera rien. De toute façon on se verra le 26.

    - Oui. Ta raison. On passe toujours la nouvelle année ensemble ?

    - Évidemment. Je te prépare une surprise.

    - Ça sera mon cadeau de noël. Moi aussi, je te prépare quelque chose.

    - J'ai hâte dans se cas. J'aimerais beaucoup te voir.

    - Moi aussi. Tu me manques. Ah oui. J'ai mis au courant ma mère concernant notre relation. Par contre, je lui ai simplement dit que j'ai un petit-ami, rien de plus. Ma grand-mère venait d'arriver, alors...tu comprends.

    - Oui bien sûr.

    - Je te laisse. Je me lève tôt demain pour accueillir mes oncles et mes tantes.

    - D'accord. On se parle demain. Bye, je t'aime.

    - Je t'aime aussi. Bye.

    Le lendemain fut le plus horrible. La famille de Nikita arriva. Ma mère daigna sortir pour les accueillir, mais pas son propre fils. Malheureusement, Nikita serait dans une chambre face à la mienne et mon père devait atterrir en milieu d’après-midi. Je l'ai quand même eu au téléphone il y a quelques heures pour des rappels à me comporter en fiancer avec Nikita. La seule chose que je souhaitais été de revoir Elaina. De pouvoir la prendre dans mes bras, la voir, l'embrasser. Vivement le 26 décembre où je pourrais rester un peu seul avec elle. J'avais déjà tous prévus: payer un hôtel jusqu'à la nouvelle année, trouver son cadeau et imaginer les endroits où je pourrais l'emmener. Je suis persuadé que mon cadeau lui fera plaisir. Ça va être son moment de présenter au monde son talent.

    Le réveillon débuta. Pour cet évènement, on me força à porter une chemise blanche et un pantalon de costume noir. Malheureusement pour moi, mon père me ressemblait énormément, même la tenus, mais ces cheveux étaient remplis de gèle et plaqué vers l'arrière avec une mèche rebelle sur la droite.

    - Quel bonheur de manger avec notre futur belle-famille, s'exclama mon père. Bientôt, nous formerons une seule et magnifique famille. Je suis comblé de voir mon fils et son amie d'enfance s'unir d'ici peu.

    - J'en suis également, s’exprima le père de Nikita. D'ailleurs ma chérie, nous avons décider de vous unir au mois de juillet. Vous serez en vacances. Il fera beau temps. L'idéal.

    - Toutefois, nous n'avons pas encore décider du pays, dit ma mère. Nous vous laissons le choix. Mais si vous voulez mon avis, une île paradisiaque serait un lieu de rêve.

    - Non. Il faudrait laisser cela pour leur noce, répliqua la mère de Nikita.

    Ça m'irrite de plus en plus de les entendre parler de notre avenir sans nous demander. Nikita ne semblait pas contre, mais moi si. "J'ai une petite-amie." Voilà les mots que j'aimerais exprimer à haute voix. Malheureusement, je vais devoir m’abstenir de tous propos pouvant exaspérer mon père en ce jour. Par contre, je compte bien lui faire entendre avant nos départs respectifs et ainsi lui faire comprendre mon opinion. Même si je m’abaisse aux jérémiades. Le dîner terminait, je m'éclipse vers ma chambre malgré les protestations de mon père. Je m'assis sur la chaise près de mon bureau, puis attendit l'appel de Elaina.

    - Ikel, m'appela Nikita.

    Je lui ouvris la porte, et me décala pour la laisser entrer.

    - Maintenant qu'on est seul, je voulais ton avis sur ma tenus ?

    Pour la soirée, elle portait une magnifique robe violette scintillante asymétrique, une élégamment écharpe blanche, une paire d'escarpin assortit, et pour couronner le tous plusieurs bijoux la ornée et un maquillage très remarquable.

    - Tu es très jolie, répondis-je simplement.

    - Ah, merci, me sourie-t-elle. Pourquoi es-tu partis ?

    - Le dîner était terminé.

