• Chapitre 5 L'attaque de la Nation d'Orion

     

    Chapitre 5

     

     

     

    Pdv Auteur

     

    Royaume Weapon Nord/ Ville-Marie

     

    Samedi 15 mai 2027/ 16H

     

     

     

    Un soleil éclatant illuminait cette fin de journée, mais aussi la mer et le sable fin. Pour toutes personnes voulant profitaient de la mer, ils auraient pu se mettre à l’ombre sous des grands palmiers qui surplomber la mer, mais il n’y avait personne. A l’exception de deux individue allongés et endormis sur le sable sous un palmier dans une atmosphère inquiétant où il n’y avait qu’un seul son celui des vagues. Le premier était un jeune homme aux cheveux blancs comme les nuages lors d’un beau temps, parfaitement lisse attachés en queux de cheval basse, sa franche cadrant son visage et il fut vêtu d’un surcot blanc avec sur les poignets deux bandes de galon couleur or, qui était cintré par une ceinture brune et des bottes assorties. Le deuxième était une jeune femme, aux longs cheveux noirs avec des reflets fuchsia, descendant jusqu’au-dessus des fesses, sa franche droite cadre sa partie du visage et la gauche derrière l’oreille tombe sur le dos, et elle fut vêtue d’une longue robe rouge à manche longue avec une bande de galon couleur argent au bas de la robe et sur les poignets, et des bottes brunes.

     

    Au bout de quelques minutes, le jeune homme ouvrait lentement les yeux et on pouvait apercevoir ses iris rouges cramoisis. À l’aide de ses coudes, il se redressa et admira la vu qui s’offrit à lui. Malgré ce cadre idyllique, ses yeux s’arrondirent de surprise, ébahit par ce lieu, mais il était aussi troublé par ce changement précipiter. La dernière chose dont il se souvenait était Eloa qui flotter et cette lueur qui l’entourait. Il ne savait pas ce qu’elle n’allait ni ce qui se passait. Toutefois, sans réfléchir, sans détourner son regard d’elle, il s’était jeté sur elle en lui agrippant le bras, quand la lueur était devenue plus forte. Ensuite, ce fut le trou noir. Que s’était-il passé ? Qu’était-il arrivé à Eloa ? Voici les questions qu’il se posait, mais il se demandait s’il ne devait pas explorer les environs malgré le risque élever en terrain inconnu. En voulant se lever, sa main droite effleurait une autre main. Instinctivement, il tourna la tête et vit une jeune fille, qui lui rappela une personne. Cette dernière se mit à ouvrir les yeux avec difficulté. Passer subitement de l’obscurité à la luminosité fut trop soudain pour ses yeux. Toutefois, ils habituaient à la lumière et elle réussit à les ouvrir complètement. Lorsqu’elle aperçut le jeune homme, elle semblait le reconnaître, mais pour confirmer sa supposition elle disait son prénom en murmurant :

     

     

     

    - Hisaka ?

     

    - C’est toi, Eloa, s’exclama Hisaka.

     

     

     

    Il avait l’habitude de la reconnaître par une particularité physique qu’il ne trouvait que sur elle : ces yeux noisette brillant. Cependant en ce moment, la couleur de ses iris n’étaient pas définies. C’était comme un mélange entre du violet et du magenta qui se dégrader. Aider par Hisaka, Eloa se levait avec difficulté. Apparemment, elle était un peu troublée, sa vision aussi au et à mesure qu’elle s’éleva du sol. Pour ne pas perdre l’équilibre, elle prit appuie sur les épaules de Hisaka. Il lui fallut plusieurs secondes pour sans remettre et se tenir debout seule.

     

     

     

    - Je me demande où nous somme ? Et ce qui s’est passé ? Se questionna Hisaka.

     

    - Moi aussi, la dernière chose dont je me souvienne était mon corps qui flotter dans un lieu parfaitement sombre. Il fessait froids et je n’avais jamais ressenti une sensation pareille. C’était comme si mon corps ne ressentait rien : je ne pouvais rien toucher, rien sentir, rien voir et rien entendre. Ça n’a pas duré longtemps, mais j’avais vraiment l’impression d’être morte.