    - Mais ta mère voulait encore discuter...tu sais à propos de notre mariage. Ça me fais penser que nous devrions leur donner des indications. Ta mère nous laisse libre concernant le choix du pays. Personnellement, j'ai toujours rêvais de m'unir aux Seychelles: un lieu paradisiaque avec une eau translucide, des paysage à en couper le souffle...En bref, le lieu idéal pour notre mariage.

    - Ta description me ferait bien envie pour un mariage sans contrainte.

    - Que veux-tu dire ? Il n'y a aucune restriction, nous pouvons donner notre avis. C'est notre mariage après tout.

    - Non absolument pas ! m'écris ai-je. Ce n'est pas "notre" mariage et il y a des restrictions. On ne nous a aucunement consulter avant de nous imposer ces noces.

    - Pourquoi ça te dérange subitement ?

    Elaina. Son visage me vint en mémoire à la première seconde. Les sentiments sont incontrôlables, tous comme ceux que j'éprouvais pour Elaina. Mais ceux de Nikita ne sont que unilatéral. Soudainement, elle me zieute comme pour déterminer la cause de mon changement à travers mon regards.

    - Par tout hasard, se bouleversement ne nommerait-il Elaina ?

    - Pourquoi tu me parles d'elle ?

    - Je ne sais pas. Une impression que vous êtes plus proche.

    - Pour ta gouverne, nous ne sommes que amis, ça ne va pas plus loin, mentis-je.

    C'est à ce moment que mon portable retentit.

    - Peux-tu sortir s'il-te-plaît. Mon appel est important.

    - Tu parles comme ton père, avec le même désintéressement que lorsqu'on était petit.

    Nikita sortit avec ces dernières paroles qui résonnèrent dans ma tête. Moi, ressembler à mon père ? Jamais. Un homme aussi égoïste et avide de sa personne. Nous ne sommes pas pareil.

    - Allo.

    - Salut El.

    - Ça va ? Ta voix me paraît triste. Ton réveillon se passe mal.

    - Il ne fallait pas s'attendre à un dîner conventionnel. Et toi, comment se déroule les fêtes ?

    - J'ai revus ma grand-mère aujourd'hui. Heureusement, elle ne s'est pas engueuler avec ma mère et elle ne m'a pas parler du spectacle. Elle était impatiente de connaître mes notes de fin de trimestre.

    - Moi même, j'ai hâte. Mais, je suis surtout pressé de te revoir.

    - Pareil, je prends l'avion après demain, très tôt le matin. On se retrouve toujours au centre ville.

    - Oui, je pars demain soir. Il est hors de question que je reste plus longtemps ici. Déjà que je dois supporter Nikita une nuit.

    - Ne le prends pas mal, mais je ne veux pas que la relation entre toi et Nikita se dégradent. J'ai vraiment l'impression d'avoir épiner votre amitié.

    - Se n'est pas tout à fait faux. Ta venue à effectivement changer les choses, mais il y a aussi cette histoire de mariage. Ne te tracasse pas l'esprit surtout.

    Nous continuons à discuter durant au moins une heure. Comme j'avais hâte de la revoir. TOC TOC TOC Une personne entra dans ma chambre sans permission. Grande surprise que de constater mon père dans ma chambre. Il la parcourut comme pour la découvrir.

    - Ta chambre ressemble à celui d'un adolescent. Je constate que tu es admiratif de l'animation japonaise.

    - Comme tu peux le voir. Mais, je ne t'ai pas invité à entrer que je sache, fis-je remarquer sarcastiquement.

    - Je n'apprécie pas ton ton, jeune homme. Tous comme ton attitude au dîner. Ta froideur nous a fait honte, en plus de ton incorrection à l'égard de Nikita.

    - Je n'ai jamais manquer de respect à mes amis.

    - Sauf qu'elle est ta fiancée, appui-il fermement. Ta future femme. Combien de fois devrais-je te le répéter ? Tu as grandement changer depuis ton admission à Sorasparkle Viewers. Nous pensions qu'en intégrant la même institution que Nikita tu te serais rapprocher d'elle. Mais, je constate que ce n'est pas le cas.

    - Non. J'ai aimé Nikita comme amis et ça continuera ainsi.

    - Et pourquoi ? Est-ce que par hasard tu serais amoureux ?

    Il visa juste.

    - Si c'était la cas, que feriez-vous ?

    - Ikel, ceci était une question et j'aimerais une réponse.

    - Oui, je suis amoureux d'une autre fille.

    - Vie-t-elle en Amérique ?

    - Non.

    - Une amie de Nikita ?

    - Non.

    - Une de nos connaissance ?

    - Non.

    - Sa famille est-elle fortunée ?

    - Non.

    - Qui est-elle alors ? Décrit la moi. Je suis curieux de savoir quel genre de personne a put toucher le cœur froids de mon fils.

    - Elle est originaire de France et vit en région parisienne. Elle partage certain cours avec Nikita, mais en comparaison sa motivation semble incertain et familial. Ça ne change pas le fait qu'elle est travailleuse et remplit de talent.

    - Tu en sembles épris, constate t-il en se dirigeant vers la porte. Toutefois, tu ferrais mieux de l'oublier. Contrairement à Nikita, elle serait incapable de vivre parmi nous, et encore moins de s'adapter. C'est un style de vie que l'on doit côtoyer enfant, sinon on risque le dénigrement et l'humiliation.

    Une fois sortit de ma chambre, je partis dans ma salle de bain personnelle me préparer à dormir. Vivement demain soir que je puisse prendre l'avion. Le temps ne peut-il pas aller plus vite ? Plus vite, que je parte d'ici. Mon souhait s'est exaucé, le temps a filé à vive allure. Je me retrouve au port de l'île d'où je vis Elaina m'attendre sur la plage. En m'approchant par l'arrière, elle me remarqua et laissa ces bagages pour m'embrasser à pleine bouche.

    - Tu m'as beaucoup manquer, Ikel.

    - Toi aussi.

    - J'ai hâte que l'on profite l'un de l'autre avant le retour des cours.

    - Je suis persuader que les activités que j'ai organisé te rendrons toute rayonnante.

    - Je rayonne déjà en ta présence, lui souris ai-je.

    Je lui dépose un chaste baisser sur le front avant de partir vers notre hôtel. L'île compte quelques hôtels, mais beaucoup de haute qualité grâce au visiteur fortuné qui la visite durant les évènements de l'école. Notre chambre donne directement sur la mer, avec un vue panoramique sur le port, un grand lit, une salle de bain avec jacuzzi, une grande baie vitré laissant entré les rayons lumineuses naturels, et plusieurs meubles dispatchés dans la chambre. Et pour couronner le tous, grâce à la domotique la chambre n’exigeait pas de gros effort, de quoi profiter de nos vacances jusqu'au bout biens aux chauds dans le lit.

    - Waouh ! Cette pièce est magnifique. Ça a dut te couter une fortune ?

    - Pas tant que ça.

    - Enfin quand même. On aurait pus prendre une autre chambre, tu sais ?

    - Ne t'inquiète pas pour la dépense. Regarde, le soleil commence à ce coucher. Nous devrions allés dormir ?

    - Oui, mais avant je vais prendre une douche, tu veux bien ?

    - Vas-y.

    Elle s'éclipsa dans la salle de bain tandis que je mis un pantalon de pyjama chaud. Lorsqu'elle sortit vêtu d'un pyjama d'hiver en blanc, mon cœur cessa de battre un instant. Même recouvert, je la trouvais toujours aussi belle.

    - Qui a-t-il ?

    - Rien du tout, rougissais-je.

    En un instant, on se retrouva sous la couette l'un contre l'autre. Depuis le temps que j'attendais ce moment intime entre nous. Nous nous embrassions très amoureusement, nous caressant mutuellement, nos corps l'un contre l'autre. Un sentiment d'euphorie et exaltation s'empare de nous. À notre âge, il n'y avait rien d'étrange à ressentir ce genre de chose. Au vue de la situation, je me dois de lui demander.

    - Dis-moi, voudrais-tu avoir un rapport avec moi ?

    Ma question semblait la surprendre puisqu'elle rougit fortement. De la fumé aurait put sortir de sa tête si c'était possible.

    - Mais...mais...mais...mais...mais...pourquoi me poses-tu cette question ?