     

     

     

    C’était bizarre, se disait Hisaka. Lui, il n’avait pas eux cette impression et il se sentait pourtant bien. Après avoir aidé Eloa, il scrutait les environs du regard. Il ne voyait pas grand-chose, seulement la mer limpide et bleuâtre devant eux, le sable, où ils étaient allongés et des palmiers. Ils ne connaissaient pas cet endroit et ne l’avait jamais vu. Ils n’auraient pas pu se téléporter en un claquement de doigts. C’était scientifiquement impossible et même si c’était possible il n’avait fait aucun geste lorsque Gunnar Kit était apparu devant eux et il ne lui semblait pas que Eloa avait fait des gestes. D’ailleurs, c’était étrange ce qui s’était passé, elle avait flotté dans les aires. C’était très inhabituel. Dans tous les cas, le plus important c’était de découvrir où ils étaient.

     

     

     

    - Hisaka, l’appelle Eloa en pointant du doigt la forêt derrière eux. Tu entends ce bruit.

     

     

     

    Le concerné tendit l’oreille vers la direction indiquée par son amie et

     

    entendit, effectivement, plusieurs bruits. Malheureusement, ils n’arrivaient pas à tous les identifier, seul un été reconnaissable celui de cri de plusieurs personnes affolés et apeurés. La nature de ses sons les préoccupés. Eloa conseillait de partir le plus loin possible de ce qui se passait, mais Hisaka ne l’écouta pas et courut à travers la forêt derrière eux. Elle hésitait un peu avant de le suivre. Elle ne voulait être toute seule, de plus Hisaka était à présent la seule personne en qui elle pouvait avoir confiance. Malheureusement, elle aurait dû être plus réactive, car à présent elle était très loin derrière Hisaka, qui était plus libre pour courir. Pour ne pas le perdre de vue et pour éviter les racines des arbres, qui pour la plupart, étaient sortis de sous terre, des branches tomber à terre et les plusieurs animaux morts qu’elle trouvait et à chaque fois cela l’écœurait qu’elle voulût en vomir.

     

     

     

    De son coter, Hisaka commençait à sentir une odeur, qui ne lui était pas inconnue et qui concorder à un nouveau son qu’il entendit et reconnut. De loin, il pouvait apercevoir des flammes embrassaient les toits en bois de maison. Au fur et à mesure qu’il avançait, il reconnut plusieurs sons, qui n’était pas tous reconnaissable de loin, et pensait savoir ce qui se passait. Des cris de peur, des toits de maison en feu et des corps d’animaux répandu dans la forêt. C’était sûr, un village était attaqué. Maintenant, qu’il le savait, il aurait pu faire marche arrière, mais quelque chose en lui l’empêcher de s’arrêter, comme si c’était dans sa nature. À ce moment, il se remémorait un souvenir de son enfance avec sa petite-sœur. Il avait onze ans et sa sœur cinq ans. C’était un jour où il était parti la chercher à l’école. Pendant, qu’elle attendait son arrivait, des garçons étaient venus lui chercher des noises et la minute d’après son grand-frère était intervenue pour la défendre. Normale, c’était son rôle. En revanche, était-ce son rôle de frapper grièvement des enfants qui embêter sa sœur ? À cette époque, il se disait que c’était son rôle, mais à présent il était devenu plus mûr, plus mature. Il pouvait répondre à cette question comme un garçon de son âge, et la réponse était : non. Du moins ce qu’il aurait dit, s’il était un garçon de seize ans normaux. Durant ces deux années, Il avait dû apprendre à se débrouiller seul à quatorze ans, il a dû faire ce que les policiers n’ont pas réussi à faire. Maintenant, c’était un adulte même si officiellement il n’avait pas l’âge. Il avait une capacité à réfléchir comme un adulte, et l’adulte en lui dis qu’il aurait mieux fait de laisser les plus grands s’occuper des fautives à l’époque. Cependant, en ce moment, il ne voulait pas se comporter en n’importe quels adultes, il voulait se conduire en l’adulte qu’il était devenu. La grande personne qu’il était en ce moment voulait aider autant de personne que possible.