    - Je me l'a posé. Mais, tu n'es pas obligé de me répondre immédiatement.

    - Non, c'est bon. Je vais te répondre, tu mérites bien ça. Honnêtement, ça ne me dérangerais pas. Quand t'es absent, j'ai constamment envie de t'avoir auprès de moi. On ne m'a jamais montré tant de sentiment amoureux, alors je pense que le "faire" avec toi ne me dérangerais...Bien le contraire j’appréciais...Juste ça m'embarrasse d'en parler.

    - Dans se cas, fait le moi savoir si tu en as envie. Comme ça je ferrais de ta première fois un moment inoubliable.

    Comme réponse elle m'embrassa amoureusement comme chacun de ces baisers, et j'y répondis avec la même passion. De longue minutes plus tard, nous nous endormions, exténués. Les jours suivants furent fabuleux, mon cœur se remplissait de joie. Tous les souvenirs que l'on se créait ensemble. Jamais je l'ai oublierais. Jamais je ne pourrais passer ma vie avec Nikita. La seule personne avec qui je me projetais plus tard: c'est Elaina. Nous sortions en ville, bien couvert voir méconnaissable, fessions les marchés du nouvel an, nous promenions et nous amusions au parc d'attraction. Les plus merveilleux jours. Puis vint, le nouvel ans. Le moment tant attendus pour lui offrir mon cadeau. Adosser aux barres du balcons, nous contemplions le feu d'artifice lancé depuis la plage. Les artifices se reflétaient sur la surface de l'eau et scintillaient le ciel obscure. Malheureusement, l'évènement avait rassemblé bon nombre d'habitants et touristes sur la plage, et on ne peut pas prendre le risque que notre relation s'ébruite. Je m'éclipse vers la chambre pour lui prendre son cadeau. Une fois en main, je m'avance derrière elle avant de la surprendre.

    - Joyeux Noël en retard.

    Elle me regarde émerveillé lorsqu'elle vit le micro.

    - Je connais ton potentiel. Toute l'île doit profiter de ta voix et de ta chanson. Tu vas être merveilleuse.

    - Merci, me dit elle émut.

    Grâce à des relations, le micro est raccordé aux hauts-parleurs de la ville. Un bouton suffit à activer la musique durant le feu d'artifice qui se prolongera, pour l'ambiance. Je connais déjà le son, ni rapide ni lent, profond et rythmé. Toutefois, elle devra se contenter que du refrain. Ça suffira amplement pour enchanter la nouvelle année des gens.

    - "Le tempos, la mélodie m'emporte au loin. Cette chanson n'est rien que tes sentiments. Que tu ne veux pas admettre... Cette chanson, cette mélodie. Vers l'infinie. Elle est à toi. Elle est à vous. Nous avons tous une mélodie. Une chanson qui nous décrit. Tous ces moments, elles sont chantées..."

    À son plus grand étonnement, des acclamations se fessaient entendre dans toute la ville. Apparemment, tous avaient apprécier. Elaina se jeta dans mes bras pour me remercier.

    - Merci ! Oh, merci ! Ikel, je ne sais vraiment pas quoi dire !

    - Alors ne dis rien. Tu as été génial. Encore plus que lors de notre première rencontre sur la falaise.

    - Mais cette chanson, ça fait très longtemps que je l'ai écrite. Tu ne comprends pas à quel point ça me fait plaisir. Elle représente mon ressentit pour la musique.

    Je lui souris, et on s'embrasse sous les étincelles des feux d'artifices. Trois jours plus tard, nous reprenions les cours. Et pas par n'importe quel nouvel. Tous les élèves de nouvel années étaient dans amphithéâtre. Le directeur fit des convenances, puis passa aux choses sérieuses.

    - Les vacances sont terminés. Place aux choses sérieuses. Dans 6 mois exactement, l'évènement des nouveaux élèves: Spectlight, commencera. Pour les incultes, cet évènement requière le soutient de toutes vos disciplines. Seul ou en groupe, c'est comme vous le ressentez. Mais ayez en tête que durant cet évènement de grande personnalité viendront, vos amis, vos familles, vos compatriotes. D'ici la semaine prochaine, vous devrez divulguer à vos professeurs vos projets, de tous type. C'est maintenant que votre talent sera remarquer. Nous vous offrons une opportunité unique.

    Et un nouveau stresse en plus. À coter de moi, Elaina pâlit à la nouvelle. Durant ces vacances avec sa grand-mère, elle lui mit sous pression pour participer au SO. En se qui me concerne, j'ai toujours fixé les SO. Au moment de sortir de l'amphithéâtre, je remarque Nikita nous zieuter du regards. Nous ne nous somme plus adresser la parole depuis le réveillon. Tant mieux d'ailleurs. Son indécence envers Elaina me déçoit beaucoup, mais ça m'attriste de devoir ignorer ma première amie. Avec Molie, nous déjeunions sur une table près de la cantine, dans la cour extérieur. Molie nous racontait ces vacances et nous demanda beaucoup d'explication concernant notre couple.

    - Je suis tellement contente pour vous. Depuis le temps que Elaina falsifier ces sentiments à ton égard. Il lui aura fallut du courage pour enfin se dévoiler, dévoila Molie fessant rougir Elaina.

    - Le plus important s'est qu'on soit un couple maintenant. Et toi ? Qu'en es-tu avec d'éventuel conquête ? demande ai-je en croquant dans mon sandwich.

    - Toujours rien. J'aimerais aussi être un couple comme vous. Avoir un amoureux, mais les cours vont me prendre tous mon temps. Je vais devoir me démener pour Spectlight. Ça me fait penser, et si nous formions un groupe pour créer un projet, tous les trois ?

    - Trois, c'est très peu, constata Elaina. Mais, j'adorerais le faire avec vous.

    - Moi aussi, proposons une idée que l'on pourrait concrétiser.

    - Pourquoi pas un spectacle, proposa Molie.

    - De quel genre, musicale, artistique, culinaire...

    - Fessons un mélange ! Un spectacle musicale pour entraîner le publique, des chorégraphies sur glace et des effets spéciaux pour les captiver et mettre en exergue le tout, et j'en passe ! s'extasie t-elle en se levant pleine d'énergie soudaine. Voilà le genre de spectacle qui fait plaisir: authentique, éblouissant, énergique ! C'est exactement ce qu'il nous faut.

    - Ton projet est ambitieux, mais il nous faudrait plus d’effectif.

    - Recrutons. Essayons de demander à des élèves que l'on juge apte à travailler avec nous sur un tel projet tout en veillant à diversifier. Quand pensez-vous ?

    Malgré certain doute, nous abdiquons et débutions les recherches l'après-midi avec nos premiers cours de l'année. Dès la reprise, les profs nous mettent au parfum avec une tonne de devoir. Le rythme effréné des cours nous contraint tous à limiter le temps passer à la création de nos projets. Par chance, quelques amis ont bien voulut nous rejoindre, mais nous restons déborder. Tellement qu'un mois plus tard, je n'ai vus que brièvement Elaina sinon nous parlions par téléphone. Préparer le projet nous contraint à des déplacements dans d'autre pays le week-end et de rare moment de pause. Actuellement, le professeur de mode décoration nous demanda d'imaginer des tenus à partir d'une chorégraphie des élèves de danse pop. Mes yeux ne fixèrent que Elaina dans la vidéo oubliant le reste des danseurs.

    - Je vois que le spectacle te plaît, me fit remarquer Nikita sarcastiquement.

    - Tu daignes finalement me parler. Mes parents ne cessaient de m'envoyer des messages ou de m'appeler...

    - Ce soir, m’interrompt-elle, retrouve-moi derrière le dortoir.

    Elle me laissa sur ça, puis partit. Je pouvais lire de la détermination dans son regards, dans sa façon de marcher. Depuis le réveillon, nous ne nous somme plus parler. Autrefois mon amie, elle devint une simple inconnue. Sa rancune incompréhensible envers Elaina m’inquiéter, puisque ça m'éloigner de ma première amie. Pour cette raison, j'accepte l'invitation et arriva au lieu de rendez-vous le soir même. Adosser aux murs du dortoir, je vis Nikita marcher tranquillement vers moi avec son couteux sac aux épaules. Le silence lugubre et le bruissement des arbres ventés rendaient l'atmosphère glauque. Elle daigna me parler en me fixant droit dans les yeux.