     

     

     

    Au bout de dix minutes de course, il s’arrêtait dans un village en flamme. Les habitants couraient dans tous les sens, des parents perdaient leurs enfants dans la panique. La plupart fuyaient sans eux, d’autres pleuraient sur place, mais se firent entraîner de force par d’autres habitants. Personnes ne voulaient laisser personnes. Hisaka courut à nouveau à travers la ville, sans se préoccuper de Eloa, qui courait encore loin derrière lui. L’un des habitants qui fuyaient l’interpella et lui conseilla de partir, mais il ne l’écouta pas et continua son avancer. Lors de son avancer, il vit des caravanes de marchand abandonner, les murs de pierre des maisons étaient tâchés de sang et des cadavres d’humains décorés, dramatiquement, les rues. Que c’était-il passé ? Qui avait pu perpétrer de tel massacre ? C’était horrible, Hisaka pouvait même entendre les cris de famille prisonnier dans leur maison, des cris de terreurs qui déchiraient le cœur. Dans l’une d’entre elle, une femme, écrasait par la poutre d’une maison, appelait Hisaka.

     

     

     

    - Jeu...jeune homme...s’il...-vous-plaît…aider...mes...en...mes enfants, bégaya la femme en rendant son dernier souffle.

     

     

     

    Après l’avoir entendu, il regardait dans sa direction et voyait deux enfants, en vie, sous la même poutre que la mère. D’ailleurs, ils essayaient de s’extirper de là-dessous. Il courut vers eux et souleva la poutre pour les enfants puisse sortir. Ces enfants étaient des jumeaux de sexe différent, comme leur mère, ils avaient les cheveux bleus mers, mais court. Le garçon avait les yeux marrons, alors que la fille avait les yeux blancs. Toutefois, ils avaient un teint clair et un visage au trait carré.

     

    Hisaka les empoignait du bras pour les éloignait de la maison sous leur hurlement de protestations. Ils savaient ce qui se passait, mais ils ne voulaient pas s’éloigner de leur mère. C’était la panique dans tout le village. Hisaka voulait voir qui était à l’origine de se massacrer, mais la vie de ces enfants était plus importante, alors il dut faire marche arrière et suivait les habitants, qui prenaient tous la même direction.

     

     

     

    - Hisaka !

     

     

     

    Devant lui, il voyait Eloa tout essoufflée, mais il ne prenait pas la peine

     

    de la laisser reprendre son souffle et lui demandait de porter la fille qui pleurer en abondance, ce qu’elle fessait en la portant sur son dos. Hisaka portait le garçon, également sur le dos, et ils couraient ensemble. Ils ne savaient pas où ils n’allaient ni qui avait fait de telle atrocité, qui pour Eloa était inhumain. En suivant les habitants, ils aperçurent des mats de bateau de l’autre coter de la forêt. Hisaka pensait que les habitants fuyaient par voie maritime. D’ailleurs, on pouvait entendre un homme, haussant la voix pour être écoutée. Il essayait de calmer les habitants de ce village et leur expliquait que les premiers à monter seront les personnes âgées, les femmes avec leurs enfants ou seulement les enfants s’ils sont seuls. Malheureusement, ils n’étaient pas tous d’accord avec cela si qui rendit coléreux la plupart d’entre eux.