    - Ikel, je veux que tu me dises, pourquoi tu ne veux pas m'épouser ?

    Même si sa question me surprit, il fallait absolument mettre les choses aux claires. Et qui s'est, elle convaincra peut-être ces parents si ma réponse la raisonne.

    - Je t'ai toujours vus comme une amie. Nous avons grandis comme tel, de simple amie très proche. Rien de plus.

    - Il n'y a pas autre chose ? me demande t-elle immédiatement. Comme...une autre fille que tu aimes...

    - Si tu fais référence à Elaina, ça n'a rien à voir. Rappelles-toi que bien avant notre intégration à l'Ecole Sparkling Viewer, j'avais des réticences sur notre mariage forcée.

    Un long silence s'ensuit, jusqu'à ce que mes oreilles entendent des sanglots émanant de Nikita, en pleure et fessant tous pour les étouffés.

    - Pourquoi...moi, je t'aime...bien plus que Elaina...Alors, pourquoi ? Mon cœur a mal de t'entendre dire que tu ne m'aimes pas comme moi je t'aime. Il ne peut pas l'accepter, et souffre le martyre. Pourtant, j'entre dans tous les critères de la petite-amie idéal: je suis jolie, j'ai de l'argent, j'aimerais l'homme qui sera à mes cotés, donc toi. Je peux te rendre heureux, ton cœur sera combler par la chaleur que je lui donnerais plus qu'on put t'offrir tes parents. Avec moi, tu te sentiras bien, personne ne nous dévisagera. Dis moi, pourquoi ne ressens-tu rien en mon égard ?

    - C'est simple, je ressens de l'amitié envers toi. Rien d'autre. Tous se que tu me proposes je l'ai déjà avec Elaina. On pourra nous dévisager ou nous huer que rien ne changera à ma décision. J'ai choisis Elaina point. S'il-te-plaît accepte mes excuses, mais je ne peux pas m'intéresser à toi.

    Sur ces paroles qui doivent lui briser le cœur, je m'en alla vers ma chambre avec un pincement au cœur pour ce que je viens lui faire ressentir. En chemin, je croise Elaina assit sur les escaliers vêtues d'une robe de nuit bleu et de chausson rose. Dès que son regards se pose sur moi, elle se leva pour s'approcher.

    - Que fais-tu ici aussi tard ?

    - Il faut que je te montre quelque chose.

    Elle me montra une vidéo totalisant plus de 100M de vus et 4,5M de like. On pouvait y voir mon père et celui de Nikita officialiser notre mariage devant de nombreux politicien et célébrité de l'écran. Cette nouvelle semble avoir le même impact qu'un mariage d'un membre de la famille royal britannique. La date du mariage à été fixer pour cet été ! Je regarde Elaina qui ne semble pas comment réagir. Ces yeux révèlent de l'inquiétude, mais en plus des cernes sous ces yeux. Je n'avais pas remarquer à quel point elle travaillait, ni sa fatigue. Maintenant, cette nouvelle s'ajoute à ces problèmes.

    - Dis quelques choses, me supplie t-elle, parce que moi, je ne sais plus quoi penser.

    - Je ne sais pas quoi dire. Mes parents ne m'ont pas mit au courant, mais je te promet de leur demander des explications...

    - Ça ne sert à rien. Je ne romprais pas avec toi, c'est hors de question. Je me suis faite aux faits que tes parents t’imposeront ton future. Moi même, je suis incapable de me soustraire aux liens qu'à nouer ma grand-mère. Alors...je commencerais à m'y soustraire pour que l'on n'est plus à se cacher. Et peut-être que après...on pourra...

    Elle hésita à tous me révéler de sa pensée. Mais ce n'est pas à elle de se démener, elle n'y est pour rien. Il en va de notre avenir à nous. Je capture ces mains entre les miennes.

    - Ne te fatigue pas. Quoiqu'il arrive, je mettrais un terme à ce mariage. Si ce n'est pas possible, alors je n'irais pas.


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