     

    Au moment où un premier bateau commençait à partir, une lueur bleu nuit s’éleva dans le ciel, en colonne, ce qui plongeait tout le village dans l’obscurité totale. Cependant, cela n’empêchait pas le bateau de partir. L’homme, qui avait essayé de calmer la foule était descendu du bateau et regardait cette lueur comme le reste des habitants restaient à terre. Hisaka, qui contempla la lueur, entendait soudainement un rugissement sauvage, mais en observant les personnes autour de lui, personne ne semblait l’avoir entendu. Même Eloa, qui pourtant était à coter de lui, n’avait pas l’air de l’entendre. Alors que son attention s’était focalisée sur ce rugissement, la colonne de lueur s’intensifiait et tout à coup, le bateau, qui venait de partir, explosa emportant toutes les personnes à bord. Les flammes s’élevèrent haut dans le ciel formant un champignon géant. Eloa fut pétrifié. Tressaillant, elle ne remarquait pas que la jeune fille qu’elle portait avait cessée de pleurer et que son visage suait à grosse goutte pareil pour le jeune garçon. Elle avait réellement l’impression de se trouver dans un film d’horreur, mais cela ne s’arrêtait pas à ce bateau, car quelque seconde plus tard tous les habitants s’effondraient. Les uns après les autres, ils tombèrent sur le sol, seul Eloa, Hisaka, les jumeaux et l’homme qui avait essayé de calmer les habitants restèrent debout. Pensant être les prochains, la jeune fille se débattit comme elle pouvait en frappant le dos de Eloa, qui lui demandait de se calmer, mais ne l’écoutait pas et s’extirpait de son dos pour sprinter à l’opposer de la colonne de lumière. En la voyant, le jeune garçon l’appelait :

     

     

     

    - Polluxia, l’appela son frère en criant.

     

     

     

    De la même manière que la dénommer Polluxia, le jeune garçon s’extirpait du dos de Hisaka et courrait après elle. Ce dernier, qui n’avait pas extrait son attention du rugissement qu’il était le seul à avoir entendus, remarquait la course des jumeaux.

     

     

     

    - Revenez, ne vous éloigniez pas ! S’écria Hisaka en les courant après.

     

     

     

    Au départ, l’homme, qui avait essayé de calmer la foule, pensait être le seul survivant de ce village, mais avec le crie de Hisaka, il pouvait le voir, de ses yeux bleu foncé, ainsi que Eloa et surtout les jumeaux, qui sprintaient dans la direction inverse de celle de la colonne. Lorsqu’il les vit, il accourut vers eux en contournant les corps des habitants qui rester.

     

     

     

    - Vous deux, suivez-moi, leur ordonna l’homme.

     

     

     

    Hisaka et Eloa lui obéirent et ils coururent loin derrière les jumeaux. Cependant, ils arrivèrent à les rattraper.

     

     

     

    - Dites-moi, où allons-nous ? Demanda Hisaka à l’homme.

     

    - Chez des amis à moi. En espèrent qu’ils aillent bien.

     

    - Et qui sont les personnes qui vous attaque ? Demanda Eloa.

     

    - Il s’agit de la Nation d’Orion dirigée par Gunter et Solen leur dirigeant. Aujourd’hui, cela fait 9 ans jours pour jours que cette nation attaque d’autre Royaume, leur expliqua l’homme un peu perplexe. Ça me sidère que vous ne sachiez pas cela. Pourtant leur action est connue du monde.

     

     

     

    Hisaka et Eloa se regardaient soucieux. S’ils savaient de quelle planète ils étaient originaires, les aideraient-ils quand même ? De plus, cette planète leur était complètement étrangère, mais cela semblait affolé et anxiété plus Eloa que son nouvel ami, qui malgré cette agitation de bataille et morne, ne ressentait rien d’autre que de la force en lui. Cette peur, qui envahit Eloa comme un pays qu’on envahissait, ne fessait rien à Hisaka.

     

    Pendant ce temps, non loin du port et de l’endroit où se trouver le groupe, il y avait un grand manoir, qui paraissait peu accueillant et dont les façades étaient très sombres. Pour y entrer, il fallait monter plusieurs marches d’escalier qui y menait. En dessous de ce grand manoir, une cave avait été construite en cas d’attaque ennemie. En ce moment, il était utilisé pour protéger les maîtres de maison ainsi que les domestiques et le majordome. On pouvait bien reconnaître les propriétaires, car ils étaient cachés au fond de la cave. Une jeune femme, qu’on pouvait facilement voir avec ses longs et lisses cheveux blancs éclatant dans la pénombre, était vêtue d’une longue robe bleu ciel au corsage carré et noir, et aux longues manches volantes. Serrer sur la taille par une ceinture en peau de vache brune, elle tenait fermement son bébé dans ses bras. On pouvait clairement voir que c’était le sien, car ils avaient les mêmes yeux gris clair. La femme, qui protégeait son enfant, était enlacer par un grand homme au muscle bien bâti. Ce dernier était assis par terre avec la femme et le bébé dans les bras de cette dernière. Comparer aux autres personnes présentes dans la pièce, il devait être le seul à pouvoir voir dans l’obscurité de ses yeux noir profonds, qui se fonder dans la noirceur. Ses vêtements le rendaient non-voyant dans l’obscurité : son long manteau noir, orné de motif de rose en or sur le bas, fermait par des boutons, un pantalon noir et des chaussures en cuir assortie. Tout comme la femme, il avait une ceinture en peau de vache brune serrant sa taille et où était une épée, qui était dans son fourreau assorti à la ceinture. Tous ne bougèrent pas d’un pouce, de peur de toucher ou trébucher sur quelques choses qui pourrait signaler leur présence à l’ennemi, car cette pièce n’avait pas été construit qu’en cas d’attaque, mais elle servait aussi de dépotoir. Tout ce qui ne servait plus était entassé ici : une vielle chaise à bascule au pied cassé, des tiroirs ornés de motifs floraux en or, plusieurs meubles au tiroir ou au poignet cassé, plusieurs cartons éparpillés, certains étaient fermer d’autre ouvert laissant voir des photos, des lettres ou bien jouet, et des vases où avaient été peint plusieurs dessins.

     

    Le temps passait et les domestiques sentaient l’inquiétude qui les avaient envahis, disparaître à petit feu. Le majordome, qui sentait leur anxiété diminuer, allait vers le fond de la pièce à pas de loup, plaçait ses bras en face de lui et fit fonctionner ses méninges afin de se souvenir de l’endroit où se trouver chaque objet qui menait à ses maîtres. Après avoir enjambé plusieurs objets, il se tenait devant ses maîtres et leur disait ses pensées:

     

     

     

    - Maître, les domestiques ont commencé à se calmer et depuis que l’alerte a été donné, aucuns ennemis ne m’a semblé être rentré dans votre demeure. Ce qui n’est pas dans leur habitude. La Nation d’Orion a plutôt pour manière de faire du vacarme et à tout détruire sur le passage. Je me propose donc d’aller vérifier, en toute discrétion,

     

    bien sûr.

     

    - Ça ne sera pas la peine, répondit le maître. Je sens le flux d’un de nos plus proches amis qui se dirige vers nous. Attendons-le.

     

     

     

    Du côté de Hisaka et les autres, après avoir sprinté durant un quart d’heure non-stop, ils arrivaient en fin devant le grand manoir. Après être arrêté, ils attendaient quelques secondes à fin reprendre leur souffle, excepter l’homme qui ne parut pas essoufflé. D’ailleurs, il montait les plusieurs marchent d’escalier deux par deux, avec sa grande taille et ses longues jambes ce ne fut pas difficile. C’était ce qui surpris les adolescents, parce qu’il portait une armure, paressant lourde, qui protéger chacun de ses membres exceptés la tête, qui laisser apercevoir ses traits de visages ovales ainsi que son grain de beauté noir placé sous l’œil gauche. Enfin, il se trouvait en face de la porte et la poussait pour l’ouvrir comme s’il entrait chez lui sans toquer sans vérifier qu’il y avait des personnes à l’intérieur. Dès que la porte fut grande ouverte, il invitait Hisaka, Eloa et les jumeaux à entrer. Toutefois, ils étaient un peu hésitants, se regardant dans les yeux, montrant leur perplexité. Au lieu de rester dehors dans le danger, ils choisissaient d’entrer dans le manoir en espérant y être en sécurité.

     

    L’homme entrait en premier suivit de Hisaka, les jumeaux et Eloa, qui fermait la porte derrière elle. À cause de cette lueur, qui avait rendu tout le village dans l’obscurité, il était très difficile de voir la pièce même, de la visualiser. En dépit de cela, Eloa essayait tout de fois de trouver la position de Hisaka, la seule personne qu’elle connaissait un peu mieux dans le groupe. Doucement et prudemment, elle cherchait ce dernier, mais alors qu’elle était à quelques mètres de lui son pied se cognait contre un des pieds de chaise et tomba à terre, ainsi que la chaise, fessant un grand bruit qui fessait sursauter le groupe. L’homme surprit se tournait vers la direction du bruit, mais n’arrivait tout de même pas à voir. Par précaution, il plaçait sa main sur le pommeau de son épée, accrochait à une ceinture qui soutenait le fourreau, puis il s’exprimait :

     

     

     

    - Que se passe-t-il ? Demanda l’homme.

     

    - Pardon, j’ai trébuché sur quelque chose en essayant de m’approcher d’un membre du groupe. J’ai un peu peur dans le noir, avoua Eloa.

     

     

     

    Le concerner s’étonnait, mais arrivant peu à peu à voir dans l’obscurité, il voyait Eloa toujours à terre, les yeux fixant honteusement le sol et le corps tremblant. Pour la rassurer, il se baissait posa son genou droit à terre afin de pouvoir l’enlacer de ses bras réconfortants. La tête de Eloa posait contre le torse de Hisaka, fessait que son corps se baigner dans un sentiment euphorique qui fessait palpiter son cœur à une allure folle et une bouffée de chaleur soudaine réchauffait son corps, qui se reflétait par des rougeurs sur le visage. Cette sensation la fessait oublier sa peur du noir. Lorsqu’elle était petite c’était sa mère qui la calmait, mais maintenant qu’elle était grande elle n’en avait plus peur, jusqu’à ce que ces parents ne disparaissent un soir. Eloa aimait cette sensation et ne voulait plus sortir de ses bras, mais le dut lorsqu’un grincement de plancher se fit entendre fessant sursauter le groupe. Les jumeaux se prirent la main, Hisaka et Eloa se levaient et se mettaient devant eux, alors que l’homme allait dégainer l’épée de son fourreau, mais il stoppait son geste en reconnaissant une présence amicale et lui souriait en voyant une silhouette sortir de l’ombre, d’où venait le bruit, et s’exprima avec gaîté :

     

     

     

    - Je me doutais que vous ne pouviez tomber entre les mains de l’ennemi.

     

    - Bien évidemment, je ne suis pas originaire du Royaume Weapon Nord pour rien. En ce qui concerne l’armement nous somme les meilleurs du monde.

     

     

     

    Le maître des lieux apparut avec un chandelier à la main où était posé une bougie allumée. L’homme avait retiré ses mains du pommeau de son épée et regardait son ami avec amusement, mais ce dernier attardait son regard vers les enfants derrières lui.

     

     

     

    - Qui sont ces enfants Éros ?

     

    - Je ne le sais pas vraiment. Je les ai rencontrés par hasard lorsque la Nation d’Orion a attaqué Ville-Marie et leurs habitants. Par ailleurs, ses derniers ont été tués par la Nation.

     

    - Je vois, disait simplement le maître du manoir en gardant les yeux droits devant lui.

     

    - Excusez-moi, les interrompit Hisaka et tous se tournaient vers lui. Je ne comprends pas les habitants ne sont pas morts. Ils se sont simplement évanouis.

     

    - Vous vous trompez. Ce que vous avez vu était Destroy Humanity. C’est une des techniques les plus puissantes que la Nation d’Orion est créée. Cette technique a pour effet de retirer toutes forme de vie dont le corps contient du flux.

     

    - Qu’est-ce que le flux ? Demanda Eloa.

     

     

     

    L’homme et le maître des lieux se fixaient surprise de la question. Même les jumeaux furent surpris. C’était à ce moment-là qu’une jeune femme entrait dans la pièce avec un bébé en main et se plaçait à coter de l’homme avec le chandelier.

     

     

     

    - Chérie, dit le maître du manoir en voyant sa femme et son fils.

     

    - Éros, je suis contente de te voir, la salua la femme puis elle se retourna vers Hisaka et Eloa. Enchantée, je me présente Solena Naris. L’homme a côté de moi est mon mari Lehrd Naris. Et vous vous êtes ?

     

    - Je m’appelle Hisaka Shigoto et elle c’est mon amie Eloa Esteil, cette dernière salua la femme d’un signe de la main droite.

     

    - Enchantée. Si, j’ai bien entendu vous ne savez pas ce qu’est le flux.

     

    - Et ils ne savent rien de la Nation d’Orion, compléta Éros.

     

     

     

    Dès qu’il eut dit cette phrase, ils dévisageaient tous Hisaka et Eloa. D’ailleurs, cette dernière était si embarrassée qu’elle devenait toute rouge. Hisaka se doutait un peu d’une telle réaction dus à leur dépaysement. Toutefois, il pensait pouvoir cacher cela pendant encore longtemps, mais vu leur réaction le mieux était de tout leur dire. Du moins seulement leur provenance.

     

     

     

    - Pour éclaircir votre lanterne, nous somme originaire de la Terre non de Mùven, si vous connaissez cette planète bien sûr.

     

    - Vous...vous êtes… des terriens, balbutia Castor.

     

     

     

    Eloa acquiesçait de la tête avant de la tourner vers Solena, qui avait l’aire abasourdie.

     

     

     

    - Mais alors que faites-vous ici sur Mùven ? Demanda Polluxia.

     

     

     

    Hisaka allait répondre à la question, mais il s’interrompait lorsque plusieurs bruits métalliques se fessait entendre. À ce moment-là, les domestiques sortaient de sous le manoir pour venir dans la pièce menait par le majordome. En se courbant, Éros avançait vers une des fenêtres de la pièce juste à coter de la porte d’entrée. Il jetait un coup d’œil dehors et vus une vingtaine d’homme armés. Ces derniers étaient couverts de la tête aux pieds. Pour couvrir leurs têtes, ils avaient des heaumes en forme ovale avec deux fentes laissant apercevoir des iris rouges clairvoyant, et des visières accrochaient aux heaumes où il y avait des trous qui permettait aux soldats de respirer. Une cotte de maille recouvrait l’intégralité de leur corps ainsi que les bras et les jambes. Leurs mains étaient protégées par des gantelets, qui couvraient aussi tout l’avant-bras, et étaient chaussés de botte brunes et courtes.

     

    L’un d’entre eux, qui avait dégainé son épée, s’approchait du manoir, prenait une grande inspiration et exclamait haut et fort ses dires :

     

     

     

    - Nous représentons la Nation d’Orion, nous sommes là pour notre seigneur, nous bataillerons jusqu’à la mort et n’hésiterons pas à perpétrer des massacres pour accomplir notre objective finale ! Vous qui vivez dans le bonheur grâce à des armes de hautes qualités, nous sommes venus à vous pour vous prouver que la force que nous, la Nation d’Orion, avons vous est bien supérieure ! Votre royaume n’est rien comparé à notre nation, si vous n’arrivez pas à le comprendre et bien vous méritez de mourir ! C’est aussi simple que cela ! Toutefois, si vous le reconnaissez nous épargnerons votre vie ! Je vous laisse cinq minutes si vous refuser préparez-vous à vous repentir comme tous les villageois de Ville-Marie, la capitale du royaume où vous vivez !

     

     

     


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